MERCI PHILIPPE POUR TOUS CES ARTICLES
QUOTIDIENS
PENDANT LA PERIODE DE CONFINEMENT
ET
JOYEUX NOEL A TOUS NOS LECTEURS
PRENEZ SOIN DE VOUS
Jean-Pierre
MERCI PHILIPPE POUR TOUS CES ARTICLES
QUOTIDIENS
PENDANT LA PERIODE DE CONFINEMENT
ET
JOYEUX NOEL A TOUS NOS LECTEURS
PRENEZ SOIN DE VOUS
Jean-Pierre
Carte
postale du dimanche : carte fantaisie.
Noël d’antan avec son sapin. Document SPMC non répertorié. |
Commentaire :
En ce début décembre, de nombreuses familles décorent le
sapin de Noël. En connaissez-vous la signification ?
Histoire
du sapin de Noël.
Entre 2000 et 1200 avant JC, on
parlait déjà d’un arbre, le jour du 24 décembre puisqu’on considérait ce jour
comme la renaissance du soleil.
Les Celtes avaient adopté un
calendrier basé sur les cycles lunaires. A chaque mois était associé un arbre.
L’épicéa fut celui du 24 décembre car ce conifère à feuilles persistantes est
le symbole de la vie éternelle.
Pour le rite païen du solstice
d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du
blé.
En 354, l’Eglise institue la
célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec
cette fête païenne.
Initialement, la célébration de
Noël se résumait à la messe de la nativité.
On raconte qu’un moine
évangélisateur allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface, voulut
convaincre les druides germains que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il en
fit donc abattre un. En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son
passage à ’exception d’un jeune sapin. A partir de là, la légende fit son
œuvre. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et
déclaré dans sa même prédication : « Désormais, nous appellerons cet arbre,
l’arbre de l’Enfant Jésus. »
Depuis, on plante en Allemagne
de jeunes sapins pour célébrer la naissance du Christ.
Au XIème siècle, l’arbre de Noël,
garni de pommes rouges, symbolisait l’arbre du paradis. La difficulté de
trouver un pommier en hiver fit aussi qu’on choisit un sapin.
C’est au XIIème siècle que la
tradition du sapin est apparue en Europe, plus précisément en Alsace. On la
mentionne pour la première fois en Alsace, à Sélestat, vers 1521. Parfois, il
était attaché en hauteur.
Au XIVème siècle, les
décorations étaient composées de pommes, de confiseries et de petits gâteaux.
On raconte qu’un jour de grande
disette, il n’y avait pas suffisamment de nourriture pour décorer un arbre.
Alors, on créa des boules en verre.
A cette même époque, l’étoile au
sommet de l’arbre, symbole de l’étoile de Bethleem, commença à se répandre.
Ce sont les protestants en 1560
qui développèrent la tradition du sapin de Noël pour se démarquer des
catholiques.
Au XVIIème et XVIIIème siècles, apparaissent
les premiers sapins illuminés. On utilisait des coquilles de noix remplies
d’huile à la surface desquelles des mèches flottaient ou des chandelles souples
nouées autour des branches.
En 1837, la duchesse d’Orléans,
d’origine allemande, fit décorer un sapin aux Tuileries.
Cette tradition se généralisa
après la guerre de 1870 dans tout le pays grâce aux immigrés d’Alsace-Lorraine
qui firent largement connaître la tradition de l’arbre de Noël aux Français.
C’est à cette période que le pays entier adopta cette tradition.
Parmi les chants traditionnels
de cette célébration, qui ne connait « Mon beau sapin » ?
Mon beau sapin est un chant de Noël d'origine allemande. Son titre original est « O Tannenbaum ».
La version la plus célèbre est
basée sur une musique traditionnelle et un texte de 1824 composé en allemand
par Ernst Anschütz, organiste et professeur à Leipzig, ville qui fait alors
partie du Royaume de Prusse.
La première version connue des
paroles date de 1550. Une autre version a été composée en 1615 par Melchior Franck.
Cette chanson a été traduite dans de nombreuses langues.
Bien qu’elle soit couramment
intitulée « Mon beau sapin », la version française a d’abord porté le
titre « Le sapin ». Elle a été publiée en 1856 à Strasbourg dans un
recueil de chants populaires allemands librement traduits pour le public
scolaire français.
Les paroles sont de Laurent
Delcasso (1797-1887), recteur de l’académie de Strasbourg.
