lundi 30 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

Pérenchies et son passé numéro 118.

Carte postale du lundi  : cartes fantaisies.

 

La Sainte-Cécile est fêtée le 22 novembre.

  

Carte de Sainte-Cécile.
Document SPMC "cartes postales anciennes "


 

Char en 1949/1950 avec des musiciens dont Roland DEWULF. Lieu non déterminé.
Document SPMC numéro 2 820.


Commentaire :

Cécile est une sainte chrétienne. Elle aurait vécu à Rome et en Sicile entre 176 et 180, aux premiers temps du christianisme.

Sa légende en fait une vierge qui, mariée de force, participa à la conversion de son mari et l'amena à respecter son vœu de virginité.

Sa fête a été fixée au 22 novembre.

La légende affirme qu'allant au martyre, elle entendit une musique céleste. Cette anecdote en fera la patronne des musiciens, des luthiers et des autres fabricants d'instruments de musique.

Elle est aussi la sainte-patronne des brodeurs.

On la représente avec une couronne de fleurs, symbole de virginité, un plant de lys, un instrument de musique et une épée. Elle est souvent richement habillée, signe d'une origine patricienne.

Sainte-Cécile est la patronne des musiciens et des musiciennes ainsi que des brodeurs.

 

Philippe JOURDAN

24 novembre 2020

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

 

dimanche 29 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 Pérenchies et son passé numéro 117.

Carte postale du dimanche : cartes fantaisies.

 


Carte publicitaire de l’Office du tourisme du Val de Deûle.
Document SPMC numéro 1 347.

 

Commentaire :

Notre ville fait partie aujourd’hui d’un regroupement de 14 communes dénommé SIVOM Alliance Nord-Ouest. C’est une intercommunalité qui permet de mutualiser.

En 1968, le Gouvernement français a créé 5 communautés urbaines dont celle de Lille. Très vite, les villes de Lambersart, Saint-André, Marquette, Wambrechies et Pérenchies qui se trouvaient parmi les 89 communes de la CUDL se rapprochèrent pour gérer des problèmes concernant les personnes âgées et avec le souhait de créer une MAPAD (Maison d’Accueil pour Personnes Agées Dépendantes).  

D’autres communes les ont rejointes comme Verlinghem, Lompret, Quesnoy et Deûlémont. En même temps que le nombre d’adhérents augmentait, d’autres orientations furent prises comme les loisirs et la mise en place de l’Office du tourisme du Val de Deûle, l’environnement et l’emploi.

Par la suite, il y eut le service civique, dispositif d’engagement volontaire pour les jeunes de 16 à 25 ans, l’organisation de « Deûle en fête » et de « Terroir en fête », l’instruction des permis de construire, l’aide à la gestion des archives communales, le développement durable et la mise en place de groupements de commande.

Cette carte date de l’époque où 9 villes seulement en faisait partie.

Petit à petit, les compétences du SIVOM ANO sont reprises par la MEL. De nos jours, certaines villes ont émis l’idée de quitter le SIVOM. Il est fort probable qu’il vit, en ce moment, ses dernières années.

 

Philippe JOURDAN

23 novembre 2020

  

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

samedi 28 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 Pérenchies et son passé numéro 116.

Carte postale du samedi : Pérenchies fin 20ème, début 21ème. 

 

La rue du Général Leclerc à la fin du 20ème siècle.
Document SPMC numéro 1 316.


Commentaire :

Quand on regarde cette carte, on pourrait croire être en 2020. Seules les voitures témoignent d’une autre époque. Et pourtant…

A gauche, une belle demeure se dresse depuis plusieurs décennies. Levez les yeux et vous verrez qu’elle porte la date de 1929.Une statue qui ne peut-être que géante de la Vierge y est aussi installée tout en haut. Lors des processions, cette maison était richement décorée de bannières et de guirlandes.

Comment imaginer que des véhicules militaires anglais y ont stationné sous les vivats de la population libérée du joug nazi en septembre 1944 ?

La jeune génération ou les nouveaux habitants savent-ils, qu’en face, se trouvait, autrefois, l’ancienne église de Pérenchies entourée, à l’image de celle de Verlinghem, du cimetière ? Le passage de la voie ferrée qui coupa notre commune en deux en sonna le glas. Trop petite, trop fragilisée par les passages des trains, elle fut reconstruite où elle se trouve aujourd’hui. Le cimetière restera encore longtemps avant d’être, à son tour, déplacé. On raconte que les habitants de la rue de la Poste trouvaient parfois des ossements dans leurs jardins !

