jeudi 28 mai 2020

En juin 1899, l’Harmonie des établissements AGACHE de Pérenchies obtient un grand succès au concours de musique de Compiègne.

Le Grand écho du Nord et du Pas-de-Calais du 15 juin 1899. BNF. Gallica

Document trouvé par Mme Marie-Paule MONCHICOURT

Recopié par Philippe JOURDAN le 21 avril 2020

 

« Le concours qui a eu lieu dimanche dernier à Compiègne a mis en relief spécial l’Harmonie des établissements Agache de Pérenchies.

 

Le drapeau de l’Harmonie Agache de Pérenchies

Document SPMC numéro 759

Nous avons donné partiellement la liste des succès qu’elle y a remportés. Les dépêches parvenues à M. Agache dans la journée de lundi complètent ces premiers renseignements.

Voici la liste complète de ces succès :

1er prix de lecture à vue, 1er prix d’exécution, 1er prix d’honneur.

Quatre solistes de la Société ont pris part aux concours de soli. Ils ont tous été récompensés.

En outre, le distingué chef de l’Harmonie, M. Mastio, s’est vu décerner un prix pour sa direction artistique ; et sa Société, à la suite du concours d’exécution, a été classée en division supérieure, 1ère section.

Nous nous sommes rendus à Pérenchies après la nouvelle des premiers succès. A la descente du train, nous avons trouvé la petite localité en fête. Des drapeaux, des oriflammes flottent à toutes les fenêtres.

 

La gare de Pérenchies avant 1914. Arrivée d’un train.

Document SPMC numéro 1 060

 

Les habitants commentent dans la rue les nouvelles qui leur arrivent du concours de Compiègne. Ils font les préparatifs d’une réception triomphale organisée en l’honneur des vainqueurs du tournoi musical.

Mardi soir, toute la population de la commune s’est portée à la gare pour acclamer les musiciens.

 

La gare de Pérenchies avant 1914. Les quais.

Document SPMC numéro 1 031

 

La place de la gare de Pérenchies avant 1914.

Document SPMC numéro 1 038

 

M. le Maire de Pérenchies les a reçus officiellement.

La musique de Lomme, les pompiers de Lomme, la musique de Comines, la Philharmonique d’Armentières s’étaient joints à la fête.

Le cortège s’est rendu ensuite aux établissements Agache.

  

La rue de la fabrique, actuelle rue Edouard Agache, avant 1914.

Document SPMC numéro 1 036

 

La rue de la fabrique, actuelle rue Edouard Agache, avant 1914.

Document SPMC numéro 1 068

 

Un concert a été donné par les musiques présentes, sur le coquet kiosque de l’usine.

 

Maquette de l’usine Agache, du château et du parc avant 1914.

Sur la droite, au loin, on peut deviner une structure ronde qui est l’ancien kiosque du parc.

Document SPMC numéro 640

 

Ruines de la guerre 1914/1918. Le kiosque du parc Agache détruit.

Document SPMC numéro 635

 

Puis, la coupe de champagne en main, on a porté des toasts aux musiciens, à leur chef, à leur sympathique président, M. Agache.

Et de fait, ils ont bien mérité les éloges. Car si leur succès formidable de dimanche a surpris leurs concurrents, qui n’avaient pas la coutume de les rencontrer dans les concours, il n’a pas surpris ceux qui assistent au travail de ces excellents musiciens et suivent attentivement leurs progrès.

C’est à une discipline très forte et à une organisation excellente, que l’Harmonie doit son succès.

Fondée, il y a environ 25 ans, elle n’était au début qu’une petite fanfare comptant 25 ou 30 musiciens. Sous l’impulsion de M. Agache, la jeune société s’accrut. Elle compte aujourd’hui 80 exécutants, et, de fanfare, elle est devenue harmonie.

  

Edouard Agache (1841 – 1923)

Document SPMC numéro 615

 

 

Madame Lucie Agache-Kuhlmann, épouse d’Edouard Agache

(1852-1906)

Document SPMC numéro 616

 

Son directeur, M. Mastio, est l’ancien chef de musique de l’Ecole d’artillerie de Vincennes, longtemps réputée pour la meilleure musique de Paris après la garde républicaine. M. Mastio fut sur le point d’être nommé chef de musique de la garde républicaine. Une circonstance toute fortuite l’a empêché de l’être. Ne nous en plaignons pas, puisque c’est à ses intelligents efforts que nous devons une des meilleures musiques du Nord.

