COMMEMORATION
2020 DE L’APPEL DU 18 JUIN 1940
Comme
chaque année, la commémoration de l’appel du 18 juin 1940 a eu lieu dans notre
commune, tout en respectant le protocole sanitaire et les gestes barrières.
Plus d’une centaine de personnes s’est rassemblée
pour cette cérémonie autorisée à 19h.
Le Général
de Gaulle à Londres. Appel du 18 juin 1940.
Document
internet.
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Affiche
pérenchinoise de la commémoration 2020 de l’appel du 18 juin 1940.
Document
Ville de Pérenchies
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DEROULEMENT DE LA CEREMONIE
Arrivée des drapeaux
5
drapeaux étaient présents cette année : les deux drapeaux de la section
locale de l’UNC et ceux de l’Orchestre d’Harmonie Agache, de la Batterie
Fanfare et du Chœur d’Hommes Agache.
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020.
Arrivée des drapeaux.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Première intervention (Maria)
«Le 28 juin 1919, dans la galerie des glaces, le
traité de Versailles met fin à la Première Guerre mondiale. Malheureusement, le
document, s’il met fin à une guerre cruelle, ne règle pas tout et, dans les
années qui suivent, des minorités font leur apparition et l’idéologie fasciste
s’implante sur le sol européen.
En 1933, en Allemagne, un inconnu se fait
connaître et met en place sa stratégie de vengeance. Il se nomme Adolf Hitler
et il devient le Chancelier du Reich.
En mars 1938, l’Allemagne envahie l’Autriche et
les Sudètes et, en 1939, occupe la Pologne. En septembre, l’Angleterre déclare
la guerre à l’Allemagne suivie de la France. Le 10 mai, Hitler attaque la Belgique
et lance une offensive dans les Ardennes. C’est alors le repli des troupes
alliés sur Dunkerque où se déroule l’Opération Dynamo. Le 14 juin, les troupes
allemandes entrent dans Paris.
Dès l’arrivée des troupes allemandes sur le sol
français, les populations fuient. C’est l’exode.
Le 15 juin, le gouvernement français
démissionne. On appelle alors le vainqueur de 14/18, un vieil homme de 84 ans,
le Maréchal Philippe Pétain qui annonce à la nation française qu’il faut cesser
les combats. L’armistice est signé.
Le sous-secrétaire d’Etat à la guerre, le
Général de Gaulle, n’accepte pas cette décision. Il quitte la France et gagne
Londres pour mener la résistance. Le 18 juin 1940, de la B. B. C. anglaise, il
lance le message suivant qui nous est lu par Jean-Pierre BRAME, président de la
Section locale de l’UNC ».
Les personnalités et les drapeaux. Appel du 18 juin 2020. Lecture du texte par
Maria RODRIGUES.
Document Facebook
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Lecture de l’appel du 18 juin
par le président de l’UNC, section locale, M. BRAME
Plaque du souvenir de l’appel du 18 juin 1940. Place du Général de Gaulle.
Vers 2019.
Document SPMC non répertorié.
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Texte de l'appel du 18 juin 1940
« Les chefs qui, depuis de
nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un
gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en
rapport avec l'ennemi pour cesser le combat. Certes, nous avons été, nous sommes
submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne de l'ennemi. Infiniment
plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands
qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands
qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd’hui.
Mais le dernier mot est-il dit? L'espérance doit-elle disparaître? La défaite
est-elle définitive?
Non ! Croyez-moi, moi qui vous
parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France.
Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule !
Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique
qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser
sans limites l'immense industrie des Etats-Unis. Cette guerre n'est pas limitée
au territoire de notre malheureux pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la
bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes,
tous les retards, toutes les souffrances n'empêchent pas qu'il y a, dans
l'univers, tous les moyens pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés
aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une
force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, général de Gaulle,
actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se
trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs
armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialisés
des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui
viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la Flamme de
la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je
parlerai à la radio de Londres. »
Deuxième intervention (Christiane)
« Le message du Général de Gaulle passera
pratiquement inaperçue lors de sa diffusion. Néanmoins, il sera repris les
jours suivants par la radio puis retranscrit dans les journaux clandestins. De
France mais aussi de plusieurs pays alliés, des femmes et des hommes
rejoindront celui qui avait su dire « non ».
Le gouvernement français ordonne au Général de
Gaulle de rentrer en France. On le rétrograde au rang de colonel puis il est
admis à la retraite d’office par mesure disciplinaire. Le 4 juillet, il est
condamné à 4 ans de prison puis déchu de la nationalité française. Le 2 août 1940,
accusé de trahison, il est condamné à la peine de mort, à la dégradation
militaire et ses biens sont confisqués.
