Une de nos lectrices, Marie-Paule MONCHICOURT, de Prémesques, nous
envoie régulièrement des documents sur l’histoire de notre ville grâce à des
recherches en ligne sur le site des Archives du Nord ou sur celui de la
Bibliothèque de France par l’application GALLICA. Nous la remercions pour les
belles trouvailles qu’elle nous communique.
Elle a trouvé cet exemplaire du Grand Echo du Nord de la France daté du
lundi 10 septembre 1928.
Nous l’avons recopié au propre et vous le proposons en y ajoutant des
documents en notre possession pour l’illustrer.
N’hésitez pas, comme elle, à nous faire parvenir vos découvertes.
Nous tenons à vous prévenir que certains noms peuvent présenter des
fautes d‘orthographe car le journaliste les a commises. Certaines, évidentes,
ont été corrigées. D’autres non, par manque d’informations…
Philippe JOURDAN
Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies
m’était contée… »
31 mars 2020
Le buste d’Edouard AGACHE. Années 30.
Square rue du Général Leclerc.
Document SPMC numéro 1 229
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LE GRAND ECHO DU NORD DE LA FRANCE
Lundi 10 septembre 1928.
BNF (Gallica)
UN CENTENAIRE DANS L’INDUSTRIE TEXTILE
Les Etablissements Agache ont fêté hier,
à Pérenchies,
un siècle d’existence.
En 1824, au moment où la
transformation économique suscitait partout des entreprises nouvelles, il y eut
l’initiative d’un Lillois, M. Donat Agache, qui installait dans la rue du
Croquet, un commerce de lins et de fils, qui se transforma, quatre ans plus tard,
en une petite filature de lin.
Cette modeste fabrique, au fond
du quartier Saint-Sauveur, était le berceau de ce qui devait devenir l’une des
premières de ces grosses firmes industrielles qui font la richesse du Nord.
Après vingt ans de prospérité, M.
Agache et son associé, M. Droulers, achetaient à Pérenchies en 1849, une petite
usine où allait se transporter le centre de la puissance des Agache.
Le centre seulement, car trente
ans plus tard l’établissement de Pérenchies s’adjoignait un brillant satellite
à La Madeleine-Berkem.
Leur histoire serait un beau
chapitre de l’épopée industrielle du Nord ; la place manque ici pour en
tenter seulement l’esquisse, et il faut se limiter à citer la prospérité
d’avant-guerre, la destruction totale, la reconstitution complète à force
d’énergie, l’acquisition de la filature André Saint-Léger à la Madeleine en
1920, et le 16 août 1923, la lourde perte que fut, pour la société, la mort de
son chef, M. Edouard Agache, qui avait joué un si grand rôle aussi bien dans la
vie économique de la France que dans la modeste vie communale de Pérenchies.
Cent ans se sont écoulés depuis
la fondation de la première usine. A cette étape, les successeurs de Donat
Agache peuvent s’arrêter un jour pour jeter un regard en arrière, un regard qui
aurait le droit d’être orgueilleux, sur les résultats de trois générations de
labeur ininterrompu et de persévérance opiniâtre.
L’inauguration du buste de M. Edouard Agache…
Sur la place, après le pont qui
enjambe la longue voie ferrée monotone et droite jusqu’à Armentières, l’église
dresse ses hautes lignes de brique rouge, déjà assombrie par les fumées d’un
bourg industriel, près du monument aux morts encore tout blanc de jeunesse.
C’est là que la journée s’ouvre,
à 9 heures, par une messe célébrée par M. l’abbé Schabaillie, curé de la
paroisse, avec le concours de l’Harmonie et de la Chorale mixte des
établissements, que dirigent magistralement M. Doye et M. Six.
Au passage, on fleurit d’une
gerbe le monument aux morts, et M. Henri Bouchery, maire, entouré de MM.
Lambelin et Charles Lemahieu, adjoints, reçoit dans la maison commune les
administrateurs, au nom de qui M. Donat Agache le remercie de sa cordiale
bienvenue.
Donat Agache (1882 – 1929)
Document SPMC numéro 645
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Henri BOUCHERY
Photo non datée (Bien avant 1928 ?)
Document SPMC numéro 567
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Après ces préliminaires, la
partie centrale du programme commence à se dérouler à 10H15, avec
l’inauguration du buste de M. Edouard Agache.
Inauguration du buste d’Edouard AGACHE
le 9 septembre1928.
Document SPMC numéro 648.
Les personnalités présentes.
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Sur une placette semée de
gravier, en face de l’église, son socle effilé, en pierre de Soignies, jaillit
d’un petit parterre de fleurs.