Philippe
JOURDAN
27
novembre 2020
En cette seconde et nouvelle
période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous
présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales
composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.
N’hésitez pas à nous transmettre
vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra
de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.
Relecture
et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog
Pérenchies et son passé numéro 130.
Cartes
postales du samedi : Pérenchies fin 20ème, début 21ème.
La rue de Bretagne. Années 70/80 ? Document SPMC numéro 1 308. |
La rue de Normandie. Années 70/80 ? Document SPMC numéro 1 311. |
Commentaire :
Entre les années 60 et 70, il y
a une forte demande pour habiter notre ville. De plus, celle-ci doit augmenter
sa population afin d’attirer de nouvelles ressources car les Ets Agache sont
sur la fin.
Durant des décennies, l’usine
Agache a fait vivre la commune. Si Agache, c’était Pérenchies !
Pérenchies, c’était Agache !
La ville est obligée de prendre
le relais, de pourvoir à certains équipements, d’aider le milieu associatif
sans espérer des aides financières qui, souvent, venaient du milieu privé
industriel. Elle doit aussi prendre à charge des équipements comme le terrain
de football ou la salle des fêtes.
Alors, on construit.
Des nouveaux quartiers vont
surgir autour du centre historique. De nouveaux habitants vont donc emménager
rue de Quesnoy, chemin du moulin, autour du stade de l’USP et dans le quartier
de l’Europe. Les anciens de Pérenchies ne les verront pas toujours arriver avec
plaisir. Il y avait les Pérenchinois de souche et les nouveaux Pérenchinois.
A cette époque, le journal LA
VOIX DU NORD, avait pris l’habitude de publier, dans ses colonnes, des
photographies aériennes montrant les changements urbains. Dans l’un de ses
articles en date du jeudi 19 août 1976, un grand titre attire l’attention du
lecteur : « L’extension se poursuit au nord de la commune ». Le
journaliste évoque la dernière tranche du lotissement Dubois, c’est-à-dire la
rue Jean MOULIN.
Des centaines de maisons
occupent les terres agricoles qui appartenaient à la famille Agache. Une
vieille ferme existe toujours mais elle est devenue invisible car entourée sur
trois côtés de maisons d’habitation. C’est dommage car son architecture est
magnifique.
On y construit également une
école primaire, un nouveau collège, un complexe sportif et un restaurant
scolaire sans oublier des HLM.
Même la place qui accueillait la
fête du quartier de l’Europe et sa vente de tarte aux prunes ne résistera pas à
cette volonté de bâtir.
Par la suite, un terrain de
football synthétique y verra le jour.
Les rues prendront les noms de
provinces françaises, la Normandie, la Bretagne, l’Artois, l’Alsace, les
Flandres, la Lorraine, la Picardie, la Savoie, le Dauphiné, les Vosges,
l’Auvergne, la Bourgogne, la Provence.
La place deviendra celle de
l’Europe. Un supermarché y sera installé avant de devenir une salle municipale
destinée à la restauration scolaire et aux activités festives d’associations.
Un grand axe traversera tout le
quartier portant le nom de la rue de la Paix.
Durant la guerre 1914/1918, de nombreux ouvrages militaires furent construit à la place des champs. Cette position sur une hauteur était assez stratégique.
Après la guerre, il fallut
détruire ces constructions guerrières et nettoyer le secteur des débris
accumulés. Deux hommes y perdirent la vie suite à l’explosion d’un obus qu’ils
devaient rendre inoffensif !
Philippe
JOURDAN
27
novembre 2020
En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.
N’hésitez pas à nous transmettre
vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra
de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.
Relecture
et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog
Pérenchies et son passé numéro 129.
Carte
postale du vendredi : Pérenchies dans les années 1950 à 1970.
Le calvaire de Pérenchies après 1945.
Document SPMC numéro 1 273.
Commentaire :
La seconde guerre mondiale est
terminée. Le bilan est moins désastreux que celui de la guerre 1914/1918. Néanmoins,
pour les familles touchées, la vie ne sera plus jamais comme avant. Des hommes
sont partis et ont laissé leurs familles durant de longues années. Ils n’ont
pas vu leurs enfants grandir. La femme est devenue chef de famille.
Certains soldats ont été tués,
d’autres blessés à tout jamais, physiquement et psychologiquement. D’autres ont
été faits prisonniers et se sont retrouvés à des centaines et même des milliers
de kilomètres de leur patrie, de leur famille. Le dernier prisonnier de guerre
est rentré en 1945.
