mercredi 21 avril 2021

La vie de notre association. Réunions en visioconférence des 4, 19 et 25 mars 2021 de SPMC. 3ème partie/3.

 Malgré la pandémie, notre association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée … » continue ses activités de recherches sur le passé de notre ville.

Les réunions se font chaque semaine, en alternance, l’une dénommée « Convivialité » gérée par Jean-Pierre COMPERE, qui permet d’échanger entre les membres et de parler de notre vie de tous les jours, et l’autre, gérée par moi-même, dénommée « Histoire locale » où je présente les fruits des recherches et les nouveaux documents découverts sur le passé de Pérenchies.

Certaines suivent le calendrier des fêtes « confinées ».


Philippe JOURDAN lors de la visioconférence de SPMC le 25 mars 2021.
Photographie d'écran de Patricia LESSART.

Voici donc la troisième partie du compte-rendu de nos activités de mars 2021.

 

Philippe JOURDAN

Président de SPMC

15 avril 2021 

 

6 mars 2021

Charline HOEDT a envoyé des photos du l’usine Agache, le bobinoir et l’ourdissage. On y voit sa mère, Lucienne HOEDT-SMAGGHE et d’autres personnes comme Yves DELOBEAU, Rolande KNOCKAERT ou Marcel DEVOS Fils.

 

Quelques femmes de chez Agache, au bobinoir. Années 70?
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


Apéritif au Bobinoir chez Agache. Années 70 ?
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


Apéritif au Bobinoir chez Agache. Années 70 ?
Lucienne, Denise Desmet et Eliane Delcampe en bas.
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


Départ à la retraite de Marcel DEVOS Fils. Bobinoir chez Agache. Années 70 ?
Marcel DEVOS Fils et Lucienne HOEDT.
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


Apéritif au Bobinoir chez Agache. Années 70 ?
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


L'ourdissage chez Agache dans les années 70.
Rolande Knockaert.
Document SPMC donné par Charline HOEDT.


La fin de l'ourdissage avant de partir à l'encollage. Ets Agache dans les années 70.
Document SPMC donné par Charline HOEDT.

 

Ets Agache dans les années 70.
Lucienne HOEDT-SMAGGHE, Yves DELOBEAU et Rolande KNOCKAERT.
Document SPMC donné par Charline HOEDT.

  

7 mars 2021

Suite à la découverte du logiciel « Myhéritage », Vincent CABY se propose de faire la démarche pour certaines personnalités de Pérenchies.

 

"La Voix du Nord" de ce 7 mars 2021 ainsi que le journal "Le Monde" mettent en garde les internautes sur l'utilisation de cet outil. "Ce site proposerait des services illégaux en France comme les analyses du génome qui collecte des informations génétiques à travers le Monde".  Le journal conseille "de ne pas fournir de données ou de photos personnelles". C'est vraiment dommage car le résultat était bluffant. Alors, prudence.

 

Vincent a écrit un ouvrage sur un membre de sa famille décédé durant la guerre 1914.1918. Déjà édité sur notre Blog, nous vous proposons de le relire.

 


le livre de Vincent CABY sur Noël MERCIER mort lors de la guerre 1914/1918.
Livre offert à l'association.



« Tout petit déjà, ma grand-mère maternelle me racontait le peu de souvenirs qu'elle avait de son grand frère disparu durant la première guerre mondiale alors qu'elle n'avait que quatre ans. Je me souviens de ces moments passés à discuter tous les deux. Je la revois sortir sa boite en fer carrée pour me montrer des photos ainsi que les lettres que Noël écrivait et recevait durant sa mobilisation. Les souvenirs passés avec ma grand-mère parlant de son frère ont été très forts durant mon enfance. Noël était mon grand oncle, ce lien me parait tellement proche et son histoire, cent ans après, si lointaine: Noël est né le 23 décembre 1894 à Roubaix dans le Nord. Il est le fils d'Hector et de Léonie MERCIER (Mes arrière grands-parents), il est l’aîné d'une fratrie de cinq enfants. Il a une enfance heureuse et mène une vie paisible avec sa famille au 29 de la rue de Flandre à Roubaix. Noël est un élève studieux et obtient son certificat d’études. En 1914, il est employé de tissage à la filature Valentin Roussel de Tourcoing. Il passe ses samedis avec ses copains au patronage et chaque dimanche toute la famille va à l’église. Mais voilà ! Le 1er août 1914, comme partout ailleurs en France, en milieu d'après-midi, le tocsin alerte la population qui découvre l’ordre de mobilisation générale affiché à la mairie.

