lundi 9 juin 2025

Nos réunions d’histoire locale. Jeudi 22 mai 2025. 1ère partie sur 2.

Le jeudi soir, de 18H30 à 20H15, hors vacances scolaires, les membres actifs de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… » se réunissent dans leur local dans la salle municipale Pierre BONTE du Complexe de l’Horloge, rue des platanes.

Ils y organisent les activités programmées et partagent les découvertes sur le passé de Pérenchies et de ses habitants ainsi que des informations culturelles et historiques.

Voici la 1ère partie de notre réunion du 22 mai 2025.

 

Philippe JOURDAN, Président de SPMC.

1er juin 2025. 



Réunion de l’association d’histoire locale du jeudi 22 mai 2025.

 

ADHESIONS

Deux nouvelles adhésions ont été prises. Nous sommes donc à 108 adhérents pour l’année 2025. Nous étions à 116 en 2024. Nous espérons que d’autres personnes prendront leur adhésion afin de nous soutenir dans nos actions.

 

NOS ACTIVITES

REUNION DE RANGEMENT ET DE CLASSEMENT DE NOS DOCUMENTS DU LUNDI 19 MAI 2025




NOS PROJETS

Vendredi 13 juin 2025.

Présentation de nos deux géants, Jeanne la fileuse et Henri le tisserand dans la salle FESTIVAL à Quesnoy-sur-Deûle dans le cadre de la Journée mondial du Don du sang.

Mercredi 18 juin 2025.

 Présence de nos membres dans le cadre de la commémoration de l’appel du 18 juin 1940 à 18H.

Samedi 21 juin 2025.

Fête de la musique.

Défilé avec nos deux géants, Jeanne la fileuse et Henri le tisserand des Sapins Bleus à la salle des fêtes rénovée. Départ à 17H30.

Mercredi 25 juin 2025.

AG de l’O. M. C. L. 18H30 en mairie.

Samedi 5 juillet 2025.

Passage du Tour de France à Pérenchies.

Caravane à 15H30. Coureurs : 17H30.

Nous serons devant la mairie avec trois de nos géants et notre confrérie.

Lundi 14 juillet.

Fête nationale. Présence de nos membres pour la cérémonie.

 

DES INFORMATIONS SUR LE MOBILIER DE L’EGLISE SAINT-LEGER DE PERENCHIES

Etienne HADOUX, un amateur de l’histoire des environs d’Hazebrouck, ayant lu un de nos dossiers sur notre blog, nous a écrit :

« J’ai remarqué que le maître autel de l'église de Pérenchies est assez similaire à celui de l'église de Godewaersvelde. Il a été réalisé par le sculpteur Gustave PATTEIN. Celui-ci utilise parfois des archétypes pour ses statues mais je n'ai jamais vu deux autels semblables. C'est assez étonnant. Il existe néanmoins des différences : pas de polychromie et pas de calvaire dans la partie haute.

J'ai également vu des photos sur internet de l'ancienne chaire et des autels latéraux et même si je n'en suis pas sûr, ils pourraient être peut-être de lui. Auriez-vous des renseignements sur l’auteur de ce mobilier de l’église de Pérenchies ? » 

Nous lui répondons que le mobilier date des environs de 1928 après les destructions causées par la Première Guerre mondiale. Le sculpteur est Pierre VANBESIEN comme on peut le voir sur les dessins qui se trouvent dans nos archives municipales dans le dossier de reconstruction de l’église.

Monsieur HADOUX nous transmet alors des informations qui s’ajoutent à l’église de notre église paroissiale pérenchinoise. 

« Merci beaucoup pour ces éléments qui clarifient beaucoup de choses. Pierre VANBESIEN a été l'élève de PATTEIN. Il lui a succédé à la tête de son atelier, à sa mort, en 1924. Il a clairement utilisé le dessin du maître autel de Godewaersvelde. PATTEIN n'aurait jamais fait deux fois la même chose mais VANBESIEN ne devait pas avoir ce tabou. Les stalles aussi ont des points communs avec celles de Godewaersvelde. La chaire de Godewaersvelde a aussi Moïse et Saint Pierre sur le côté...

Pierre VANBESIEN (1875-1949) est un sculpteur et un ébéniste. Il fut "Premier élève" de Gustave PATTEIN. Il prend la succession de ce dernier à sa mort. Il meurt en 1949 et est enterré au cimetière d'Hazebrouck.