Notre ville a été occupée et a
connu le ravitaillement, le marché noir, la collaboration, l’entente avec
l’ennemi. Certains se sont révoltés et ont pris le maquis. Des sabotages ont eu
lieu mais aussi on a pu voir des sentiments, sans doute sincères mais contre
nature en cette période de guerre, se produire. Alors, à la libération, des
personnes furent tondues, des règlements de comptes eurent lieu. Parfois même,
ces dénonciations ne furent point vraies.
Au petit matin, des enfants
virent la gestapo emmener leur père pour une destination connue dans des lieux
où des humains furent considérés comme des animaux et où les pires gestes
furent commis…
Notre ville fut aussi meurtrie
en son sein. Des attaques par avions débouchèrent sur quelques maisons
effondrées mais aussi sur des vies ôtées dont celles de plusieurs enfants.
Notre ville échappa à un destin
de martyre lorsqu’un soldat allemand fut abattu dans le café de la gare. Mais
le destin veillait ainsi que quelques braves qui prirent les décisions
nécessaires.
A la fin de la guerre, la
population voulut remercier le ciel de n’avoir pas subi les mêmes drames vécus
un quart de siècle auparavant et que les Pérenchinois avaient encore en
mémoire.
Alors, un comité d’érection se
mit en place et ce calvaire dessiné par Adolphe MASSELOT, un sculpteur
capinghemmois, surgit de terre à l’emplacement d’un ancien estaminet « A
l’Aventure » détruit entre 1914 et 1918 et jamais reconstruit. C’était
l’endroit où des bombes envoyées sur Lille/Lomme Délivrance avaient trouvé
leurs limites empêchant notre ville de revivre un « nouveau
calvaire ».
Le 2 septembre 1945, lors du
premier anniversaire de la Libération, le monument en pierres blanches fut
inauguré en grandes pompes en présence de toutes les autorités et même du
cardinal de Lille.
Deux rangées d’arbres
l’entouraient. Une grande plaque disposée sur le sol le désignait comme marque de
reconnaissance de la population.
En 1994, pour le 50ème
anniversaire de notre libération par les troupes britanniques, c’est là que se
déroulèrent un partie des festivités et le feu d‘artifice traditionnel.
Il y a quelques jours, le saule
pleureur qui se trouvait derrière a été abattu car, malade, il était devenu
dangereux. Il sera vite remplacé car il est entré dans notre patrimoine.
27
novembre 2020
N’hésitez pas à nous transmettre
vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra
de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.
Pérenchies et son passé numéro 128.
Carte
postale du jeudi : Pérenchies entre 1930 et 1950.
La rue de Lille, actuelle rue du Général Leclerc. Années 30.
Document SPMC numéro 1 215.
Commentaire :
Après plus de 10 ans, Pérenchies
renait de ses ruines. Tout est reconstruit. En 1924, le monument aux morts a
été inauguré. L’église, debout sur ses anciennes fondations a reçu un nouveau
mobilier vers 1928 et un clocher différent.
En 1931, un nouvel hôtel de
ville se dresse sur la Grand’Place.
Voici la rue de Lille
aujourd’hui dénommée rue du Général Leclerc.
A gauche, l’entrée de l’ancien
cimetière qui entourait l’église là où se trouve de nos jours le petit square.
On devine le buste d’Edouard Agache inauguré en 1928 à l’occasion du centenaire
des Etablissements Agache célébré en grandes pompes dans notre ville. Le buste
sera volé par les soldats allemands durant la seconde guerre mondiale afin de
récupérer le métal. Le piédestal restera longtemps abandonné à son sort et, un
jour, disparaîtra. Le découvrira-t-on dans un avenir plus ou moins long, au
fond d’une remise ou dans un jardin ?
Sur la gauche, deux commerces.
Le premier est une boutique de vente de chapeaux. Si on agrandit le cliché, on
voit des couvre-chefs installés en vitrine. Le recensement de 1931 évoque un
casquettier, un fabriquant ou vendeur de casquettes.
Le second magasin est aujourd’hui
devenu une librairie. Selon le
recensement, un tailleur y vivait.
Il reste encore sur la commune des
baraquements qui ont accueilli les gens de retour de la guerre. On en voit un
derrière le buste. On en voit aussi au loin sur la droite.