C’est là aussi qu’avait été installé en 1928, année de la Commémoration du Centenaire des Ets Agache, une petite filature fondée à Lille par Donat Agache, rue du Croquet en 1828, un buste en bronze, sur un piédestal en pierre de Soignies, et qui représentait Edouard Agache.

 

Revenons à notre belle demeure. Y vivait, dans les années 30, une famille dont le père était horloger et originaire d’Australie. Lors de la seconde guerre mondiale, les Allemands n’apprécièrent pas cette nationalité et il fut surveillé!

Par la suite, plusieurs générations de fleuristes s’y sont implantées.

En face, se trouve la Maison Colette, une ancienne boutique dénommée « Au Bon Marché ». Si on regarde bien sous les deux fenêtres, on voit encore des petites gargouilles taillées dans la pierre pour évacuer les eaux de pluie. En 1931, le recensement nous signale la présence de Léonie Berte (née en 1879), épouse Colette, commerçante, de sa fille Marie-Louise (née en 1906) et de sa petite fille Denise (née en 1929).

Sur la photographie, une agence bancaire occupe le rez-de-chaussée.

Au XIXème siècle, c’est là que se trouvait la première maison commune, c’est-à-dire la mairie, et, à son côté, l’école composée d’une seule classe.

Un plan nous montre que la pièce était divisée en deux espaces séparés par une cloison. D’un côté, on trouvait les garçons et de l’autre les filles. A cette époque, la morale voulait que les élèves ne soient pas mélangés. Cela dura encore longtemps puisque moi-même, né en 1958, je fis toute ma scolarité primaire, dans les années 60, à l’école Jules Ferry fréquentée exclusivement par des garçons.  En maternelle, les sexes étaient mélangés. C’est en entrant au collège, que je retrouvai des élèves du sexe opposé.

Dans la vieille et unique classe du 19ème, le même enseignant avait alors un pupitre, monté sur une estrade, afin de dominer les deux groupes distincts.

La première école connue date de 1836. En 1843, elle fut agrandie avec une salle pour les garçons et une autre pour les filles.

  

Philippe JOURDAN

23 novembre 2020

 

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

 

 

vendredi 27 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 Pérenchies et son passé numéro 115.

Carte postale du vendredi : Pérenchies dans les années 1950 à 1970.

 

Le centre sportif scolaire de la rue Henri Bouchery.
Document SPMC numéro 1 256.


Commentaire :

En 1945, le Maire, Maurice VANHONACKER, projette la création d’un centre sportif scolaire situé rue Henri Bouchery. Il sera destiné aux élèves des écoles.

Ce terrain ne sera acheté qu’en 1947 aux Brasseries Motte-Cordonnier. Comme ce terrain est cultivé par Emile VERVISCH, maraîcher à Lompret, une indemnité d’éviction est donc décidée. La brasserie lilloise émet cependant une condition : « Pendant 20 ans, après la vente, il lui sera réservé l’exclusivité pour les bières, vins et liqueurs qui pourraient  être débités dans le stade » !

Celui-ci servira donc aux écoles qui l’entourent mais aussi à la pratique de la gymnastique avec la Jeanne d’Arc qui vient y utiliser le portique mais aussi l’espace de plein air pour l’exécution des mouvements.

Des concours de chiens de défense s’y pratiquent également avec l’Amical Club du Chien de Défense de Pérenchies (1959-1962) dont le siège était au café du Pélican, rue Edouard Agache.

Des bâtiments en brique agrandissent l’école. Insuffisants, des préfabriqués sont mis en place. Chaque année, la fête des écoles publiques s’y déroule. Les cailloux rouges salissent les chaussures. Un chapiteau sera même dressé à l’occasion de la fête de la bière.

Dans les années 60/70, un collège public y est alors construit, composés de nombreux préfabriqués très différents les uns des autres. Celui-ci, appelé un temps C.E.G. (Collège d’Enseignement Général), deviendra C. E. S. (Collège d’Enseignement Secondaire) et sera transféré dans le quartier de l’Europe.

Le 25 novembre 1977, la Communauté urbaine de Lille le dénommera « Collège Jacques MONOD », du nom d’un médecin biochimiste mort en 1976. 

En 1978, le terrain est à nouveau à la disposition de la ville. La piste sera redessinée et un plateau d’évolution pour le basket et le volley réalisé. Un sautoir en hauteur et en longueur est également créé.

