vendredi 26 avril 2024

Un de nos membres actifs nous raconte sa vie, Daniel BROHY. 2ème partie sur 4.

Notre association d’histoire locale rassemble des documents sur le passé de notre ville et l’histoire de ses habitants.

Il y a quelques années, Philippe JOURDAN, président de l’association « Si Pérenchies m’était contée… », émit l’idée que les membres actifs puissent raconter leur vie montrant ainsi que chacun peut ajouter un chapitre au grand livre de l’histoire locale des habitants de Pérenchies.

Il y eut un premier texte racontant la jeunesse d’Anne-Marie LAMBIN.

Puis, Marie-Thérèse PEULMEULLE raconta sa vie professionnelle chez Agache puis au service de la commune.

Le président ne resta pas en reste et quelques éléments de sa vie furent dévoilés à l’occasion d’une remise de médaille.

Il en fut de même pour Pierre DUFOSSEZ qui nous transmit quelques petites informations à l’occasion de la fin de son mandat de président de l’OMC.

Aujourd’hui, Daniel BROHY et son épouse, Roselyne, se livrent à cet 

 

 


Entrons donc dans l’histoire d’un Pérenchinois et que cela incite chacun à raconter sa propre histoire afin de permettre de garder celle-ci dans notre patrimoine.

N’hésitez pas à en faire de même. Pérenchies a une histoire. Ensemble, nous la retrouvons, la préservons et la transmettons.

 

Philippe JOURDAN

Président de SPMC.

Février 2024.

 

Braderie de Pérenchies en juillet. Années 60.
Serge et Roselyne CASTELEIN, Geneviève, future femme de Serge.

 

Braderie à la Montagne à Prémesques. Années 60.

 

Pierre CASTELEIN, frère de Roselyne BROHY, rue Kuhlmann.

 

Daniel BROHY en 1967, rue Kuhlmann, devant la maison de ses futurs beaux-parents.

 

Daniel BROHY, rue Kuhlmann, devant la maison de ses futurs beaux-parents. Années 60.


Afin de gagner plus, j’enchaine plusieurs boulots toujours dans le transport.

Vers 1966, je deviens pour 5 ans chauffeur livreur à la brasserie Fréteur à Capinghem.

 

De plus en plus, je fréquente Roselyne qui travaillait à la confection. Celle-ci habite alors chez ses parents, au 12 de la rue Kuhlmann, qui avaient aussi travaillé à l’usine Agache comme beaucoup de Pérenchinois. En effet, l’usine ira jusqu’à faire travailler plus de 2 000 ouvriers et ouvrières, des filateurs et des tisserands.

Comme de nombreux jeunes Pérenchinois, je donnerai rendez-vous à ma future pas loin du Pont Ballot où tant de couples s’y sont retrouvés. Nous possédons d’ailleurs plusieurs photos de ce lieu un peu excentré qui était une destination de promenades et de rencontres amoureuses, bien gentilles tout de même !

 

Balade amoureuse vers 1966 avec Roselyne, Daniel BROHY et ses futurs beau-frère et belle-sœur.

 

Deuxième rencontre entre Daniel BROHY et Roselyne en présence de sa future belle-sœur. Mars 1966


En 1968, nous décidons de nous marier. La cérémonie se déroule le 28 septembre 1968 à Pérenchies. L’acte de mariage rappelle que j’avais 24 ans et Roselyne 19.

Le premier témoin est Léon BARTIER, manœuvre à Prémesques, le grand-père de Roselyne.

Le second témoin est Serge CASTELEIN, le frère aîné de Roselyne. Celui-ci travaillait comme maçon dans l’entreprise JUDEZ de Pérenchies.

 

 

Certificat de mariage de Daniel BROHY et de Roselyne CASTELEIN.

 

Mariage de Roselyne CASTELEIN et de Daniel BROHY en 1968.
Eglise de Pérenchies.