Au premier plan, l’estaminet de
la brasserie. Ce débit de boissons appartient à la brasserie LAMBELIN juste à
côté. Le locataire est tenu de vendre les bières qui y sont produites. On voit
que l’établissement est le siège de la société colombophile L. S. P.,
c’est-à-dire « Les Sans Pareils ».
Philippe
JOURDAN
27
novembre 2020
En cette seconde et nouvelle
période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous
présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales
composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.
N’hésitez pas à nous transmettre
vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra
de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.
Relecture
et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog
LA PAROLE AUX MEMBRES
La parole est donnée aux membres
présents : Bernadette, Serge, Pierre et Michèle, Daniel et Roselyne,
Jean-Pierre et Thérèse-Marie, Marie-Claude, Philippe D, Patricia et
Marie-Thérèse P, Lyonel, Vincent, Patrice et Philippe J.
SERGE
Serge a envoyé deux liens.
Le premier permet de voir tous les clochers des églises de France.
http://clochers.org/carte_accueil_active.htm
Le second présente les régions françaises.
https://www.youtube.com/channel/UC6zQhfK0n2NY_9PCbHdTdYA/videos
DANIEL
Le 5 décembre se déroulera la
cérémonie à la stèle des anciens combattants pour les morts en Afrique du Nord.
ACTIVITES
DE L’ASSOCIATION
CONTACTS
AVEC LA MAIRIE
RENDEZ-VOUS
AVEC MME LA MAIRE
Celui-ci a été retardé au 5
janvier 2021.
TELETHON
Il ne sera pas possible
d’organiser les activités faites les autres années à cause de la crise
sanitaire. Une collecte en ligne est mise en place sur l’adresse
suivante :
https://soutenir.afm-telethon.fr/partager/villedeperenchies).
Le stand du Téléthon avec des membres de SPMC. 2017? Photographie SPMC |
SEANCE
DU CONSEIL MUNICIPAL
Informations :
Départ du DGS Olivier CARLIER.
Nous le remercions de son travail pour notre commune et pour sa collaboration
avec notre association. Il va occuper le poste de DGS à Nieppe dès janvier
2021.
Olivier CARLIER et Danièle LEKIEN, Maire avant juillet 2020. Document INTERNET |
Mme la Maire avait demandé à
l’association de proposer des noms en rapport avec l’histoire locale. Le
conseil en a tenu compte.
Pour les nouvelles résidences de
la rue de la Zone de l’Horloge, des noms d’arbres comme les Mélèzes, les Saules,
…
La résidence de la rue du Nord
prendra le nom de Jules Quintrel.
Projet ASTRID PROMOTION, rue du Nord. 2020. Document INTERNET |
Jules Quintrel était un
instituteur de l'école publique des garçons. Celle-ci a pris le nom de Jules
Ferry le 27 juillet 1937 sur proposition du Maire, Julien NUYTS.
Le 19 septembre 1935, Jules
Quintrel fonde avec quelques personnes l'amicale laïque qui prendra son nom à
sa mort.
Drapeau du Denier et Amicale des Ecoles Laïques de Pérenchies. Dépôt fait à SPMC par Francis VANONACKER |
Arbre de Noël de l’Amicale Laïque Jules Quintrel. 1954. Ariane et Francette VANBIERVLIET et le Père Noêl. Document SPMC numéro 5 505. |
Le conseil a remercié
l’association « Si Pérenchies m’était contée… » pour sa
collaboration.
ATTRIBUTION DES SALLES POUR LES MANIFESTATIONS
DE 2021
La
ville a donné son accord pour nos manifestations de 2021.
Jeudi 7 janvier 2021. 19H. Salle de l’Europe.
Chapitre
de la Confrérie de la Tarte à Prônes de Pérenchies.
Jeudi 28 janvier 2021. 19H. Salle de l’Europe.
Assemblée
Générale de l’association « Si Pérenchies m’était contée… »
Samedi 6 et dimanche 7 février 2021. Fermette
du Fort ( ?)
Exposition
« Pérenchies en cartes postales ».
Samedi 14 et dimanche 15 août 2021. De 10H à
18H. Fermette de la Base de Loisirs du Fort.
Dans
le cadre du Marché des saveurs. Exposition d’histoire locale « L’usine Agache à
Pérenchies ».
Samedi 25 septembre 2021. Salle de l’Europe.
13ème
Fête de la Tarte à Prônes de Pérenchies.