Les préfabriqués de l’ancien collège sont alors soit détruits soit attribués aux associations (Judo-Club, Cercle des Italiens, Enfance et Loisirs, Amicale laïque Jules Quintrel, Chorale Saint-Léger, les Portugais de Pérenchies, …). Un autre sera même utilisé pour le tri du courrier de la Poste.

En été, les centres aérés municipaux s’y installent pour deux mois. 

Une partie du stade sera cédée à l’école privée afin d’agrandir le collège Sainte-Marie.

Un double parking occupe aujourd’hui l’espace. Il fut dénommé « Place Roger Dutriez », un ancien maire de la commune (1971-1995).

Au premier plan, des jardins sont apparents. Ce sont des jardins ouvriers. Autrefois, l’usine Agache les attribuait aux ouvriers qui voulaient s’occuper en cultivant et ainsi, apporter un plus dans les assiettes des membres de la famille. C’était aussi l’occasion d’éviter qu’ils ne restent trop longtemps dans les estaminets et y dépensent leur salaire.

Celui-ci était versé en une seule fois, au mois. Par la suite, il le sera en deux fois, à la quinzaine. Certaines femmes avaient aussi pris l’habitude de venir le chercher afin d’éviter au « chef de famille » toute tentation !  

  

Philippe JOURDAN

23 novembre 2020

  

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

 

jeudi 26 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

Pérenchies et son passé numéro 114.

Carte postale du jeudi : Pérenchies entre 1930 et 1950.

 

La rue Henri Bouchery et la mairie vers 1931. Construction de la mairie actuelle.  
Document SPMC  numéro 1 221 . Version colorisée.


Commentaire :

En 1928, l’église de Pérenchies est reconstruite. Vient alors le tour de la mairie. Durant les premières années, on a utilisé un baraquement provisoire, rue Carnot. Puis, on reconstruisit la mairie détruite près de l’école des garçons. On peut encore la voir de nos jours.

En 1931, un nouveau bâtiment est inauguré sur la Grand’Place.

Sur cette carte postale, on voit encore les échafaudages de sa construction.

On remarque immédiatement que la circulation est inexistante. Une charrette est laissée sur le côté. Un cycliste a la rue pour lui seul.

Au premier plan, à gauche, on voit un commerce à côté de la mairie en fonctionnement puis le logement du directeur, l’entrée de l’école et deux classes avec, au-dessus, les logements des autres instituteurs. Aujourd’hui, l’école de musique y est installée.

C’est dans l’une de ces classes qu’on fit fonctionner une sorte de cinéma scolaire réservé aux élèves.

De l’autre côté de la rue, il y eut même, durant une période non connue, un cinéma qui fonctionnait. Longtemps sa grille resta en place avant que le logement ne soit refait.

A droite, un estaminet nommé « A la Clé de Fa ». C’était le siège de l’Alliance pérenchinoise. Lors de la ducasse de juillet, derrière, une tente était dressée avec une sorte d’orgue qui permettait de danser au rythme de la musique sur des planches de bois installées au sol.

 

Philippe JOURDAN

23 novembre 2020

  

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

 

 


mercredi 25 novembre 2020

Vie de notre association. Réunion du 19 novembre 2020 de SPMC en visioconférence.

 ACCUEIL ET PRESENCES

Philippe J. accueille les membres présents en visioconférence et remercie Jean-Pierre pour l’organisation technique permettant le contact en Teams.


Des nouvelles de la santé de certains de nos membres sont communiquées.  

 

Thérèse Vanuxeem Dumez nous a signalé qu’elle prépare un écrit sur la vie de son père qui fut facteur, teinturier et élu à Pérenchies. Elle y joindra des photographies qu’elle possède.

 

Roger DUMEZ, facteur à Pérenchies.
Année 90. Document SPMC numéro 2 865

 
 
Départ en retraite de Roger DUMEZ le 24 septembre 1991.
Article de la Voix du Nord. Document SPMC numéro 4 909.


Nous avons appris le décès de Mme Paulette VERWAERDE qui venait souvent à nos manifestations. 

 

LA PAROLE AUX MEMBRES

 

La parole est donnée aux membres présents : Bernadette, Serge, Pierre et Michèle, Daniel et Roselyne, Jean-Pierre et Thérèse-Marie, Marie-Claude, Philippe D, Martine et Michel, Marguerite-Marie, Patricia et Marie-Thérèse P, Christiane, Lyonel, Patrice.