Son message commence à être connu. D'autres
personnes se mobiliseront, rejoindront les maquis et entreront en résistance. Maurice Schumann, un ami de notre ville
où il est souvent venu, s’illustre à Londres comme la voix de la France.
Roger DUTRIEZ, Maire de
Pérenchies, et Maurice SCHUMANN
lors de l’inauguration
de la cantine scolaire, rue du Nord en 1972.
Document SPMC numéro 3 147
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Défilé rue Henri BOUCHERY lors de l’inauguration du
centre CAL Docteur NUYTS le 16 novembre 1986
en présence de Maurice SCHUMANN.
Document SPMC numéro 6 540
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En l'honneur des hommes et des femmes qui ont
répondu à l'appel du Général de Gaulle et pour les militaires et les civils,
blessés ou tués, pour tous ceux qui nous ont rendu la liberté et la dignité,
nous allons fleurir ce monument. Puis, un temps de recueillement suivra.
Pour accompagner ces deux gestes, Sébastien, qui
travaille au service municipal des espaces verts de notre commune, va
interpréter une chanson qui est sans doute l’une des plus célèbres du
répertoire du Royaume Uni, pays qui a su accueillir nos expatriés et installer
les bases pour lutter et retrouver notre liberté.
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020. Lecture
du texte par Christiane LEGRAND.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Dépôt de gerbes et temps de recueillement
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Madame
le Maire, Danièle LEKIEN
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020. Dépôt
de la gerbe par Mme LEKIEN et Jean-Pierre BRAME.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Madame
la Députée, Brigittte LISO
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020. Dépôt
de la gerbe du Députée.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Madame
la Conseillère départementale, Carole BORIE
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020. La
Conseillère départementale dépose l’Oeillet de la Mémoire.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Lecture du message officiel par Danièle LEKIEN,
Maire de Pérenchies
Message de Geneviève DARRIEUSSECQ, secrétaire d’Etat
auprès de la ministre des Armées
«Je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de
tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendait franchir à la nage.»
Le 17 juin 1940, dans les airs, entre Bordeaux et
Londres, Charles de Gaulle mesure l’ampleur de la tâche qui est devant lui
alors que la défaite de la France est consommée, que l’armistice est demandé et
que l’esprit d’abandon a triomphé.
En quittant le sol national, il choisit l’exception,
il refuse l’abaissement.
Sur les rives de la Tamise, rien ne l’attend, ni
troupe ni arme, ni navire ni avion. En France aucune organisation ne s’apprête
à soutenir son action. Tout est à bâtir.
Le Royaume-Uni offre à ce « naufragé de la
désolation », la première de ses armes : les ondes de la BBC. Dans la
matinée du 18 juin 1940, le général de Gaulle rédige des mots qui font corps
avec notre histoire. Il est 18 heures lorsqu’il les prononce. Dans la soirée,
ces paroles irrévocables franchissent la Manche et sèment les graines de l’espérance.
C’était l’Appel du 18 juin, c’était il y a 80 ans,
jour pour jour.
Le général de Gaulle est la première voix à s’opposer
publiquement à l’armistice et à expliquer pourquoi le combat doit se
poursuivre. Il proclame que la défaite de la France n’est pas définitive car
cette guerre est une guerre mondiale. Il lance un cri de ralliement à
destination des militaires, des spécialistes, des ingénieurs… Enfin, il conclut
par un message d’espoir. Il allume ce flambeau de la résistance dont la flamme
allait grandir sans jamais s’éteindre.
L’Appel du 18 juin n’est pas le texte d’un soir, il
est le début d’une épopée : celle de la France libre puis de la France
combattante.
Peu l’ont entendu, seuls quelques groupes déterminés
et quelques vaillants solitaires rejoignent Londres. Ils sont l’avant-garde de
ceux qui refusèrent l’asservissement. La France libre n’allait pas cesser de
croître. Les Français combattants se sont distingués et ont, partout, porté les
armes de la France. Leurs succès et leurs sacrifices se joignaient à ceux de la
Résistance intérieure, à ceux de « l’armée des ombres ». Tant de
destins communs pour un même combat : le refus de la collaboration et la
libération de la patrie. Tant de femmes et d’hommes qui, aux heures les plus
sombres, ont choisi de ne jamais renoncer.
De Gaulle n’entendait pas seulement remettre des
Français dans la guerre mais bien y maintenir la France. En construisant une
armée française, en organisant un Gouvernement, il préparait, au jour de la
Victoire, la place de notre pays à la table des Vainqueurs et le retour de la
République.
En cette année dédiée au général de Gaulle, nous nous
souvenons de la force de son message.