La foule des ouvriers et des
curieux l’entoure, derrière M. Donat Agache, président du Conseil
d’administration de la firme Agache ; MM. Auguste Agache, Edmond Agache,
Charles Bernhard, Jean Delemer, Emmanuel Descamps, Frédéric Descamps, Maxime
Descamps, Robert Galoppe, André Saint-Léger, Claude Saint-Léger,
administrateurs ; M. Blaise, statuaire, l’auteur du buste ; Mlle
Thérèse Agache ; M. L’abbé Schabailly ; Mme René Descamps ; M.
André Saint-Léger ; Mme Donat
Agache ; Mme Maxime Descamps ; Mme Edmond Agache ; M. Berr ;
Mme Robert Neveux ; M. Sutorius ; M. Robert Neveux ; M. Philippe
Galoppe.
M. Boudin ; M. L. Nanceau ; M. Robert Descamps ; M. Dubois ; M. Etienne
Droulers ; M. Emile Lambert ; Mme André Saint-Léger ; Mme
Emmanuel Descamps ; M. H. Bouchery ; Mme Max Descamps ; M. Paul
Pannier ; M. Blaise ; M. Jean Leborgne ; M. Désiré Delevallée et
M. Henri Longuépée, deux ouvriers, qui ont plus de soixante ans de présence
dans les établissements ; M. Arnold, directeur de l’usine de Pérenchies,
et les directeurs des autres usines : MM. Fauquembergue, Lefebvre, Genet,
J. Leroy, Joly, Dhaine, Ranson, Grunenberger, ingénieur, etc…
Le Personnel de Direction des Ets AGACHE
en 1928
Document SPMC numéro 698. Pages 48 et 49.
Livre du Centenaire publié à l’occasion
des festivités.
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Le voile tombe, découvrant la
fine bonhomie du sourire perdu dans la barbe de bronze, au-dessus de
l’inscription « Edmond Agache 1841-1923 »
(NDSPMC 2020 : il doit s’agir d’une erreur. Le buste est celui
d’Edouard Agache et non Edmond Agache. L’article contient d’ailleurs plusieurs
erreurs d’orthographe sur les noms des personnalités !)
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C’est bien lui, s’exclame une femme derrière
nous, avec une admiration où perce l’étonnement.
A l’hommage du bronze s’ajoute
celui de M. Lambelin, président du Comité d’érection, et de M. Bouchery, qui
prend possession de la statue au nom de la municipalité.
Inauguration du buste d’Edouard AGACHE
le 9 septembre1928.
Document SPMC numéro 505.
Le président du Comité d’Erection durant
son discours.
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M. Donat Agache exprime la
gratitude de la famille, et l’on va inaugurer, dans la cour de l’usine, la
plaque qui commémorera le centenaire de la fondation.
… et de la plaque commémorative du centenaire
Le décor classique d’une cour
d’usine du Nord, mais nette et claire, anormalement gaie sous un soleil de
septembre, encore proche du zénith. A l’entrée, la Société des trompettes
« l’Alliance pérenchinoise » salue l’arrivée des administrateurs,
sous la direction de M. Missiaen.
Centenaire des Ets AGACHE le 9
septembre1928.
Document SPMC numéro 649.
L’Alliance pérenchinoise salue l’arrivée
des personnalités rue Edouard AGACHE.
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Au fond, les Orphéonistes de
Pérenchies, l’Harmonie et la Chorale mixte attaquent l’ «Hymne à la
Joie », de Bach, lorsque la plaque découverte étale son inscription sur le
mur, en larges capitales justement fières de leur annonce :
1828 – 1928
Le 9 septembre 1928,
le Conseil d’administration
des Etablissements Agache fils
et son président, M. Donat
Agache,
ont commémoré, à
Pérenchies,
le centenaire de la
fondation de la société,
en présence de M. Auguste
Agache, fils du fondateur,
de M. Henry Bouchery, maire
de la commune,
des principaux
collaborateurs du Conseil
et des descendants de M.
Donat Agache-Taillar.
Le Conseil
d’administration.
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Le Comité de Direction et le Conseil
d’Administration des Ets AGACHE en 1928
Document SPMC numéro 697. Pages 44 et
45.
Livre du Centenaire publié à l’occasion
des festivités.
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MM. Donat Agache et André
Saint-Léger en commentent, en termes heureux, l’éloquente concision.
Centenaire des Ets AGACHE le 9 septembre
1928.
Document SPMC numéro 650.
Discours de Donat AGACHE lors de
l’inauguration de la plaque du Centenaire sur le mur de l’usine
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Le centenaire de la fondation des
établissements Agache se fête aujourd’hui à Pérenchies, mais la plaque qui
rappellera la fondation de la Société aurait dû, en toute logique, être fixée
au lieu même de la première usine créée par Donat Agache, le fondateur,
c’est-à-dire à Lille, rue du Croquet.