 

Mariage de Roselyne CASTELEIN et de Daniel BROHY en 1968.
Eglise de Pérenchies. Le moment des signatures.


Notre premier logement familial sera dans une courée, rue de Bailleul, à Moulins Wazemmes à Lille. Puis, on partira rue de Wattignies.

 

Café THYS, rue Edouard Agache. Daniel et Roselyne BROHY et la fille du tenancier.
 Années 60.


Daniel BROHY et sa première fille, Bérangère, dans la cuisine rue de Wattignies
Les meubles viennent des Ets DEMEYERE de Pérenchies.


Roselyne, qui continue à travailler chez Agache à Pérenchies, doit prendre le train tous les jours.

On prend alors la décision de louer un appartement à la Mitterie à Lomme, allée des érables. Nous y resterons 10 ans.

 

Fête foraine à Pérenchies en juillet. Vers 1970.
Deux amis de Daniel BROHY, lui-même et son beau-frère Serge CASTELEIN.

 

Petit à petit, la famille va s’agrandir.

En 1969, arrive la première de nos trois enfants.

Il nous faut alors trouver un prénom. Comme on connait un magasin de laine à Wazemmes qui se nomme Bérangère, nous ne cherchons pas plus loin et notre fille portera ce prénom.

 

Le magasin de laine de Wazemmes.
Logo.


Son frère arrive au monde en 1973.

Comme beaucoup de Français de cette époque, nous avions été marqués par un feuilleton qui passait le dimanche soir à la télévision. Il n’y eut que 13 épisodes de 26 minutes et c’était en noir et blanc. Cela suffit pourtant à marquer toute une population. Il s’agissait de Belle et Sébastien, écrit et réalisé par Martine Aubry avec, dans le rôle principal, son fils, le jeune Mehdi.

Il y eut ensuite Sébastien parmi les hommes en 1968 puis Sébastien et la Mary-Morgane en 1970, en couleurs.

Notre fils fut alors prénommé comme beaucoup de jeunes garçons de cette époque Sébastien.

 

Disque du générique du feuilleton télévisé : Belle et Sébastien. Années 60.

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Notre seconde fille vint au monde en 1976 et prit le nom d’Angélique. Que voulez-vous, à cette époque, la télévision était un véritable phénomène de société et comment oublier la célèbre Marquise des Anges et ses 5 films qui se succédèrent de 1964 à 1968 sans compter les nombreuses retransmissions ?

 

Affiche de cinéma : Angélique, marquise des Anges.
Années 60.


Afin de s’occuper de nos enfants, Roselyne avait arrêté son travail chez Agache en 1973.

 

Ma vie professionnelle n’est pas un long fleuve tranquille. Il y aura de nombreuses sociétés différentes :

La société Malissard Savarzeix à la gare Saint-Sauveur à Lille vers 1970.

 

Durant un an, je suis contremaître chez Colgate vers 1974/75 à Croix puis à Lesquin.

 

Ce sera ensuite la société Tailleur à Marquette vers 1975.

 

Daniel BROHY, chauffeur chez TAILLEUR.


Vers 1978, je travaille à la société de transport Albert SLEMBROUCK à Quesnoy-sur-Deûle. Cette société cotisait 1% pour une opération permettant de loger le personnel. Il s’agissait d’une société armentiéroise dénommée « Votre maison ». Quand un employeur cotisait, son personnel passait en priorité. C’est ainsi que nous pûmes louer à Houplines, rue Jacques Brel, une maison durant 8 à 10 ans. Les maisons du quartier avaient été construites par la société JUDEZ basée à Pérenchies.

Daniel BROHY, chauffeur des Transports SLEMBROUCK. Vers 1978.

 

C’est alors que Roselyne souhaite reprendre une activité professionnelle. Durant 6 mois, elle coud des ourlets sur des torchons pour Mme CARON à Nieppe. Elle travaille alors à domicile. Puis elle décide de devenir assistante maternelle à l’image d’une de ses amies du quartier, Madame Monique SERRA. Elle travaille alors pour le Conseil Général qui gère cette activité. M. Bernard DEROSIER préside alors cette instance.