Cet héritage demeure et, plus que jamais, « l’homme du
18 juin » constitue un élément de notre consensus national et une part de notre
identité collective.
Troisième intervention
(Philippe)
« Sur cette place, une plaque rappelle ce
message lancé à tous les Français, il y
a aujourd’hui 80 ans, afin de réagir et de préparer notre libération.
D’ordinaire, c’est devant elle que se déroule cette commémoration. Cette année
particulière, nous avons fait le choix de nous rassembler devant ce monument
aux morts dans un espace plus grand pour faciliter l’organisation de la
cérémonie. Madame le Maire, accompagnée du président de l’UNC, des drapeaux et des
personnes citées tout à l’heure, va aller fleurir ce lieu de mémoire
accompagnés de notre police municipale. Ils seront suivis par les membres du
conseil municipal présents.
Cérémonie de l’appel du 18 juin 1940 en 2020. Cérémonie
devant la plaque du souvenir.
Document Communication Ville de Pérenchies.
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Plaque du souvenir de l’appel du 18 juin 1940 fleurie. Place du Général de
Gaulle. Commémoration 2020.
Document SPMC non répertorié.
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Durant ce temps, nous allons fleurir ce monument
en déposant des Oeillets de la Mémoire sur les buissons qui l’entourent. A
nouveau, Sébastien nous accompagnera de sa belle voix. Toujours en hommage à la
Grande Bretagne dont les troupes ont libéré notre ville le 6 septembre 1944, un
chant anglais est à nouveau interprété car, nous savons et nous devons ne pas
ignorer notre passé. Merci d’avancer sur notre invitation tout en respectant la
distanciation physique et de déposer à tour de rôle les Oeillets de la
Mémoire ».
Monument aux Morts fleuri. Place du Général de Gaulle. Commémoration de
l’appel du 18 juin 1940 ce 18 juin 2020.
Document SPMC non répertorié.
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Quatrième intervention
(Philippe)
« Le 6 juin 1944, en Normandie, pas loin du
Calvados et de Lisieux où des Pérenchinois se sont réfugiés durant la guerre,
les troupes alliés débarquent. Des milliers de soldats vont perdre la vie. Les
pertes civiles sont énormes. Ce sacrifice permettra une longue marche vers la
Liberté et la fin des souffrances. Le 25 août 1944, Paris sera libérée. Le 6
septembre 1944, ce sera au tour de notre ville et de notre région. C'est le 8
mai 1945, à Berlin, que sera signée la capitulation de l'armée allemande. A cette
date, à Pérenchies, tous les déportés ne sont pas encore rentrés. Il faudra
encore de longues années avant de reprendre une vie normale. Pour certaines
familles, cela ne sera jamais plus comme avant.
Maintenant, avec Sébastien, reprenons tous en
chœur notre hymne national, chant guerrier de la révolution française, mais
symbole de notre unité et de notre République sans oublier les mots phares de
notre Nation : Liberté, Egalité, Fraternité et Respect des autres. »
Hymne national.
Discours du Maire, Danièle
LEKIEN
« Madame la Députée, chère Brigitte, Madame la
Conseillère départementale, chère Carole, Monsieur le Président de l’UNC, cher
Jean-Pierre, Mesdames et Messieurs, Bien chers Pérenchinois,
Cette année, la commémoration de l’appel du 18 juin a
revêtu une signification particulière quant à sa configuration, son
organisation et aurait pu aussi mettre en évidence outre que ce soit le 80ème
anniversaire de l’appel du 18 juin, le 130ème anniversaire de la
naissance du Général De Gaulle et le 50ème anniversaire de sa disparition.
Mais cela ne sera pas de mes propos. J’ai souhaité prendre la parole à l’issue
de cette cérémonie pour adresser plusieurs remerciements. Les premiers iront
aux personnes définies par notre Président de la République comme faisant
partie de la 1ère ligne qui ont gagné plusieurs batailles contre
l’ennemi toujours présent autour de nous. La guerre n’est pas finie. Il faut
poursuivre le combat en respectant au mieux les consignes sanitaires. Un merci
particulier aux agents de la Police municipale omniprésents sur le terrain
pendant la période de confinement. Les seconds sont adressés à la seconde
ligne, celle qui nous a permis d’organiser au mieux ce 80ème
anniversaire, soient les agents de notre collectivité qui ont assuré la
continuité de leur service pour le
bien-être des Pérenchinois. Les prochains remerciements iront vers celles et
ceux qui m’ont accompagnée, aidée, soutenue dans ma lourde charge de premier
magistrat notamment dans les moments très officiels comme celui que nous vivons
actuellement, mais aussi dans les moments plus difficiles comme ceux que nous
traversons depuis le 17 mars dernier.