 

Vincent ne pouvant rester avec nous a envoyé un message à Jean-Pierre. Il a trouvé des photographies de la libération de Pérenchies en 1944 sur un Blog qui vend des objets anciens.

 

Patrice continue son travail de recherche sur son grand-père et va déposer la série de photographies de Pérenchies prises en 1995.

 

Marie-Claude poursuit ses recherches sur la guerre de 1870 à Lompret.

 

Bravo à Daniel, porte-drapeau de l’UNC, d’avoir été présent lors des cérémonies restreintes du 11 novembre 2020.

Merci aussi à ceux qui ont pavoisé ou mis un luminion.


 


Cérémonie restreinte pour le 11 novembre.
Le porte-drapeau, Daniel BROHY, est toujours fidèle.
Photographie : Christiane LEGRAND


Le luminion de Christiane.
Photo de Christiane LEGRAND.

 

Philippe Devos rédige un texte sur l’histoire de la rue de la gare, rue très active avec la présence de nombreux commerces, de la gare et du silo à grains. 

  

La rue de la gare. Seconde partie du 20ème siècle.
Document SPMC numéro  281


Le silo à grains. Dernier quart du 20ème siècle.
Document SPMC numéro 3 368

 

Josiane et Françoise ROUSSEAU et, au loin, le silo à grains. Non daté.
Document SPMC numéro 5 614

 Il va aussi extraire des textes familiaux de son père et de son grand-père des passages sur la vie aux Ets Agache.

  

Marcel DEVOS Père.
Document SPMC numéro 3 361



 

Marcel DEVOS Fils qui fut membre de notre association.
Document SPMC non répertorié.


Serge signale que les cas de Covid sont passés à 15 à Piétralunga. Il envisage des réunions en visio-conférence pour le CFIP. Florence a déjà mis en place des groupes de contacts sur Messenger.

 

Martine et Michel signalent qu’il y a une erreur sur le Blog dans un texte qui évoque la pêche. La société de pêche « la Brême d’Or » allait pêcher dans un étang derrière une ferme qui existe toujours, juste après le passage à niveau de l’Epinette, sur Prémesques. 

Dans le texte, on parle du Pont Ballot. L’erreur vient du fait que certains pêcheurs passaient le long de la voie de chemin de fer pour s’y rendre et, à vol d’oiseau, on n’est pas loin du Pont Ballot.

 

ACTIVITES DE L’ASSOCIATION

CONTACTS DIVERS

Avec la mairie.

 

Mme la Maire a demandé si j’avais des noms en rapport avec l’histoire locale à lui faire remonter pour la dénomination de 5 résidences et de une ou deux rues. Je lui ai envoyé une liste.

 

L’Adjointe à la Culture, Laurence DELOISON, doit faire paraître dans le bulletin de décembre un sujet sur Noël. Je lui ai envoyé plusieurs anciens documents afin qu’elle puisse le préparer.

 

Un délégué à l’information rencontré le 11 novembre signale son souhait de mettre des documents d’histoire locale dans l’information municipale.

Je lui ai dit que ce n’était pas à moi de le faire mais qu’il pouvait utiliser les ressources de notre blog qui sont mises à la disposition de tout le monde ainsi que les documents qui s’y trouvent. Ils sont là pour être utilisés.  

 

Mme la Maire nous a transmis un livre qu’elle a reçu en mairie sur les commémorations du Centenaire de 1918. On signale qu’à Pérenchies, il y a eu des cérémonies sur le thème de la paix. Elle offre ce livre à l’association pour sa bibliothèque.

 


 

Livre sur les commémorations du centenaire de 1914/1918.
Don de Madame la Maire en novembre 2020.

 

Un mot de remerciement lui a été envoyé.

« Madame la Maire, 

L'association "Si Pérenchies m'était contée..." et son président vous remercient pour la donation du livre sur les commémorations du centenaire 1914/1918. 

Il rejoindra la bibliothèque historique de l'association dans le futur espace d'histoire locale. 

Cordialement. 

Philippe JOURDAN, Président de SPMC

 

Retour :

«Bonjour Monsieur Jourdan,

Nous avons offert ce livre à l’association avec grand plaisir. Je vous remercie de votre retour.

Passez une agréable journée. Très cordialement.

Valérie PROVO »,

 

Je n’ai pas encore rencontré Mme la Maire pour les réponses à nos questions. Une date a été proposée par sa secrétaire, le mardi 15 décembre 2020 à 14H.