Durant 20 ans, nous accueillerons 19 enfants. Malgré des conditions souvent difficiles causées par l’histoire de ces enfants et de ce qu’ils ont vécu, le travail est difficile. Cependant, elle n’en a aucun regret. Pourtant, elle y laissera un peu de sa santé.

 

Vers novembre 1980, je quitte SLEMBROUCK pour CATTEAU à Lomme où j’assure les transports scolaires. J’y resterai 20 ans jusqu’en 2000.

Je participe aussi à des transports touristiques et à de nombreux voyages dans toute la France.

 

Voyage CATTEAU vers 1984. 1er voyage touristique de Daniel BROHY comme chauffeur.



Daniel BROHY, chauffeur de bus CATTEAU lors d’un voyage à Rocamadour.
Années 80.

 

J’aurai aussi l’occasion d’emmener de nombreux groupes nordistes à Paris car le maire de Lille, Pierre MAUROY, est devenu le 1er ministre de François MITTERRAND en 1981 et des groupes de travail doivent se rendre régulièrement dans la capitale.

C’est ainsi que je rencontrerai M. et Mme MAUROY, Bernard ROMAN, Laurent FABIUS, Martine AUBRY et Michel DELEBARRE.

 

L’hôtel Matignon à Paris, demeure du 1er ministre. 1983.
Photo extraite d’un programme de festivité provenant de Daniel BROHY.

 

Dédicace de Mme MAUROY pour Daniel BROHY. 19 avril 1984.

 

Je mange alors à Matignon ou au Sénat. Je participerai aussi à des réceptions comme l’arbre de Noël de Matignon où j’ai emmené des enfants du Nord.

 

Repas chez le 1er Ministre, Pierre MAUROY, en 1984 avec un groupe de Lille.
Daniel BROHY fume le cigare.

 

Une autre fois, j’ai transporté les résidents de la maison de retraite « les dentellières » de Lille également à Matignon qui était devenu un territoire lillois en plein centre de Paris.

Je transporterai aussi vers le château de Chantilly les membres du CNPF (Centre national du patronat français) qui, plus tard, deviendra le MEDEF (Mouvement des entreprises de France) et dont un des établissements se trouvait à Marcq-en-Baroeul.

 

Article de presse. Visite à l’Elysées d’un groupe de Villeneuve d’Ascq, conduit par Daniel BROHY, chauffeur aux Ets CATTEAU.
 Années 80/90. Avec le maire Gérard CAUDRON.

 

Autorisation de stationnement pour le bus de Daniel BROHY
 lors d’une visite au palais de l’Elysée le 12 février 1994.

 

En 1994, lors d’un départ du Tour de France à Lille, je rencontrerai Pierre BONTE, le célèbre journaliste né à Pérenchies et qui faisait les beaux jours de la télévision et de la radio de l’époque. Il faisait partie des nombreux journalistes invités pour l’occasion et j’eu la chance de les transporter tous en bus pour une soirée au célèbre cabaret « Les Folies de Paris », le cabaret lillois de Claude THOMAS et où se produisait le transformiste LOLITA de PERENCHIES, artiste né à Pérenchies sous le nom d’Ali ABERBACHE.

 

Invitation officielle pour Daniel BROHY
lors d’une manifestation lors du passage du Tour de France à Lille. Juillet 1994.

 

Les folies de Paris en 1994. Lolita, Pierre BONTE et Daniel BROHY.

 

Carton d’invitation à l’occasion du passage du Tour de France à Lille en juillet 1994.
Souvenir Daniel BROHY.

 

Quand Lille a été candidate à l’organisation des JO, en 1995, j’ai transporté le Comité International chargé de visiter les lieux envisagés. Cela a duré 15 jours. La délégation était menée par Bruno BONDUELLE.

 

 

Philippe JOURDAN

Président de SPMC

Février 2024.