M. Mastio a été décoré de la Légion d’honneur au titre musical.

Il a organisé les cours et les répétitions de façon à donner en peu de temps aux ouvriers de l’établissement une éducation musicale complète.

Les enfants de 12 à 13 ans qui montrent des aptitudes pour la musique suivent un cours de solfège professé par le sous-chef.

Un an ou deux plus tard, on leur donne un instrument. Lorsqu’ils ont acquis une certaine facilité d’exécution, ils sont versés dans la musique, où ils font tout d’abord les parties élémentaires.

Grâce aux répétitions par pupitres et aux répétitions générales qui ont lieu plusieurs fois dans la semaine, ces jeunes gens deviennent excellents musiciens et excellents instrumentistes.

Aussi à leur arrivée à la caserne leur suffit-il de se recommander du titre de musicien de l’Harmonie Agache pour être admis d’emblée dans la musique régimentaire.

Au retour de la caserne, ces jeunes gens sont des musiciens remarquables. Ils forment pour la Société un noyau de tout premier ordre qui s’accroit sans cesse.

Aussi, le concours de Compiègne a-t-il été une révélation pour eux et pour leurs concurrents.

Pour eux, parce qu’il leur a donné la mesure de ce qu’ils peuvent faire.

Pour leurs concurrents, qui les rencontraient pour la première fois dans un concours où ils ont éprouvé durement que ces « bleus » se conduisent comme des « anciens ».

C’est en effet, le premier concours de l’Harmonie des Etablissements Agache.

Elle est de ces jeunes sociétés qui pour leur coup d’essai veulent un coup de maître.

L’expression n’a rien d’exagéré lorsqu’on se rend compte de la difficulté des morceaux du concours. 

En exécution, le morceau imposé était  « La prise de Troie »,  de Berlioz, et le morceau de choix, ouverture de « Tannhaüser », de Wagner.

En honneur, l’harmonie a joué l’ouverture de « Phèdre », de Massenet.

Comme on le voit, c’est là de la très grande musique qui, pour être bien rendue, - les prix remportés disent assez haut qu’elle l’a été -  demande beaucoup de talent et une éducation artistique assez avancée.

Remarquons, en terminant, les bons résultats donnés par la création d’une musique dans un grand établissement comme celui de M. Agache. Sur 1 800 ouvriers, 150 ou 200 font de la musique pour leur plaisir personnel et pour celui des autres.

 
 

Sortie de l’usine Agache avant 1914.

Document SPMC numéro 1 007

 

La musique leur fournit une précieuse distraction, une occasion de resserrer les liens de la camaraderie, d’élever leur esprit et leur cœur.

Aux jours de réjouissances dans la commune, à l’occasion des fêtes religieuses, l’Harmonie sort en grand appareil. En été, elle joue le soir sur le kiosque de M. Agache pendant que les auditeurs se promènent sous les ombrages. Tout cela vaut bien la chope et le cabaret.

 

Le château de M. Agache avant 1914.

Document SPMC numéro 1 070

 

Le parc du château Agache. Photo datée des années 30.

Chaque année, un reposoir était dressé dans le parc du château pour la procession.

Document SPMC numéro 596

 

BULLETIN ORPHEONIQUE

Récompenses du Concours de Compiègne.

Pour répondre à de nombreuses demandes qui me sont adressées, je publie aujourd’hui la liste complète des récompenses obtenues par les sociétés du Nord et du Pas-de-Calais au concours de Compiègne, dimanche dernier, regrettant vivement, faute de place (il y avait 126 sociétés inscrites), ne pouvoir donner satisfaction à ceux de mes lecteurs qui réclament la publication entière du palmarès.

En outre, voulant être agréable aux sociétés de la région, je publierai dans mon Bulletin de demain une partie des appréciations du jury.

 

(NDLR. Nous ne pouvons pas tout recopier. Une sélection seulement qui concerne plus Pérenchies est ici présentée. Pour ceux qui seraient intéressés par la lecture complète, veuillez-vous rendre sur le service GALLICA de la Bibliothèque Nationale de France).