 

D’autres points pourraient être aussi vus :

-        Le devenir du panneau publicitaire rue Agache. Les ST pourraient peut-être le récupérer et peut-être le fixer dans le complexe de l’horloge ? 

 

 

La rue Edouard Agache et le panneau jaune.
Capture d'écran GOOGLE MAPS.


-        Le panneau géant « Rue Agache » déjà récupéré pourrait-il être fixé sur les murs des ST ?

 

 

La rue Edouard Agache et le panneau géant « Rue Edouard Agache ».
Capture d'écran GOOGLE MAPS

 

-                  La rambarde du pont du château Agache pourrait-elle être récupérée ?

Lorsqu’on se promène à l’étang Agache, on peut encore y voir des restes de l’ancien château. Avant la famille Agache, il appartenait à la famille Le Blan qui l’avait sans doute acheté à la famille des Libert de Beaumont. Un dossier est en cours de préparation.



L’arrière du château Agache et vue de la passerelle.
Document SPMC numéro 1 086.

 

Un courrier de la ville est arrivé ce jour sur les indisponibilités des équipements sportifs à l’usage d’événements.

Salle LECERF.

-        Vœux du maire. Du 6 au 12 janvier 2021.

-        Tournoi Badminton. 14 mars 2021. 11 avril 2021.

-        Tournoi de hand Francis Grégoire. 13 mai 2021.

-        Galas des deux clubs de danse. Du 19 mai au 1er juin 2021.

-        Tournoi de Badminton Francis Grégoire. 6 juin 2021.

-        Tournoi de Tennis de Table Charly Slembrouck. 12 juin 2021.

-        Spectacle de cirque du collège J. Monod. Du 16 au 18 juin 2021.

-        Tournoi de Hand. 20 juin 2021.

-        Fête des écoles publiques. Du 23 au 29 juin 2021.

-        Téléthon et Saint-Nicolas. Du 3 au 6 décembre 2021.

-        Tournoi Football en salle. 18 et 19 décembre 2021.

Salle WAGNON.

-        Vide grenier Pérench’tis Lensois. Du 12 au 15 février 2021.

-        Bourse multi-collections Pérench’tis Lensois. Du 17 au 19 avril 2021.

-        Fête du tennis. 6 juin 2021.

-        Vide grenier Pérench’tis Lensois. Du 8 au 11 octobre 2021. Du 12 au 15 novembre 2021.

 

FACEBOOK

Plusieurs recherches ont été lancées :

Les communions solennelles.

On a reçu des informations et de nouvelles photos. Tout est rassemblé dans un dossier futur sur ce thème. Un nouveau texte est proposé par Philippe DEVOS. ON pourra le lire dans le futur dossier.

 


 

Communion le 13 juin 1965.
Document SPMC non numéroté.

 

D’autres textes sont en préparation : Marguerite-Marie, Christiane et Lucette

 

Annonce des dossiers mis sur le Blog

Systématiquement, on annonce les dossiers du Blog.

 

Commémoration du 11 novembre 2020

A l’occasion du 11 novembre, un correspondant nous demande si nous avons des informations sur les blockhaus du quartier de la rue Kuhlmann, rue Ampère, Gais-Logis.


Il nous signale qu'un élément de Blockhaus est encore dans son jardin. Nous n'avons jamais fait d'études sur le dossier. Nous ne connaissons pas de cartes.

Par contre, il reste, en effet, quelques éléments sur notre territoire, dans les Bas de la Prévôté, le long de la voie de Chemin de fer et sans doute en d'autres lieux.

Plusieurs des blockhaus de la guerre 14/18 ont été enlevés dans les années 20.

Vers 1980/90, la ville a enlevé celui au bout de la rue des Gais Logis.

 


 

Reste d’un blockhaus. Rue Ampère.



 

Reste d’un blockhaus. Rue Ampère.


DOC SPMC :

  

Rue Ampère au lendemain de la guerre 14/18.
Document SPMC  numéro 3 733


La photographie serait prise de la rue Lecerf à Prémesques. Le train que l’on voit est sur la ligne Lille Armentières.

 


La rue du Bas de l’Enfer, à côté.
Document SPMC numéro 3 734.

 

 

Démolition d’un blockhaus, du côté de la Petite Belgique.
Document SPMC numéro 3 735.



TEXTE ENVOYE PAR ROGER GABET

Gabet Marcel a envoyé cette info le 5 novembre 2020.