UN OBJET TROUVE
Cette
carte montre la rue de Lille dans les années 30. Sur l’estaminet de la
Brasserie, un panneau indique : Société colombophile LSP. Il s’agit des
« Sans pareils ».
Carte postale de la rue de Lille. Années 30. Document SPMC numéro 1 215. |
D’autres associations existent aussi comme la Pêche. Il y en avait 2. La société de Pêche Agache et la Brême d’Or. Martine et Michel OSTENDE ont trouvé cet insigne.
Insigne de la Société de Pêche « La Brême d’or ». Objet appartenant à M. et Mme Michel OSTENDE |
NOTRE BLOG
Jean-Pierre
et Philippe évoquent les activités du Blog.
Dossiers
prochains :
-
Réunion
de l’association du 3 décembre 2020.
-
Dossier
sur Pierre BONTE.
LA REUNION EN VISIO CONFERENCE
Grâce
à l’appui technique de Jean-Pierre et de ses fils, l’association se réunit en
visioconférence chaque semaine, le jeudi soir, hors vacances scolaires. Cela
remplace les réunions annulées pour cause de pandémie et de confinement.
Une
semaine, Philippe présence les informations sur l’histoire locale.
La
semaine suivante, Jean-Pierre donne la parole aux membres afin d’avoir des
informations sur ce qu’ils vivent en cette période difficile. Il présente aussi
d’anciennes vidéos sur notre commune.
Intervention
de Philippe
Il
faut éteindre les micros pour éviter les interférences.
NOTRE PAGE FACEBOOK
Philippe évoque les futures
pages :
Fin de la publication des photos
de groupes des communions.
Il y aura ensuite un message
d’amitié de Pierre BONTE et un second d’Alain SANTY pour les Pérenchinois.
CONTACT
AVEC LA VOIX DU NORD
Un article est passé en deuxième
page régionale sur Pérenchies vu du ciel le
29 novembre 2020. Il était accompagné d’un texte dont les informations
n’étaient pas correctes.
Vue aérienne de Pérenchies. Edition régionale de la Voix du Nord du 29 novembre 2020. Photographie : Philippe PAUCHET. |
Texte proposé par la Voix du Nord. QUI SUIS-JE ?
La
ville dans laquelle j’ai été construite a longtemps été connue pour son usine
de tissage, propriété de la famille Agache. Village agricole, cette commune est
devenue une petite ville, où de nombreux immigrants se sont installés,
notamment dans l’entre-deux-guerres. Quant à moi, j’ai été édifiée dans un
premier temps sur ce qui fut ensuite un… cimetière. Au XIX e siècle,
il est décidé que ma place est dans le centre-ville. Victime des
bombardements allemands pendant la Première Guerre mondiale, je suis
reconstruite au même endroit, en face de l’hôtel de ville. Je suis l’église
Saint-Léger de Pérenchies.
CORRECTIONS
FAITES PAR PHILIPPE JOURDAN
Merci à la Voix du Nord pour la belle vue aérienne de
Pérenchies prise par Philippe PAUCHET, publiée ce jour, le 29 novembre 2020.
Néanmoins, le texte ne présente pas la réalité de
l’histoire de notre commune et de l‘église Saint-Léger de Pérenchies.
Je me permets donc, président de l’association
d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… » d’apporter quelques
corrections.
"La
ville dans laquelle j’ai été construite a longtemps été connue pour sa filature
et son tissage, propriétés de la famille AGACHE. Village agricole, cette
commune est devenue une petite ville, où de nombreux immigrants se sont
installés, notamment dans l’entre-deux-guerres, pour sa reconstruction. Quant à
moi, j’avais été édifiée, il y a bien longtemps, dans le centre-ville qui se
trouvait alors de l’autre côté de la voie du chemin de fer. Un cimetière
m’entourait. Il sera déménagé, bien plus tard, où il se trouve aujourd'hui.
En
1861, il est décidé mon déplacement sur l’actuel centre de la ville grâce
à la générosité de l’industriel M. DROULERS qui offrira le terrain et de
Mme AGACHE qui prendra à charge les 2/3 du coût de mon édification.
Victime
de bombardements par l’armée anglaise et du dynamitage de mon clocher par les
troupes allemandes afin de récupérer le métal des cloches pendant la Première
Guerre mondiale, je suis reconstruite au même endroit avec un clocher très
différent.