Ces deux noms, Agache et
Pérenchies, il semble qu’ils ont toujours été unis au cours du long siècle
d’efforts industriels poursuivis par quatre générations de la même famille, et
pourtant, c’est à Lille, dans une petite usine du quartier Saint-Sauveur, que
le fondateur de la firme débuta dans la vie industrielle, puis s’associa à M.
Droulers, filateur de coton.
Et les orateurs, dans un vivant
exposé, rappellent toute la longue histoire des établissements, notant tour à tour les modestes débuts, les
associations, le prodigieux développement interrompu par la guerre, le calvaire
des bombardements, la longue agonie de l’usine, la délivrance, la miraculeuse
ascension de la reconstitution, les œuvres sociales qui associent tous les
collaborateurs à la foi dans les destinées de Pérenchies.
Centenaire des Ets AGACHE le 9
septembre1928.
Document SPMC numéro 1 587.
Vue de l’assistance lors des discours de
l’inauguration de la plaque du Centenaire
sur le mur de l’usine AGACHE.
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M. Arnold tire parti de
l’heureuse occasion qui se présente aujourd’hui, pour rappeler, au nom du
personnel, tout le bien que les administrateurs ont fait à leurs ouvriers et à
la commune, et leur exprimer la reconnaissance et l’attachement de leurs collaborateurs.
La musique et la chorale exécutent
la « Marche héroïque », de Saint-Saëns, et l’on gagne le terrain des
sports de l’U. S. P. où les administrateurs et la municipalité passent en revue
les sociétés locales : de tir et de sauvetage, de trompettes, les deux
clubs de chiens de défense, les anciens combattants, les gymnastes de la
« Jeanne d’Arc », la chorale mixte, l’Union sportive avec ses
animateurs, MM Arnold, Volkemann et Beaurepaire, la Société des jardins
ouvriers, de Pérenchies et de Prémesques, le Syndicat agricole, la Société de
secours mutuels « La Saint-Mathias ».
Centenaire des Ets AGACHE le 9
septembre1928.
Document SPMC numéro 651.
Une partie des personnalités lors des
festivités au stade AGACHE.
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Centenaire des Ets AGACHE le 9 septembre1928.
Document SPMC numéro 652.
Une partie réduite des personnalités
lors des festivités au stade AGACHE.
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Le banquet
Il est 13 heures lorsque est
servi, dans la salle des fêtes des établissements, le banquet de 700 couverts,
réunissant les administrateurs, les directeurs, les contremaîtres, les ouvriers
comptant plus de 30 ans de services.
M. Auguste Agache, le préside,
assis en face de M. Donat Agache, et entouré des personnalités que nous avons
citées. L’Harmonie prête son concours
auquel tous les convives s’accordent à rendre un juste hommage.
La salle des fêtes de la rue Gambetta en
1923 à l‘occasion de l’exposition des Jardins Ouvriers.
Document SPMC numéro 857.
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A l’heure des toasts, MM. Maurice
Agache, Donat Agache et Bouchery, dans des discours tout empreints du caractère
familial de la fête, se louent de la
prospérité présente, remercient les artisans du passé et les proposent en
exemple à leurs successeurs.
M. Delvallée félicite M. Donat
Agache, qui lui remet, ainsi qu’à M. Longuépée, la médaille d’or consacrant
leurs soixante années de services, et le président du Conseil d’administration,
associant la commune à la fête, annonce que la Société lui fait don d’un
terrain pour la création d’un jardin public ; aux sociétés locales, d’une
subvention de 100 000 francs.
Mais nous venons trop tard pour
annoncer la nouvelle ; elle était trop chargée de sensation pour que tous
ne la connussent pas, quelques minutes plus tard, et à 17 heures, au bal de la
Grand’Place, à 20h30, au feu d’artifices, Pérenchies la fêta avec entrain.
M. Donat Agache l’avait constaté
dans son discours : Agache et Pérenchies, les deux noms ne sont-ils pas
étroitement unis depuis de longues années ?
A. Q.
Quelques documents sur le sujet :
Photographie de la maquette de l’usine
AGACHE avant la guerre 1914/1918.
Document SPMC numéro 640
On ne sait pas où elle se trouvait ni ce
qu’elle est devenue.
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Carte postale durant la guerre
1914/1918. Les ruines de l’usine AGACHE.
Document SPMC numéro 1 137
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La reconstruction de l’usine AGACHE.
Années 20.
Document SPMC numéro 1 181
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La rue du Général Leclerc (à l’époque,
rue de Lille) et le square entre 1928 et 1939.
On y voit encore la statue d’Edouard
AGACHE.