« Bien cher Philippe, je ne sais pas s'il y a encore des Pérenchinois qui se souviennent  que dans la rue Ampère il y avait un blockhaus allemand de la guerre 14/18. Il se situait  face aux numéros des maisons  43 et 45 soit actuellement  à l'emplacement de la jonction des rues Ampère et des gais logis. J'y faisais tourner mes toupies quand j'étais enfant. Il a été démoli peu après la seconde guerre mondiale par un ouvrier de l'usine Agache, sous la direction de Monsieur Hollande. Les habitants de la rue avaient été informés la veille de tenir leurs volets fermés et de ne pas sortir jusqu'à la fin du travail.

Amitiés. Marcel Gabet. »

 

On a eu des photographies des années 90 et des films super huit propriétés de M. Knockaert.











Les films portent sur :

o   La chute des cheminées Agache.

o   La fête de la Libération de 1944. 50ème anniversaire en 1994.

o   Une visite dans le Pérenchies des années 90.

Jean-Pierre va les mettre sur une clef USB

 

On a tous des films super 8 chez nous. Il faudrait pouvoir les rassembler et les copier d’une façon numérique.

Serge et Philippe D ont vu une information relayée par la ville venant de la MEL. Une association de Marquette récupérerait les films et en ferait une copie numérique. En échange, on leur laisse les originaux. A voir par la suite…..

 

Photos demandées sur la classe de Mme SIX

Une correspondante a demandé des infos sur Mme SIX.

On n’a rien trouvé sur COPAINS D’AVANT

J’ai envoyé à notre correspondant quelques documents en notre possession

 

Groupe d’institutrices de Sainte-Marie.
Document SPMC numéro 4 150.

 

MM Delobel nous donnent les noms :

? ?, ?, Mme RICHEZ, Mlle Marie-Josèphe VANHEE, Mme Marguerite-Marie DELOBEL, Monique TESTELIN, Mme SIX.

 (* ? : institutrices de passage).

 

Vers 1975 1976, classe de Mme SIX.
Document SPMC numéro 4 179.


 



 

Une autre classe de Mme SIX ?
Document SPMC numéro 4 178.



LE BLOG

La parole à Jean-Pierre

-        Poursuite de la présentation des cartes postales.

-        Seconde partie d’octobre de semaine en semaine.

-        Réunion de l’association du 5 novembre.

-        Le 11 novembre 2020.

Projets :

-        Suite sur les cartes postales. Semaines 4, 5 et 6

-        Première partie de novembre de semaine en semaine.

-        Réunion de l’association du 19 novembre.

-        Message de Pierre BONTE.

-        Le château AGACHE et les Libert de Beaumont.

Une enquête  a été lancée auprès de WEF sur la famille des Libert de Beaumont. J’en parlerai lors d’une prochaine réunion.

-        SUJET NON VU EN REUNION MAIS AJOUTE : Les photos des Noël en famille et les anciens jouets. Nous allons essayer de rassembler des photos de nos Noël d’antan et des jeux d’enfants pour un dossier sur notre Blog en décembre.


 

Les enfants de la famille JOURDAN dans les années 60.
Philippe, Dominique et Marie-Christine. Document SPMC numéro 2 401.

 

Thérèse DUMEZ et son baigneur. Années 50.
Document SPMC numéro 3 970.


DOCUMENTS ET RECHERCHES


Réception d’une information transmise par Frédéric FAUCON, président de Weppes en Flandre.

« En patrouillant sur Gallica, je suis tombé sur ce document.

Avais-tu déjà entendu parler de ce docteur Guéritout ayant fait ses études à l'université de Pérenchies ? Ce doit sûrement être une satire, mais il y a peut-être une tradition locale.

Bonne journée. Frédéric. »

Ce texte évoque l’université de Pérenchies ! Il peut dater du 19ème ?

 


 


Discours du Docteur GUERITOUT. Humour 19ème siècle ?
Bibliothèque Nationale. GALLICA




TEXTE :

« DISCOURS DU DOCTEUR GUERITOUT

Mesdames et Messieurs,

Vous voyez en ma personne l'illustrissime et révérendissime docteur la Faculté de Chinois de Paravent.

Mon nom est connu aux quatre coins du monde, partout et ailleurs. Mais comme c'est la première fois que j'ai l'honneur indicible de paraître devant vos seigneuries, apprenez que l'on me nomme

Jean-François GUERITOUT

Je suis criblé de titres et de qualités que je passe sous silence pour des raisons de modestie que vous apprécierez.