 

Lecture à vue. Harmonies.

1ère division, 1ère section.

1er prix : Harmonie des Etablissements Agache de Pérenchies.

2ème prix : Harmonie des Indépendants du XIème arrondissement de Paris.

Exécution. Harmonies.

1ère division, 1ère section.

Premier 1er prix : Harmonie des Etablissements Agache de Pérenchies.

Premier 2ème prix : Harmonie des Indépendants du XIème arrondissement de Paris.

Concours d’honneur. Harmonies.

Divisions d’excellence et supérieure réunies.

1er prix, couronne de vermeil et une prime en espèces de 1 000fr : Harmonie des mines de Liévin.

Première division, toutes sections réunies.

1er prix ascendant en division supérieure 1ère section, couronne de vermeil et prime en espèces de 500fr ; prix de direction à M. Mastio, chef, Harmonie des Etablissements Agache, de Pérenchies.

2ème prix, une couronne-lyre de vermeil, les Indépendants du XIème arrondissement…

Concours de soli individuel.

Chant.

Pas un seul prix.

Clarinettes et hautbois.

1er prix, à l’unanimité,  avec félicitations : Voiron de Liévin.

2ème : Niele de Pérenchies.

3ème : Fauquembergue de Pérenchies.

4ème : Depoorte de Noyon…

Saxophones.

1er prix ex aequo : Hennebelles de Fives Lille et Calisse d’Hénin-Liétard…

Flute.

1er prix,  à l’unanimité, avec félicitations du jury : Trognon de Liévin…

Piston.

1er prix : Ruhant de Camon.

2ème prix ex aequo : Dedecker de Liévin et Delcourt de Pérenchies…

 

Autre parution en date du 17 juin 1899.

LE GRAND ECHO DU NORD DE LA FRANCE ET DU PAS-DE-CALAIS

 

BULLETIN ORPHEONIQUE

Concours de Compiègne du 11 juin 1899. Appréciation du jury

Jury : MM Derême, chef de musique au 54e de ligne, président ; Alfred Richart, compositeur de musique à Lens, secrétaire ; Carboni, directeur de l’Harmonie municipale d’Amiens ; Charles Dubois, compositeur de musique à Paris, et Miette, professeur de musique à Paris.

Lecture à vue

Morceau à lire : La Vestale endormie, morceau de genre par Roux.

1ère division, 1ère section. – Harmonie des Etablissements Agache de Pérenchies (Nord), directeur M. Mastio, 77 exécutants.

Attaque hésitante, justesse légèrement douteuse entre les bugles et les altos. Bien et du goût dans le passage indiqué, bien chanté, toutefois dans ce motif, une basse oubliant que l’on est passé en sol majeur continue à donner fa naturel et ce avec une assurance peu commune. A la lettre A, les saxophones pas corrects. Le chef indique très bien le point d’arrêt, malgré cela un faux départ se produit. Les quatre dernières mesures sont comprises. Bonne lecture, laquelle aurait beaucoup gagné à être moins alourdie par les basses qui, malgré les indications énergiques du chef, ont un instant ralenti le mouvement – Premier prix.

Concours d’exécution.

Morceau imposé : La Prise de Troie, de Berlioz, arr. par Meister.

1re division, 1re section. – Harmonie des Etablissements Agache de Pérenchies.

Morceau imposé : Attaque puissante, de l’ensemble, de la justesse, une sonorité et un style excellent ; de plus, il est bon de l’ajouter de suite, un chef de grand talent.

Le piston, dans son solo, est timide, la justesse se ressent de cette timidité et il en résulte même une certaine sécheresse du jeu. Même observation pour le baryton qui possède une belle qualité de sons. Le motif lettre B indiqué le double plus vite, de même que l’allegro 120 à la blanche gagneraient à être joués un peu plus vite. Dans la marche, qui, elle aussi, est quelque peu lourde, les triples croches des basses manquent d’égalité. Les saxophones et clarinettes ont fait preuve de beaucoup de délicatesse à la lettre J surtout. Pas assez en relief les batteries de clarinettes, motif de la lettre K. A la lettre R, les basses sont pesantes.

Morceau de choix : Ouverture de Phèdre, de Massenet. Cette ouverture, transcrite par le chef, a été jouée avec goût.