Noël est mobilisé dès les premiers jours. Il rejoint le dépôt de régiment afin de revêtir son uniforme et d'être équipé. Puis il gagne, en défilant avec ses camarades, la gare où les attend le train régimentaire en partance pour la zone de regroupement de leur armée d'appartenance. Noël est affecté à Bois le roi puis à Dreux au 67ème Régiment d'infanterie sous le numéro matricule 4866. Il sera au bureau de l'habillement pendant plusieurs mois.

Depuis l’arrière du front il écrit à sa mère qu’il est bien logé, mange bien mais qu’il est triste d’être séparé des siens. De plus il n’a aucune nouvelle de son père, Hector, mobilisé également depuis le 15 septembre 1914.

Hector a été versé au service des travailleurs RHT (service des étapes). Il passera par Limoges, Poperinge (BEL), Bronbeek (Belgique) puis Hondschoote où il sera libéré le 30 janvier 1915.

Ne pouvant rentrer chez lui, il partira pour Dreux auprès de Noël.

Père et fils passeront plusieurs mois ensemble.

Le 25 janvier 1916, mauvaise nouvelle, Noël reçoit une seconde affectation. Il est appelé à rejoindre le 97ème régiment d’infanterie sur le front.

Il n'y a pas de mots assez forts pour décrire l'horreur du champ de bataille, l'interminable attente des Poilus dans les tranchées, avec la peur au ventre avant de se lancer à l'assaut des lignes ennemies.

Les soldats trouvent du réconfort dans l’écriture.

Durant de longs mois, Noël écrit du front à ses parents, à l'abbé DEBUSSCHE de sa paroisse et à Pierre son « petit frère de coeur » qui est également mobilisé.

En Mars 1916, Noël est dans les tranchées de Verdun. Chaque jour, à l'aurore, le moment où habituellement l'ennemi attaque, il se réveille au cri du «branle-bas de combat» pour garder les tranchées de la ligne de front. Ensuite, s'il n'y a pas eu d'assaut il se rassemble avec ses camarades pour des inspections, le déjeuner et la distribution des rations quotidiennes. De jour, il effectue des corvées et tous les travaux sous terre à l'abri des tireurs d'élite. La nuit, les soldats réparent les barbelés ou creusent de nouvelles tranchées. Ces taches terminées, Noël se couche dans une casemate protégée sous d'importantes masses de terre. Les Poilus sont découragés et fatigués. Ils vivent et dorment dans l'humidité, la boue, la crasse, dans la puanteur. Noël se lave comme il peut dans la tranchée. Cette vie est pénible sans hygiène avec le manque d'eau pour la toilette. Les périodes de calmes sont entrecoupées par des bombardements et des tirs ennemis.

Le 31 mars 1916, Noël quitte les tranchées de VERDUN avec son régiment. Les pertes sont lourdes : 176 tués, 529 blessés et 78 disparus.

Il part pour une marche de 100 km effectués sur trois jours. Il arrive à Mesnil la tour le 16 avril pour un repos bien mérité en caserne pour une durée de 15 jours avant de reprendre un secteur.

Il est heureux de pouvoir prendre des douches, de pouvoir se raser et dormir sur un lit. Il écrit avant de redescendre en première ligne

Le 21 mai 1916, Noël est agent de liaison dans les tranchées. Il dort dans un abri auprès de son capitaine afin de répondre au plus vite aux ordres. Il est chargé de transmettre les informations au sein de l'armée lors d'opérations qui rendent impossible l'usage du téléphone. Il court entre les postes de commandement. Son régiment effectuera des allers et retours entre le front et l’arrière, entre combat et repos.