La renommée s'est vue forcée d'agrandir sa bouche pour publier mes succès, depuis que j'ai étonné l'univers par mes cures 3 fois merveilleuses.

Jean-François GUERITOUT est né au Touquet des mâche-femmes, (lez-Tourcoing). Après avoir fait de brillantes études à l'Université de Pérenchies, il s'est proposé d'atteindre le but philanthropique d'écorcher ses semblables tout en les faisant souffrir d'une façon à peu près inconnue jusqu'à ce jour.

Profondément pénétré de la nécessite de faire ingurgiter à l'espèce humaine un baume nouveau et qui fût à la hauteur de ses infirmités, j'ai composé la fusion immortelle dont le succès ne pouvait être douteux.

En effet, Mesdames et Messieurs, mes prétentions sont peu exagérées, et le succès vient chaque jour couronner, mes efforts.

Si j'avais à m'expliquer devant un tas d'imbéciles comme on en voit toujours à la remorque d’un charlatan, je ne me donnerais pas la peine de vous expliquer comment et pourquoi ma fusion est immortelle. Mais, je sais devant qui je parle ; aussi allez-vous connaître à l'instant même tous mes secrets.

Il faut pour vivre éternellement que toutes les parties du corps soient soignées par des remèdes infaillibles. J'ai donc fait un galimatias scientifique des drogues dont le succès est prouvé par 20,000 annonces dans tous les journaux. Le voici :

2 pièces de cent sots. 1 pilule avalée. 1 litre d'eau des Jacques au bain. 2 mètres de taffetas gommé contre les cors. 4 cheveux de chacun des membres de la Société Hygiénique. 200 grammes de dragées de rond piqué. 3 homéopathes en contradiction, 4 centimètres carrés de ceinture sans ressort et sans sous-cuisses. 2 litres d'eau de l'Aube. 3 mètres d'Orléans à 17 sols. 1 bouteille de sirop de groseille.

Après avoir fait messer le tout pendant 5 ans 2 jours et 3 heures fixes, vous jetez cet ingrédient dans une baignoire, et cinq minutes après, vous en retirez un sirop très salubre, très-agréable que l'on peut déguster à toute heure du jour et de la nuit.

Le vieillard bien portant, l'enfant en bonne santé, les adultes que les excès n'ont pas épuisés, tous, Messieurs & Mesdames se porteront à merveille s'ils prennent deux gouttes par jour de ma fusion immortelle.

Et maintenant, Messieurs & Mesdames, vous allez' me demander combien ce fameux spécifique? Vous supposez peut-être qu'il s'agit de débourser 1,000 francs; 500 francs; 20 louis ! Non, Messieurs & Mesdames, je voyage pour secourir l'humanité souffrante et.... ambulante. Je donné ma fusion pour rien.... moyennant 50 centimes.

 

EXEMPLES DE GUÉRISON.

D'un riche époux voulant faire l'emplette,

Une jeune fille, les grands yeux pleins de larmes,

Me demanda d'une façon inquiète " -

SI MON SIROP LUI DONNERAIT DES CHARMES! ! !

Je lui vendis une-petite fiole.

Elle la prit, la vida d'un seul trait.

Trois jours après, un prince du Mogol

Etait, Mesdames, épris de ses attraits.

Elle voulut en boire une deuxième,

Et la paya deux cents cinquante francs.

Deux mois plus tard, pour elle, bonheur suprême !...

Elle accouchait de douze princes du sang.

J’ai guéri trois jaloux, cent mille maris trompés,

Mille femmes infidèles, quarante délaissées,

Deux pendus, un noyé et quatre trépassés,

Sans compter deux aveugles des Champs-Elysées.

Je suis même la cause qu'une femme stérile

Conçut.... (la chose est vraie. j'ai pour preuve sa fille),

Conçut, dis-je, combien mon pouvoir est magique.

J’ai dit tous mes malades. Au diable ! !!... la critique ».

 

Jonathan MINNE.  Familles et Généalogie de Pérenchies.

Article du journal LE GRAND ECHO DU NORD du 8 mars 1913.

Polydor LEROY était le Grand’Oncle de Jonathan MINNE.

 



 

Sur le recensement de 1911, on trouve ces informations :

Polydore LEROY, né en 1871 à Zoonebeke (Belgique). Nationalité française.

Habite au 9, rue du moulin à Pérenchies.