La clarinette dans son solo (est-ce la tonalité qui est en cause ?) a paru avoir des sons faibles. Le duo de hautbois ne serait-il pas mieux sans être doublé par les clarinettes ? Surveiller les altos ; à la lettre E les saxophones pas assez en dehors ; à la lettre H déployer le sixtolet. Les gammes chromatiques pas entendues durant la lettre M.

A part ces faibles critiques, morceau savamment interprété. – 1er prix à l’unanimité.

 

La suite de l’article donne les critiques sur l’Harmonie parisienne. …..

….. Toutefois, le jury reconnaissant que cette société a du mérite d’avoir su rendre au moins consciencieusement l’œuvre de Berlioz, lui décerne un second 1er prix, n’entendant pas contester par-là la supériorité de l’Harmonie de Pérenchies sur celle de Paris.

Les Indépendants de Paris, il faut le reconnaître et le dire, ont exécuté en musique de première division, alors que Pérenchies, avec des éléments, sans doute, plus faibles, a su se montrer au moins musique de division supérieure. A quoi attribuer cette différence ? … Simplement au travail soutenu des musiques du Nord… et Pérenchies est dans ce cas, on y a beaucoup travaillé sous la direction d’un artiste.

Pour le jury : Le secrétaire. Alfred Richart

 

Le drapeau de l’Harmonie Agache, le dos.

Document SPMC numéro 762


Autre parution en date du 19 juin 1899.

LE GRAND ECHO DU NORD DE LA FRANCE ET DU PAS-DE-CALAIS

 

BULLETIN ORPHEONIQUE

Concours de Compiègne du 12 juin 1899. Concours de solistes individuels. Appréciation du jury

Jury :

MM Turban, clarinette-solo de l’Opéra, membre de la commission d’examen du conservatoire de Paris, président ;  Alfred Richart, compositeur de musique à Lens, secrétaire ; André, chef de musique au 115ème de ligne à Mamers ; Blémant, chef de muique au 145ème d’infanterie à Maubeuge ; Cabel, maître de chapelle et organiste à Compiègne, et Duvilliers, sous-chef de musique au 54ème à Compiègne.

Pianiste-accompagnateur M. Rousseau, de saint-Quentin.

Grandes clarinettes si bémol

Fauquembergue, de Pérenchies. – Concertino de Weber. – Attaque franche, les sons manquent d’ampleur, car vous jouez avec une hanche trop faible ; le thème est un peu lent ; par suite de l’émotion, le détaché à un certain moment devient pénible, malgré cela, le jury se plaît à constater que cet instrumentiste a de l’acquis provenant d’un travail sérieux.

Lecture. – lecture hésitante dès le début, les sextolets sont légèrement embrouillés, bien le point d’orgue, franchement enlevé la fin (troisième prix).

Petites clarinettes mi bémol

Nièle, de Pérenchies. _ La Cenerentola, de Rossini. – Ce soliste possède, chose rare, chez les petites clarinettes, des sons d’une douceur et d’une pureté remarquables ? Son jeu est élégant, sa phrase correcte et son doigté d’une grande égalité. Cet instrumentaliste était le concurrent le plus sérieux pouvant contester le premier prix à M. Vairon ; il a du reste recueilli le même nombre de points que ce dernier pour son exécution.

Lecture. – Lecture bonne, mais moins artistique que celle de M. Vairon, de Liévin. Vous avez trop regardé les sextolets et déployé sans franchise le point d’orgue. Obtenant un demi-point en moins que le premier, M. Nièle se voit attribuer le second prix.

 

Le jury adresse ses félicitations à M. Rousseau, pianiste, qui, avec tout le talent qu’on lui connait, a bien voulu se charger de la tâche d’accompagnateur – tâche ingrate lorsqu’il s’agit d’accompagner de jeunes musiciens, la plupart sans expérience et de plus subissant l’influence de ce que l’on appelle vulgairement le « trac ».

Pour le jury : le secrétaire, Alfred Richart.

 

Signature de l’article par F. de Chartrial, qui remercie les sociétés qui ont bien voulu par lettre témoigner leur satisfaction relativement à la publication des appréciations de concours »

 

L’Harmonie Agache aux environs de 1928. Livre du Centenaire des Ets Agache

Document SPMC numéro 763

 

Programme de la finale de la finale de la meilleure harmonie de France le 18 décembre 1938.