Merci pour les informations transmises. »

 

« Gustave Pattein (1849-1924). Sculpteur, ébéniste, chevalier de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, frère du peintre César Pattein, homme ingénieux et inventeur de système, adjoint au maire d'Hazebrouck, directeur de la société qu'il a fondé dans cette même ville. Il nait à Steenvoorde en 1849, étudie à Aire sur la Lys puis parvint à suivre les cours de l'école des Beaux-Arts de Lille. Arrivé à l'âge adulte, il commence sa carrière comme collaborateur du sculpteur lillois Charles Buisine-Rigot. Il s'installe ensuite à son compte à Hazebrouck. Au cours de sa carrière, il emploie jusqu'à 60 ouvriers et produit un grand nombre de sculptures et de meubles pour les églises du Nord de la France. Sa production est de grande qualité. Il meurt à Hazebrouck le 20 décembre 1924. Son employé Pierre VANBESIEN prend la succession de l'entreprise. » Wikimédia.

 

Gustave PATTEIN (1849-1924). Sculpteur à Hazebrouck.
Wikimédia.

 

L’ancien maître-autel de l’église Saint-Léger de Pérenchies aujourd’hui disparu.


Le maître-autel de l’église Saint-Pierre de Godewaersvelde.
 Document M. HADOUX.


Monsieur HADOUX remarque quelques petites différences entre les deux autels dont l’absence d’un calvaire au-dessus. 

Le calvaire existe bien sur le dessin de M. VANBESIEN. Dans la chapelle de semaine, se trouvent des éléments en bois qui pourraient provenir de ce calvaire qui aurait été enlevé avant 1958. Nous en avons d’ailleurs trouvé la preuve sur certaines vieilles photographies entre 1924 et 1958 où ce calvaire figure bien au-dessus de l’autel. Nous ne savons pas pourquoi il fut retiré ?

Dessin de M. VANBESIEN. 1928.
 Archives municipales.


Chapelle de semaine avec les éléments de l’ancien calvaire qui se trouvaient sur l’autel de l’église de Pérenchies.


Chœur de l’église de Pérenchies en 1924. Cérémonie patriotique avec reconstitution d’une tombe d’un soldat. Derrière le Christ, sans doute en carton, on voit de chaque côté les éléments du calvaire, la croix étant dissimulée par le décor.


HIER ET AUJOURD’HUI

Deux photographies de la famille de Marie-Ange BULCKE ont été présentées lors de notre réunion. Nous avons eu l’idée de retrouver les lieux aujourd’hui.

Promenade, rue Edouard Agache. Famille de Marie-Ange BULCKE.
Non datée. Seconde moitié XXème.


Rue Edouard Agache. 2008.
Capture d’écran Google Maps.



Rue Edouard Agache. 2024.
Capture d’écran Google Maps.


 

Promenade, rue Carnot. Famille de Marie-Ange BULCKE.
Non datée. Seconde moitié XXème.


Rue Carnot. 2024.
Capture d’écran Google Maps.

 

DE NOUVEAUX DOCUMENTS SUR VENDRESSE

Durant la Seconde Guerre mondiale, les Ets AGACHE ont l’idée de créer un chantier forestier dans les Ardennes prétextant la nécessité pour les troupes allemandes d’obtenir du bois pour le chemin de fer. Ainsi, de nombreux jeunes Pérenchinois et d’autres d’ailleurs ne sont pas partis pour le STO (Service du Travail Obligatoire) en Allemagne.

M. et Mme VANHALWYN ont retrouvées quelques documents et nous les ont offerts.

M. VANHALWYN père au château à Vendresse lors de la guerre 1939/1945


M. VANHALWYN, bûcheron à Vendresse, durant la guerre 1939/1945.


Maison Rouge dans les environs de Vendresse. Il est probable que la famille de M. TARDIF et lui-même, directeur du chantier forestier, figurent sur cette photographie. Guerre 1939/1945.


Photographie de Maison Rouge de nos jours.
Document INTERNET.




Philippe JOURDAN

Président de SPMC

1er juin 2025.

 

Edition et mise en page : Jean-Pierre COMPERE

mercredi 4 juin 2025

Un plan du XVIIème siècle retrouvé dans nos archives.

Lors de notre dernière réunion du jeudi 22 mai 2025, nous avons observé un ancien plan du XVIIème siècle. Nous sommes heureux de vous le présenter.


Philippe JOURDAN

Président de SPMC. 26 mai 2025.