Merci à l’UNC et à son Président
qui m’ont apporté leur contribution et leur soutien dans toutes les
manifestations patriotiques. C’est ainsi par exemple, que le 8 mai dernier,
qu’avec le Président, j’ai déposé une gerbe à ce monument aux morts pour
commémorer la victoire dans les conditions sanitaires requises. Merci aux représentants des
autorités civiles et militaires, d’avoir rehaussé de leur présence les diverses
invitations qui leur ont été adressées. Ce fut pour Pérenchies et moi-même un
réel honneur. Merci à notre Députée, Brigitte LISO qui nous honore de sa
présence à chaque fois que ses lourdes obligations le lui permettent. Je profite de l’occasion pour
vous redire, chers Pérenchinois, que notre Députée a toujours su défendre en
toutes circonstances, les intérêts de notre ville, de ses habitants, de ses
acteurs économiques et cela sans ménager ses efforts. Merci Brigitte.
Merci à notre conseillère départementale qui a su
porter et défendre les gros projets tels que le restaurant les petits gourmets,
l’aménagement du complexe de l’horloge ou encore mettre en avant la rénovation
du collège Jacques Monod. Je n’oublierai pas non plus les aides
financières apportées aux associations
de la commune. Merci Carole.
Merci aux nombreux bénévoles, sympathisants qui sont
venus contribuer spontanément à cet élan de solidarité particulièrement
développé lors du confinement. Bien entendu, j’adresse un merci au CAL Dr
Nuyts, aux couturières, aux donneurs de matériaux, aux petites mains, pour la
confection de près de 4 000 masques. Merci à mes collègues, les élus qui
ont accompli leur mission et je remercierai en particulier celles et ceux qui
ont contribué aux actions menées au cours de ses 3 derniers mois. Celles et
ceux qui ne se sont pas retranchés derrière quelque motif que ce soit pour me
seconder, m’épauler, me soutenir dans cette période inédite.
Ce 18 juin 2020, sera la dernière manifestation sous
mon mandat. Aussi, je tiens ici à adresser à mon ami et collègue Philippe
JOURDAN, non seulement mes plus sincères remerciements mais également mes plus
vives félicitations pour l’ensemble de son œuvre au service de la culture et du
devoir de mémoire. Pérenchies peut être fière de compter parmi ses élus et ce
encore jusqu’au 27 juin, minuit au moins, un élu de cette valeur.
Je terminerai mon propos en vous remerciant toutes et
tous d’abord pour votre présence et pour la confiance que vous m’avez accordée
et vous dire que quels que soient les résultats qui sortiront de l’urne ce
dimanche 28 juin, je resterai fidèle à mes convictions et à ma ville d’adoption
qu’est Pérenchies. Merci de votre écoute.
Je repasse la parole à celui qui, une nouvelle fois, a
organisé de façon magistrale cette cérémonie pleine de surprises et d’émotion
avec le concours notamment de Sébastien ».
Sixième intervention
(Philippe)
« Merci de votre participation à cette
cérémonie. Nous espérons votre présence, le 14 juillet prochain, pour la
cérémonie de notre fête nationale. Portez-vous bien et protégez-vous, mais
aussi les autres, car le virus est toujours là.
En début de cette année scolaire, un concours
d’écriture a été mis en place par la Villa Marguerite Yourcenar et la maison
natale du Général de Gaulle. L’un des thèmes était : « Pour quelle
cause, es-tu prêt à t’engager ? Lance ton appel. » 2 collégiennes de
Sainte-Marie à Pérenchies ont été primées sur les 466 participants. Nous tenons
donc à féliciter : Clara LINLEY, en 5ème, 3ème de sa
catégorie et Claire DEBUISSER, en 4ème, 1ère de sa
catégorie. Les prix seront remis le 20 septembre 2020 à l’occasion des Journées
du patrimoine. Bravo à ces deux Pérenchinoises et à leurs enseignants qui
transmettent ainsi cette valeur éducative du Devoir de Mémoire.
Nos remerciements également à Sébastien Noblesse
qui a accepté d’agrémenter cette cérémonie par les chants interprétés. Je crois
que nous pouvons l’applaudir.
Merci aux services municipaux et à la police
municipale pour l’organisation. Merci enfin aux porte-drapeaux et à Christiane
et Maria pour la lecture des textes.
Nous vous invitons maintenant au verre de
l'amitié qui se prend par tradition au siège de la section locale de l’UNC, au
café du Centre. Merci d’y respecter les gestes barrières et les consignes
transmises par son propriétaire Gaston ».
Merci aux photographes qui ont publié leurs clichés sur les
pages Facebook.
Le président de SPMC
19 juin 2020