Le 1er juin, Noël assiste à un combat entre deux avions qui se termine par la chute de l’aéroplane allemand à environ 1 km de sa position. Il écrit que ses camarades et lui ont couru jusque-là pour y trouver l’appareil en feu.

Fin juin, il est toujours au front et continue de creuser des tranchées la nuit. Il indique dans une lettre qu’il ne peut envoyer qu’une carte tous les deux mois et n’a le droit d’y mettre que vingt mots.

Le 3 août 1916, Noël et en bonne santé et se prépare avec son régiment pour un prochain départ. La journée s’achève par un passage en revue du général de corps d’armée et une présentation au drapeau. Le 97ème régiment est alors mis à disposition du commandement territorial. Noël et ses camarades sont maintenus sur place et continuent les travaux qui leur ont été ordonnés

Le 27 août, les soldats se mettent en route vers le Nord. Le 28 août au soir, Noël est de repos dans la Somme. Il écrit à Hector qu'il monte aux tranchées le lendemain, que les hommes ont reçu les instructions et plus de vin que d'habitude. Le 29 août il est de retour dans les tranchées au Sud de Barleux, dans l’attente d’un prochain combat.

Le 3 septembre 1916, Noël ne sait pas qu’il rédige sa dernière lettre pour son père : « Tu me demandes de faire une lettre pour ma chère maman. Pour l'instant je ne pourrai pas mon cher papa, c'est plus que moi-même. Si jamais il m'arrivait malheur, j'espère qu'à ton retour à Roubaix tu sauras lui dire que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Ma pensée était tous les jours vers elle et nos chers petits, ainsi que vers toute notre famille. Tous les jours dans mes prières je pensais à eux et plus d'une fois j'en ai versé des larmes..."

Le 4 septembre à midi quinze, l’ordre est donné, il doit partir à l'attaque et a pour mission d'enlever Barleux à l’ennemi, puis de se rendre au nord face à Biaches et à Péronne, de façon à fermer la tenaille sur les défenseurs allemands. L'aube a été pluvieuse et chacun est transi de froid. Les hommes s'élancent et enlèvent la première tranchée allemande puis la seconde, mais ils sont alors pris violemment à partie par les défenseurs plus au Nord. Le bataillon français est encerclé de toutes parts et lutte désespérément, les hommes refusent de se rendre et quand l'ennemi les serre de trop près, ils les repoussent à la baïonnette.

Le bombardement est incessant. A 20 heures, tous les éléments ayant participé à l’attaque et qui n’ont pas été tués ou sont disparus, ont rejoint les positions de départ. Les pertes subies ont été signalées à la revue d’effectif du 5 septembre.

Noël disparut durant cette longue journée de combat. A quel moment et de quelle façon ? Nous ne le saurons sans doute jamais.

La bataille fût terrible, les soldats ne pouvaient pas s'arrêter de courir pour aider leurs camarades blessés. Les hommes agonisaient au sol attendant la mort. Les obus tombaient les recouvrant de terre et les faisant disparaître.

Noël avait 21 ans. Il est tombé pour la patrie ».

Vincent CABY.

7 mars 2021

Autorisation d’un concours de pêche à l’étang Agache malgré la pandémie. Petit à petit, les associations essaient de continuer à vivre…


Concours de pêche à l'étang AGACHE.
7 mars 2021.
Photo Christiane LEGRAND.

 

7 mars 2021

Message sur Facebook de Juliette COMYN.

«  Bonjour, j'ai pensé à organiser un rallye photo dans Pérenchies pour les CP et CE1 de l'école Jean Macé. En effet, de sorties scolaires il n'est point question cette année et ce format à pied, avec le masque et sans contact me semble être une belle opportunité pour les enfants et leurs familles de mieux connaître leur lieu de vie et son histoire. Je dois encore soumettre cette idée à la Directrice. Néanmoins, j'aimerais savoir si certains d'entre vous aimeraient nous accompagner sur ce projet . D'avance merci pour votre retour. Excellente fin de semaine à vous ».