Dans
les années 30, un nouvel hôtel de ville viendra s’implanter près de moi à
l’emplacement d’un ancien estaminet détruit. Je suis l’église Saint-Léger de
Pérenchies".
Philippe
JOURDAN
Président de
l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée…
DEMANDE
RECUE GRACE A LA FEDERATION DES GEANTS
Des
demandes pour de futures fêtes de géants sont reçues mais l’association préfère
attendre un peu afin de voir l’évolution future de la pandémie.
MESSAGE DE MARCEL GABET
Les Ets AGACHE. Années 50/60. Document SPMC numéro 1 253. |
Marcel GABET a apporté des précisions sur le document 1 253 présenté sur le Blog.
« Sur la droite de la photo, on voit un terrain
cultivé. Ce ne sont pas des jardins ouvriers. Ceux-ci se situaient rue Philippe
de Girard, face au terrain de sport, et rue Carnot.
Ce que nous voyons, c'est le jardin des patrons tels René
Descamps, Max Descamps et, sans doute, d'autres comme Claude Saint Léger (Il y
avait beaucoup d'héritiers dans la lignée des Agache).
Le jardinier avait sa maison dans le jardin même. Il s'appelait
Paul Thibaut. IL y cultivait des légumes, des fruits, des fleurs, il y
avait une serre où poussait une grande vigne. Chaque jour ou presque
une camionnette allait à Lille faire ses livraisons. C'était Madame
Thibaut qui préparait les paniers. Elle était assez autoritaire. Monsieur
Gillon a, ensuite, remplacé Monsieur Thibaut quand celui-ci a pris sa retraite.
Par la suite, une nouvelle loi a interdit ce fonctionnement
car le personnel était rétribué par l'usine et cela pouvait être considéré
comme un abus de biens sociaux.
CONTACT AVEC MAV IMMOBILIER
M.
François DUBUS de l’agence MAV IMMOBILIER a contacté notre association pour
demander des photographies anciennes de Pérenchies afin d’en faire 3 posters
pour décorer leur agence.
MAV IMMOBILIER. Agence rue du Général Leclerc. Vers 2020. Document INTERNET. |
GOOGLE
MAPS nous permet de voir l’évolution du quartier.
Rue du Général Leclerc. 2012. Document GOOGLE MAPS. |
Rue du Général Leclerc. 2016. Document GOOGLE MAPS. |
Rue du Général Leclerc. 2020. Document GOOGLE MAPS. |
CONTACT AVEC VINCENT CABY
Vincent
a trouvé des photos anciennes de Pérenchies sur un site de vente d’objets
anciens. Celles-ci ne sont pas mises en vente. Un contact a été pris avec le
commerçant.
Les photos seront publiées
sur Facebook afin d’essayer de reconnaître les personnes qui y figurent.
Carte
présumée montrant des habitants de Pérenchies vers 1944. Document INTERNET. Site Broc-en-Guche. |
La
libération de Pérenchies en septembre 1944.
Document INTERNET. Site Broc-en-Guche
La
libération de Pérenchies en septembre 1944.
Document
INTERNET. Site Broc-en-Guche.
La libération de Pérenchies en septembre 1944. |
Document INTERNET. Site Broc-en-Guche.
Des enfants de Pérenchies. Carte présumée vers 1944. Colonie ? |
Document INTERNET. Site Broc-en-Guche.
DON
Francette Waterblez offre cette
photo de la Voix du Nord à notre association. C’est une photo du basket en
1976/77. Elle l’avait récupérée au bureau local d’Armentières à une époque où
le journal offrait les tirages à ceux qui venaient les chercher.
Le club de basket de Pérenchies. Saison 1976/1977. |
Photographie LA VOIX DU NORD. Edition Armentières.
ENVOI
DE CHRISTIANE LEGRAND
Celle-ci a donné un texte
relatant sa communion. Celui-ci prendra place dans une future plaquette.
Communion solennelle 1961. Document SPMC non répertorié. |
Christiane LEGRAND en communiante en 1961. |
Document SPMC non répertorié
ENVOI
DE THERESE DUMEZ
Thérèse DUMEZ a aussi envoyé son
texte. Il rejoindra également la future plaquette.