Tisseur chez Agache (SAP : Société Anonyme de Pérenchies).

Marié à Madeleine, née en 1873 à Pérenchies, bambrocheuse chez Agache (SAP). Nationalité française.

Un enfant. Marcel LEROY, né en 1902 à Pérenchies.  Nationalité française.

 

Augustin BOURGEOIS, né en 1874 à Dickebusch (Belgique). Nationalité belge.

Habite au 141, rue de la Prévôté à Pérenchies.

Domestique avec sa femme chez DELBARRE.

Marié à Céline, née en 1881 à Pérenchies. Nationalité française. 

 

SELON JONATHAN

La femme de Polydore se nomme : Madeleine LEROY-ROUSSEAU

 

Un don pour l’association

 

Image de communion. Années 30.
René LEGRAND, le 26 mai 1931.
Objet offert à SPMC par sa fille Christiane LEGRAND.


Offert à SPMC par Christiane et Madeleine Legrand. Nous les remercions.

René Legrand a été baptisé le 4 juillet 1924
Date de sa communion solennelle : le 26 mai 1931 à Pérenchies
Il a été confirmé le 28 mai 1935.

 

Alain nous fait partager les richesses de la langue française

Un petit chef d’œuvre de drôlerie animale concocté par Jean d'Ormesson

Le français une langue animale...

«Myope comme une taupe», «rusé comme un renard» «serrés comme des sardines»... les termes empruntés au monde animal ne se retrouvent pas seulement dans les fables de La Fontaine, ils sont partout.

La preuve: que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme un âne, malin comme un singe ou simplement un chaud lapin, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.

Vous arrivez à votre premier rendez-vous fier comme un paon et frais comme un gardon et là, ... pas un chat !

Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Il y a anguille sous roche et pourtant le bouc émissaire qui vous a obtenu ce rancard, la tête de linotte avec qui vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié: cette poule a du chien, une vraie panthère

C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.

Vous êtes prêt à gueuler comme un putois quand finalement la fine mouche arrive.

Bon, vous vous dites que dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard.

Sauf que la fameuse souris, malgré son cou de cygne et sa crinière de lion est en fait aussi plate qu'une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.

Une vraie peau de vache, quoi !

Et vous, vous êtes fait comme un rat. Vous roulez des yeux de merlan frit, vous êtes rouge comme une écrevisse, mais vous restez muet comme une carpe.

Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson.

Vous avez le cafard, l'envie vous prend de pleurer comme un veau (ou de verser des larmes de crocodile, c'est selon).

Vous finissez par prendre le taureau par les cornes et vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre.

Ce n’est pas que vous êtes une poule mouillée, vous ne voulez pas être le dindon de la farce.

Vous avez beau être doux comme un agneau sous vos airs d'ours mal léché, faut-pas vous prendre pour un pigeon car vous pourriez devenir le loup dans la bergerie.

Et puis, ça aurait servi à quoi de se regarder comme des chiens de faïence.

Après tout, revenons à nos moutons: vous avez maintenant une faim de loup, l'envie de dormir comme un loir et surtout vous avez d'autres chats à fouetter.

PROCHAINE REUNION

On s’est posé la question de savoir si on maintenait une réunion tous les 15 jours ou une par semaine.

Préparer la réunion, mettre en pages les documents, recréer un modèle pour le Blog et faire les  recherches nécessitent beaucoup de temps. Je préfère garder le rythme d’une réunion toutes les deux semaines.

Jean-Pierre propose que l’on prenne le rythme suivant :

Une semaine : réunion de convivialité. On se raconte ce que l’on vit, ….Elle sera un peu plus courte.

Jean-Pierre pense que l’on pourrait passer en visio les petits films envoyés par M. Knockaert. Il se propose d’en mettre un chaque fois.

 

La semaine suivante : réunion d’histoire locale. Philippe propose ses informations et ses documents.

 

PROGRAMMATION :

-        Jeudi  26 novembre 2020 à 18H30.  Réunion de convivialité.

-        Jeudi 3 décembre 2020 à 18H30. Réunion d’histoire locale.

-        Jeudi 10 décembre 2020 à 18H30. Réunion de convivialité.

-       Jeudi 17 décembre 2020 à 18H30. Réunion d’histoire locale. On fera aussi le point sur la nouvelle année et le devenir de nos réunions.

-        Vacances de fin d’année. 

Philippe JOURDAN

9 novembre 2020.

 

Correction et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.