 

Réponse de SPMC

« Si vous avez besoin de l'aide de l'association d'histoire locale, pas de problème. N'hésitez pas à aller voir notre Blog qui présente de nombreux documents anciens. On peut aussi vous fournir d'anciennes cartes postales afin de voir les modifications. Le jeune âge des enfants de CP ou CE1 nécessite des adaptations afin qu'ils puissent bien comprendre la notion de temps qui passe. N'hésitez pas à nous demander des éléments précis sur vos objectifs pédagogiques. Nous essaierons d'y répondre. Cordialement. Philippe JOURDAN, président de SPMC ».

           

8 mars 2021

Nous avons eu un message de M. Michel BOUCOIRAN dont les grands-parents maternels habitaient Pérenchies. « Bonjour Pérenchies. Je viens de découvrir « si Pérenchies m'était contée… ». Mes grands-parents maternels étaient de Pérenchies, ville dont je garde de bons souvenirs depuis le milieu des années 40 et jusqu'aux années 80 : grands-parents famille Forbé, cousins Familles  Desquiré, Raas. Oncle Gruson Gustave, Tante Marthe   ,  amis de ma mère famille Degrou … J'en profite pour saluer les membres de si « Perenchies m'était contée... »

 

8 mars 2021

Le site DELCAMPE propose une photo à la vente. Jean-Pierre COMPERE a fait baisser le prix et elle est maintenant en notre possession. Le verso indique le photographe H. DEMEYER à Pérenchies.

 


Recto d'une photographie réalisée par Henri DEMEYER à Pérenchies montrant une vieille femme en tenue du dimanche. Avant 1914 ?
Site de vente par correspondance DELCAMPE.

 

Verso d'une photographie réalisée par Henri DEMEYER à Pérenchies.
Avant 1914 ?
Site de vente par correspondance DELCAMPE.

 

8 mars 2021

Décès en Bretagne, à l’âge de 88 ans, de M. Yvan LOUCHEUR, fondateur des Ets Yvan LOUCHEUR à Pérenchies.

Les funérailles ont eu lieu à Lompret le 18 mars 2021 où les cendres reposeront au columbarium du nouveau cimetière.


Yvan LOUCHEUR. Photo INTERNET.VOIX DU NORD.


Ets Yvan LOUCHEUR, avenue du Bois à Pérenchies (actuelle avenue de Lisieux).
Capture d'écran. Septembre 2008. MAPS

 

Emplacement actuel des Ets Yvan LOUCHEUR, avenue de Lisieux à Pérenchies.
Ets BRUNEEL "Le Fil de vos idées ". Capture d'écran. Août 2020.MAPS

 

9 mars 2021

Les travaux du quartier de l’Horloge et des étangs avancent.

 

Les travaux des nouveaux logements du quartier de l'horloge. Mars 2021. Vue 1.
Photo Christiane LEGRAND.


Les travaux des nouveaux logements du quartier de l'horloge. Mars 2021. Vue 2.
Photo Christiane LEGRAND.


11 mars 2021

Concernant notre recherche sur les communions, j’avais demandé à un membre de la paroisse si nous pouvions consulter les registres paroissiaux et recopier les listes des communiants.

Geneviève VANHEE, après consultation de l’évêché, m’a fait savoir que les registres de catholicité étaient confidentiels et ne pouvaient être consultés.

 

12 mars 2021

Une correspondante de la Palmyre nous a demandé des informations sur le monument aux morts de la Place du général de Gaulle.

« …sous quel mandat le maire et le conseil municipal ont-ils décidé d'honorer les civils morts pour la France en ajoutant une aile au monument aux morts en y gravant leurs noms ? » 

 

NOTRE REPONSE :

L'aile ajoutée n'était pas seulement pour honorer les civils mais toutes les personnes tuées durant la seconde guerre mondiale. Il était même prévu d'agrandir encore plus le monument en ajoutant 1939 et 1945 mais cela ne s'est pas fait, peut-être à cause du coût ?

L’agrandissement a eu lieu après 1945 mais je ne sais pas quand.



Monument aux morts inauguré le 14 septembre 1924.
Document SPMC numéro 1 193


Monument aux morts inauguré en 1924, agrandi après la guerre 1939/1945.
Photographie actuelle.