Raymonde, Roger et Thérèse DUMEZ en compagnie de Michel et Francine STORMS |
et leur fille Maryse. Le 14 mai 1967. Document Mme VANUXEEM DUMEZ
PATRICIA
DEPARIS
Patricia, qui y a fait sa
communion, nous a envoyé une page d’un album photos sur l’incendie de l’église Saint-Christophe
de Lille/Lomme/Délivrance, le 29
mai 1977 à 19H. Les photos ont été faites par son père. On avait évoqué cet
incendie lors de la réception des souvenirs de Bernadette LEGRAND qui y avait
fait sa communion.
L’incendie de l’église Saint-Christophe de Lille/Lomme/Délivrance le 29 mai 1977. |
Document famille DEPARIS.
ENVOI
DE DANIEL BROHY
Il nous présente une ancienne
voiture.
C’est une SIMCA. La photo est
prise rue Kuhlmann. Daniel BROHY était le client d’André DEGRYSE.
Simca Aronde. 1955/1960. Rue Kuhlmann. Photographie Daniel BROHY. |
ENVOI
DE FLORENCE CAPPELLI
Florence CAPPELLI a envoyé cette photographie de 1930,
montrant sa grand-mère, Victorine BASSé.
On la voit avec son fils Gino (DCD en juillet à l’âge de 6
mois). Elle est accompagnée de Marcelline, future épouse de Valère CLAUW et de sa
mère Julienne BASSé. La photo a sans doute été prise par un photographe
officiel, peut-être, dans la rue, lors de la braderie de juillet de la rue
Agache ?
Victorine BASSÉ, Gino, Marcelline BASSÉ et Julienne BASSÉ. 1930. |
Document Florence CAPPELLI.
Dans le recensement de 1931, on
trouve de nombreuses informations :
Au 55, rue de Lomme habitent
trois personnes :
Florent Bassé, né à Givenchy en
Gohelle (PDC) en 1870. Il est journalier chez Agache.
Il y a ensuite un couple : Di
Guisto Guisto, né à Nîmes en 1905, débardeur chez Bernard et sa femme, Bassé
Victorine, née en 1910 à Lille, fileuse chez Agache.
REPONSE
DE FLORENCE :
Il n’est pas né à Nîmes mais à Nimis,
dans le Frioul, en Italie
Normalement c'est DI-GIUSTO
Giusto. Les Français ont inversés le i et le u et, en plus, le prénom s’est
transformé en Gustave....
CONTACT
AVEC CLAUDINE VANDAELE
Elle a transmis des photos sur
l’Alliance pérenchinoise.
CONTACT
ALAIN DEPARIS
Il a trouvé le catalogue
MANUFRANCE de 1961. Cela peut être intéressant pour notre future exposition sur
les années 50 à 90.
Catalogue MANUFRANCE 1961. Page CUISINE. |
Document Alain DEPARIS.
Catalogue MANUFRANCE 1961. PAGE CHAMBRE. |
Document Alain DEPARIS.
Selon Serge, le CFIP a dans son
local une table de cuisine similaire ainsi que des chaises.
Marie-Thérèse a un
lit-cosy.
Cela nous permettra de créer des
espaces reconstitués lors de notre future exposition sur les années 60/70.
AUTRE
ENVOI D’ALAIN DEPARIS
Il présente le musée de la
Légion d’honneur. Pourquoi ne pas le prévoir dans notre futur voyage à
Paris ?
Programme possible (Rien n’est
figé. Ce sont des projets !) :
-
Matin : balade dans le quartier de
MONTMARTRE.
-
Repas dans le quartier des Halles pour
voir la nouvelle canopée.
-
Traversée de Paris le long de la Seine.
-
Visite du musée de la légion d‘honneur.
La canopée des Halles à Paris. Sortie vers les jardins. |
Document INTERNET.
La canopée des Halles à Paris. Entrée principale. |
Document INTERNET.
Musée de la Légion d’honneur à Paris. Vue 1. |
Document INTERNET.
Musée de la Légion d’honneur à Paris. Vue 2. |
Document INTERNET.
Musée de la Légion d’honneur à Paris. Extérieur. |
Document INTERNET.
HUMOUR
Alain DEPARIS nous a transmis un
texte montrant la richesse de la langue française.
PROCHAINE REUNION
PROGRAMMATION :
Jeudi 10 décembre 2020 à 18H30.
Réunion de convivialité.
Jeudi 17 décembre 2020 à 18H30.
Réunion d’histoire locale. On fera le point sur la nouvelle année et le devenir
de nos réunions.
Philippe
JOURDAN
Le 6
décembre 2020.
Correction
et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.