Document SPMC numéro 1 509

 

L’Harmonie Agache

Non daté. Vers 1950/1951 ?

Document SPMC numéro 1 458

 

Article de presse de Nord Matin.

Hommage à M. Anatole DELEU, membre de l’Harmonie des Ets Agache depuis 1910.

Document SPMC numéro 5 848

 

Article de presse de « La Voix du Nord »

Banquet de Sainte-Cécile de l’Harmonie des Ets Agache en décembre 1966.

Document SPMC numéro 2 380

 

Copie de l’article de la Voix du Nord du 9 décembre 1966.

« Dans  notre édition de mercredi, nous avons relaté l’audition cécilienne de l’Harmonie des Ets Agache. Après l’apéritif d’honneur, dirigeants, musiciens et personnalités se retrouvèrent à la salle des fêtes pour le traditionnel banquet.

A la table centrale, on notait MM André Cappoen, président actif, Alphonse David, Adjoint, représentant M. le Maire, Félicien Foret, ancien directeur de la société ; Paul Coisne et Octave Dupuis, président et directeur de la Philharmonique d’Armentières ; Roland Desquirez, vice-président de la société ; Romain Decoen, directeur ; Jean-Marie Flodrops, Jacques Verhasselt, des Ets Agache.

Au dessert, M. Cappoen excusa l’absence de Gilles Crespel, retenu par d’autres obligations et M. Petitprez, dont la famille est touchée par un deuil. Il félicita chef et musiciens pour l’audition de la matinée et rappela les activités de la société au cours de l’année. Il insista auprès de tous en faveur d’un effort de recrutement, afin d’assurer l’avenir du groupement.

M. David remercia les dirigeants de l’invitation faite à la municipalité et traduit les remerciements de cette dernière pour la participation de l’harmonie aux manifestations locales. A tous, il présenta ses vœux de fête. M. Paul Coisne apporta le salut de la société sœur d’Armentières, félicita aussi directeur et musiciens pour la présentation d’un programme d’une haute valeur musicale.

M. Félicien Foret dit sa joie d’être de retour à Pérenchies pour une bonne journée d’amitié. Il dit combien le concert 1966 l’avait ravi et félicita M. Romain Decoen d’avoir maintenu la société à un niveau très élevé. Il formula des vœux pour l’avenir. M. Decoen prit ensuite la parole. Il s’excusa auprès des musiciens de ses exigences, des efforts demandés, tout cela ayant permis cependant à l’Harmonie des Ets Agache, aussi avec les qualités des instrumentistes, de faire face à sa réputation, une fois de plus.

La soirée s’acheva dans les meilleures conditions ». 

 

 

Réception en 1973 de l’Harmonie Agache en mairie de Pérenchies à l’occasion du Centenaire de la société.

Document SPMC numéro 815

 

Informations municipales de Pérenchies.

Accueil de 120 Italiens de Montone et de Piétralunga alors que l’Harmonie des Ets Agache de Pérenchies célèbre ses 120 ans. Vers 1993.

Document SPMC numéro 3 160

 

Agée de 147 ans en 2020, l’Harmonie existe toujours.

L’Harmonie Agache à la salle des fêtes de Pérenchies de nos jours. Document INTERNET.
 


L’Harmonie Agache en concert en l’église Saint-Léger de Pérenchies de nos jours. Document INTERNET.

 

Défilé du groupe bavarois issu de l’Harmonie Agache pour la fête de la tarte à prônes de 2014.

Document SPMC

 

L’Harmonie Agache lors de la fête de la Tarte à Prônes en septembre 2016.

Document SPMC

 

L’Harmonie Agache lors de la fête de la Tarte à Prônes de septembre 2018.

Document SPMC

 

L’Harmonie Agache lors des fêtes du Centenaire de novembre 2018

Photographie Didier DELIGNE. Document SPMC

 

Le groupe bavarois issu de l’Harmonie Agache à Piétralunga en avril 2018 pour l’anniversaire du jumelage.

Document SPMC.

 

L’Harmonie Agache, version « Défilé » le 7 février 2020.

Document SPMC.

 

Philippe JOURDAN

 

 

 

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Correction et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

 

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