 

12 mars 2021

Les 13 et 20 juin 2021 se dérouleront deux élections différentes, les élections départementales et régionales. Les bureaux seront donc doublés. Le dimanche 20 juin est aussi le jour de la fête des pères. Il est aussi possible que les élections soient reportées en fonction des règles sanitaires.

 

13 mars 2021

Gérard LHUILLIER, membre de notre association, a, en sa possession, une photographie encadrée de la maison de retraite Agache qui est devenue les Sapins Bleus.

A cette époque, ses parents étaient les concierges de l’établissement appartenant aux Ets Agache géré par les religieuses de Sainte-Marie d’Angers. Toute la famille y a donc habité.

Un témoignage pourrait être fait.

Christiane LEGRAND est allé photographier le cadre qui pourrait être exposé lors de notre exposition sur le thème de « l’usine Agache » prévue le 15 août dans la fermette de la Base de Loisirs du Fort. 


La Fondation Edouard AGACHE, actuels "Sapins Bleus". La plaque inaugurale de 1926.
Document SPMC numéro 889.


TEXTE DE LA PLAQUE INAUGURALE

« Cette maison de retraite a été construite en 1926 pour les vieux ouvriers de la Société de Pérenchies par Madeleine DESCAMPS-AGACHE, Marie-Lucie DELEMER-AGACHE, Donat AGACHE, en mémoire de leur père EDOUARD AGACHE qui dirigea pendant cinquante-six années les Etablissements AGACHE Fils. 1857-1913.»


La Fondation Edouard AGACHE, actuels "Sapins Bleus". L'entrée.
Revue " La construction Moderne".1927.
Document SPMC numéro 670.


La Fondation Edouard AGACHE, actuels "Sapins Bleus". L'un des dortoirs.
Document SPMC numéro 1 441. Vers 1927.

 

La Fondation Edouard AGACHE, actuels "Sapins Bleus". La cuisine et les religieuses.
Document SPMC numéro 1 440. Vers 1927.


La Fondation Edouard AGACHE, actuels "Sapins Bleus".
Noces d'or de M et Mme DUMONT, les concierges en compagnie de la famille et des religieuses.
Document SPMC numéro 931 Bis. Photo non datée. Après 1926.

 

15 mars 2021

La Voix du Nord nous informe de la création d’une nouvelle association sur Pérenchies. En effet, Laetita Shanny BOIN, proche de l’âge de la retraite, a créé une association d’aide aux personnes transgenres dénommée « Trans mixité internationale de Pérenchies ». Par la journaliste Fanny EVRARD, cette nouvelle présidente signale : « Le but principal de l’association, c’est de permettre à des gens qui se cachent de pouvoir vivre la vie qu’ils ont envie de vivre. Je n’ai jamais subi d’agressions transphobes dans les rues ou dans le milieu médical de Pérenchies, chez ma généraliste, ma pharmacie ou mon laboratoire d’analyses… ».

 

15 mars 2021.

Jean-Pierre COMPERE a acheté sur le site DELCAMPE une carte qui a été éditée lors de l’installation de la société REMORY à Pérenchies.


Carte publicitaire achetée par SPMC
 créée lors de l’ouverture des salons funéraires Jacques REMORY.
Document SPMC non numéroté.

 

15 mars 2021.

Patrice SANSOVINI, membre de notre association, a publié, sur Facebook, la photo de ses grands-parents qui vivaient à Popoli en Italie, un nouveau document sur le thème de l’immigration italienne.


Rosina SANSOVINI GIOVANI, décédée vers 2001. La seconde photographie la montre avec son mari Aurélio en 1988.
Photographie publiée par Patrice SANSOVINI.

 
 

Philippe JOURDAN

Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… »

Publié en avril 2021.

 

Quelques membres lors de la visioconférence le 25 mars 2021.
Photographie d'écran de Patricia LESSART.

 

« Vous aimez notre travail et prenez plaisir à suivre nos publications sur le passé de Pérenchies.

N’hésitez pas à nous soutenir en adhérant à notre association. Le bulletin d’adhésion se trouve sur notre Blog. »

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

 

 

 

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