 

Correction et mise en page : Jean-Pierre COMPERE

mardi 23 avril 2024

Un de nos membres actifs nous raconte sa vie, Daniel BROHY. 1ère partie sur 4.

Notre association d’histoire locale rassemble des documents sur le passé de notre ville et l’histoire de ses habitants.

Il y a quelques années, Philippe JOURDAN, président de l’association « Si Pérenchies m’était contée… », émit l’idée que les membres actifs puissent raconter leur vie montrant ainsi que chacun peut ajouter un chapitre au grand livre de l’histoire locale des habitants de Pérenchies.

Il y eut un premier texte racontant la jeunesse d’Anne-Marie LAMBIN.

Puis, Marie-Thérèse PEULMEULLE raconta sa vie professionnelle chez Agache puis au service de la commune.

Le président ne resta pas en reste et quelques éléments de sa vie furent dévoilés à l’occasion d’une remise de médaille.

Il en fut de même pour Pierre DUFOSSEZ qui nous transmit quelques petites informations à l’occasion de la fin de son mandat de président de l’OMCL.

Aujourd’hui, Daniel BROHY et son épouse, Roselyne, se livrent à cet exercice.

Entrons donc dans l’histoire d’un Pérenchinois et que cela incite chacun à raconter sa propre histoire afin de permettre de garder celle-ci dans notre patrimoine.

N’hésitez pas à en faire de même. Pérenchies a une histoire. Ensemble, nous la retrouvons, la préservons et la transmettons.

 

Philippe JOURDAN

Président de SPMC.

Janvier 2024.




Je me nomme Daniel Louis Marcel BROHY et je suis né le 20 avril 1944 au Havre en Seine Maritime.

  


Mon père portait les prénoms de Louis Gabriel Eugène et avait épousé ma mère Emilienne MAREZ. Celle-ci mourra en 1945 d’une maladie « Chaud/Froid » due aux mauvaises conditions durant les bombardements anglais lors de la Seconde Guerre mondiale.

Mon père qui ne m’avait pas reconnu le fera sur le lit de mort de ma mère.

Il se remarie et aura 3 filles de sa nouvelle épouse. On connaîtra alors plusieurs déménagements puis un divorce mettra fin à cette seconde union.

Mes 3 sœurs et moi-même sommes alors placés à la DDASS dans deux familles différentes. De 10 ans à 16 ans, je vivrai à Brametot, un village de moins de 200 habitants en Seine-Maritime en région de Haute-Normandie où j’apprendrai la menuiserie. Je suis accueilli par la famille ALOUETTE, Armand et Blanche.

  

L’église de Brametot.

 

La Place de Brametot.

 

Communion de Daniel BROHY à Brametot vers 1956.

Je travaille ensuite dans des fermes où on m’héberge jusqu’à 19 ans. Je suis alors appelé sous les drapeaux de juillet 1963 à décembre 1964.

 

Daniel BROHY à Brametot vers 1956. Avec Blanche ALOUETTE.

 

Livret militaire de Daniel BROHY. Vers 1963.

 

Service militaire de Daniel BROHY au 43ème RI à Lille en 1963.


 Je fais mes classes au 43ème R. I. à Lille avant de partir en Algérie à 80 km d’Oran, à Mostaganem. Je suis chargé du maintien de l’ordre et du rapatriement du matériel. Durant cette période, je ne serai pas confronté à des faits de guerre.

 

Daniel BROHY en Algérie. Vers 1963/1964.


Lors de mes classes à Lille, je découvre la petite ville ouvrière de Pérenchies lors de marches de nuit qui nous entraînent sur des chemins à travers les champs.

 

La Grand’Place de Pérenchies. Années 50/60. Carte postale.

 

Service national de Daniel BROHY en Algérie vers 1963/1964.
 Exercice à la corde.

 

Service national de Daniel BROHY en Algérie vers 1963/1964.Un village algérien au loin. 