Document SPMC numéro 1 215
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Texte extrait de la BNF "GALLICA"
LE GRAND ECHO DU NORD DE LA FRANCE
Lundi 10 septembre 1928.
Correction et
édition : Jean-Pierre COMPERE, Administrateur du Blog.
Avril 2020.
Monsieur Gérard DESCAMPS, descendant de la famille AGACHE, nous a envoyé un petit mot afin de nous remercier du travail accompli. Merci à lui pour ce petit lien amical. Philippe JOURDAN
RépondreSupprimerC’est génial cette rétrospective Agache ! Je l’ai transférée à ma belle mère (Lambert-Agache), elle est ravie !
RépondreSupprimerMerci Jean Pierre !
Amicalement Étienne Droulez
Bonjour très apprécié car j'ai travaillé pendant quelques années d'abord au service commercial bureau près de l'étang puis déplacement avec mr courtecuisse côté filature
RépondreSupprimerBravo pour ce reportage
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci à tous 2, pour ces reportages extrêmement riches et denses d'informations qu'un "nouveau pérenchinois" ignorait totalement....
Celui-ci est particulièrement attrayant car faisant référence à Agache dans tout son déploiement communal...
Je profite de ces quelques mots pour vous dire, qu'en ce qui me concerne, je les regroupe pour les lire le WE...
Peut-être cette réflexion pourrait trouver un prolongement, hors confinement, sur une lettre hebdomadaire qui prendrait place dans nos agendas.
Très bonne soirée, bien à vous
Eric
Bonjour j ai mon arriere grand mère qui a travailler chez vous en 1931 mais je ne trouve aucune archive des employés ou chercher svp merci
RépondreSupprimermerci de bien vouloir nous fournir vos coordonnées sur le blog afin que l'on puisse étudier votre demande.
RépondreSupprimercordialement
Jean-Pierre COMPERE
Administrateur
Bonjour, petit fils de Jean Delemer, j'ai trouvé cet article fort intéressant et je vous en remercie. J'ai toujours vu chez mes grands parents une gravure gigantesque de l'usine de Pérenchies et de nombreux souvenirs de cette glorieuse époque. Bien à vous
RépondreSupprimerBonjour M DELEMER
RépondreSupprimerVous me dites être le petit fils de Monsieur Jean DELEMER qui était administrateur de l'entreprise AGACHE. Vous avez aimé notre article et nous vous en remercions. J'aimerais , si vous le voulez bien que vous me communiquiez votre adresse mail, qui restera bien sur confidentielle en m'envoyant un mail à mon adresse : octodon840@gmail.com.En effet j'aimerai savoir si vous êtes en possession de souvenirs de cette époque et qui seraient très intéressants pour notre association d'histoire locale
Je vous en remercie par avance.
cordialement
Jean-Pierre COMPERE
Administrateur du blog.
Mr MIRE Louis Paul, à fait parti, je pense de la direction, en 1889. Il est noté seigneur de lin , il fait partie de mon arbre généalogique. Avez vous des informations sur ce monsieur ou une photo. ? Merci
RépondreSupprimerBonjour, je suis un des très nombreux petit-fils de Monsieur Louis NANCEAU dont je suis très fier de son parcours scolaire et professionnel sans l'avoir connu mais de ce qu'on m'en a dit et j'ai lu votre document avec un grand intérêt. Au début du document et lors de l'inauguration du buste de M. Agache vous donnez la liste des membres du Personnel présents. Concernant mon grand-père vous mettez Louis Manceau alors que c'est Louis Nanceau, avec un (N). D'ailleurs dans l'organigramme son nom est correct. Il était Fondé de Pouvoir au sein de la Société. Vous avez également dans l'organigramme Monsieur Jean Leborgne qui était Directeur Commercial et qui a un lien avec moi et tous les petits-enfants de Monsieur Louis Nanceau car son fils Edouard (un de mes oncles) a épousé une des filles de Monsieur Louis Nanceau, Laure qui était la sœur de ma Maman, Jeanne. En fait ce sont donc deux collègues de travail dont les enfants ce sont mariés ensemble - meetic existait déjà ! -. Ce qui fait que mes cousins et mes cousines s'appellent Leborgne. J'ai également des cousins et des cousines qui s'appellent Nanceau et mes frères et sœurs et moi-même sommes les enfants de Jeanne Nanceau qui s'est mariée avec mon Papa Roger Bergerat.
RépondreSupprimerJe vous communique mon adresse mail si vous souhaitez me recontacter pour obtenir d'autres renseignements dans la mesure de mes connaissances sur les Ets Agache. joseph.bergerat@free.fr
Votre article est très intéressant.
Bien à vous,
Joseph Bergerat