 

Service national de Daniel BROHY en Algérie vers 1963/1964.
La place de Mostagenem.


Service national de Daniel BROHY en Algérie vers 1963/1964.
Vue de la Méditerranée et du port d’Oran.

 

Service national de Daniel BROHY en Algérie vers 1963/1964.
Le Djebel.

Durant quelques temps, j’ai correspondu avec une fille du Nord qui arrive à me faire rentrer ensuite, après mon armée, fin 1964, comme convoyeur chez Delespaul Havet à Marcq-en-Barœul.

 

L’usine DELESPAUL à Marcq-en-Baroeul.


 J’habite alors dans un foyer pour travailleurs, rue Voltaire, à Lille. Par la suite, je partirai rue de Gand, dans un café, le relais des postiers, qui, plus tard, deviendra le premier établissement de Claude THOMAS, les premières Folies de Paris.

Comme je n’ai que mon permis militaire, je ne peux pas conduire dans le civil et il faut que je le fasse valider. J’ai alors 21 ans.

Vers 1965/66, je décide de quitter Delespaul-Havet pour rentrer comme chauffeur chez GEFCO à Lille, porte des postes. C’était une société de transport Peugeot. Puis j’entre pour 2 ans à la brasserie Guérin à Saint-André. Comme je dois trouver un nouveau lieu d’hébergement, un des chauffeurs de la boîte m’héberge pour me dépanner.

Un jour, je fais la connaissance d’un agent d’assurance avec qui je sympathise. Il me dit habiter à Pérenchies entre Lille et Armentières et tenir le café de la cloche rue Edouard Agache, pas loin de l’entrée d’une grande filature industrielle, les Ets Agache. Il m’invite donc à y venir un jour boire un verre et, petit à petit, je m’y rends régulièrement le week-end. Je m’y fais des amis avec lesquels j’évoque mon service militaire et, parfois, on y danse.

C’est là que je rencontrerai, un jour, celle qui deviendra ma femme et avec qui, je fonderai ma famille. Elle se nomme Roselyne CASTELEIN.

 

Roselyne CASTELEIN et deux de ses amies, Marcelle MALLET et Jeanine DESOODT.
Ecole ménagère. Ets Agache. Années 60.

  
L’école ménagère des Ets Agache. Avec Roselyne CASTELEIN. Années 60.

 

L’école ménagère des Ets Agache. Années 60.
Marcelle MALLET, Geneviève THOMS, future belle-sœur de Roselyne,
Thérèse DALLESNES, future Mme DEFONTAINE et Roselyne CASTELEIN.


Le café de la cloche, rue Edouard Agache.
 Roselyne CASTELEIN et ses amies de la confection.
Au loin, l’entrée de l’usine Agache. Années 60.

  
Les Ets Agache de Pérenchies.


Ma future épouse est née à Prémesques le 12 mars 1949 sous les prénoms de Roselyne Louisette Marguerite. Elle est la fille de Romain Victor CASTELEIN et de Madeleine Jeanne Marguerite BARTIER. Elle est alors brodeuse aux Ets Agache de Pérenchies.

Elle a eu 3 frères, Serge, Jean-Pierre et Pierre.

 

Roselyne CASTELEIN, née en 1949, enfant.

 

Romain CASTELEIN, père de Roselyne BROHY-CASTELEIN.

  
Le mariage des parents de Roselyne.

 

Roselyne et son père.

 

La mère de Roselyne CASTELEIN.

 

La mère de Roselyne CASTELEIN.

  

La famille CASTELEIN. Rolande (tante), Lucienne (tante), Madeleine (mère), Josiane, Roselyne,
 Jean-Marc, un cousin en communiant, Romain (père), serge (frère),Fernand (oncle),
Chantal (cousine) et Roland (oncle).

  

Roselyne CASTELEIN.
Philippe JOURDAN

Président de SPMC

Janvier 2024.

  

Correction et mise en page : Jean-Pierre COMPERE