Ce plan provient des archives départementales du Nord (photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660). Il est donc accessible à tous.  Il s’agit d’un plan figuratif de la Cense du Fallot à Frelinghien, Verlinghem et Pérenchies.

Nous sommes dans le quartier des Bas de Pérenchies à l’intersection de la rue de la Prévôté et de la rue du Fresnel. On y voit le château des Prévostez qui se trouve sur le territoire de Frelinghien.


Le plan figuratif de la Cense du Fallot.
La basse cour du château des prévostés. Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.

 

On peut aussi voir ce château sur un autre plan en notre possession. Il n’est pas daté.  


Plan non daté. XVIIème ou XVIIIème siècles. Quartier des Bas de Pérenchies.


Capture Google Maps de l’endroit actuel du château de la Prévôté sur Frelinghien.

Le croisement Prévôté/Fresnel. Non daté.

Le château de la Prévôté. 1696. Détail 1.Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.

 

Le château de la Prévôté. 1696. Détail 2. La ferme du château.Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.


Le château de la Prévôté. 1696. Détail 3. La chapelle.Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.

 

Le château de la Prévôté. 1696. Détail 4. La rue de la Prévôté.
1er tronçon. Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.

 

Le château de la Prévôté. 1696. Détail 5. La rue de la Prévôté. 2ème tronçon.
Archives départementales du Nord.
Photo : Jean-Luc THIEFFRY. Plan 2660.


On y voit le nom « espilles ». Celui-ci existe toujours sur les cartes actuelles sous le mot « Epille » pour mentionner deux chemins présents dans le quartier même si le nom est rarement utilisé par les riverains actuels.

Origine du mot.

Le mot « espille » signifie selon le dictionnaire « dégarnir, dépouiller, enlever la peau, séparer de …. » . Une espille est aussi une épingle dans le patois flamand. 


Capture Google Maps. Sentier de l’Epille. Vue 1.


Capture Google Maps. Sentier de l’Epille. Vue 2.


Capture Google Maps. Sentier de l’Epille. Vue 3.


QUELQUES DOCUMENTS RETROUVÉS DANS NOTRE FONDS DOCUMENTAIRE


Etang du château de la Prévôté. Guerre 1914/1918.
Document acquis par SPMC.


Photographie acquise par SPMC. Bâtiment présumé être sur la parcelle du château ?
Avant la guerre 14/18 ?


Article de presse de la Voix du Nord de février 1966 présentant le manoir qui est construit sur la parcelle de l’ancien château.

 

Selon le journaliste de 1966, « le château avait appartenu à Pierre-Félix de Croix qui l’avait reçu en 1629. L’édifice fut incendié en 1698, rebâti en 1720 et détruit à nouveau en 1793.

La lignée de Croix s’éteignit en 1872. La propriété passa alors entre différentes mains ».  

 

UN TÉMOIGNAGE SUR LES ENVIRONS DU CHÂTEAU DURANT LA GUERRE 1939/1945

Souvenir de Mme Andrée BRAME-ROUSSEL. Mars 2025.

« Je suis née en 1945 à Pérenchies, rue de la Prévôté, dans le quartier des Bas.

Pas loin de la maison, dans les bas, se trouvait un château qui était la propriété de M. FOUCART, un procureur de la République qui habitait Lille. Durant la semaine, il vivait dans un appartement et venait le week-end et durant les vacances scolaires dans sa résidence qui se trouvait de l’autre côté de la rue sur le territoire de Frelinghien. Je sais par l’association d’histoire locale qu’autrefois, il y avait un vieux château entouré d’eau que l’on appelait le château de la Prévôté. Il y avait aussi en face de la rue du Fresnel une chapelle. Mais ces deux constructions n’existaient plus à mon époque. La famille FOUCART vivait dans une sorte de manoir devant les anciennes douves du château. A l’entrée du parc, il y avait la maison des gardiens, M. et Mme VERSLYPE.

Voici des souvenirs qui m’ont été racontés par mes parents.

Un jour, en 1940, venant d’Houplines ou de Belgique, les Allemands sont arrivés. Ma mère faisait sécher son linge dans le jardin derrière la maison. Tout à coup, elle a senti le sol trembler. Il y avait aussi un bruit énorme. Des tanks ouvraient la route à des camions de soldats et à des voitures de gradés. Ils ont fait étape au château qui était vide car la famille des propriétaires était à Lille. Ils ont ordonné au concierge de quitter les lieux afin de laisser la place aux soldats. Ma mère, affolée, s’est précipité dans la maison afin de se mettre à l’abri avec ses quatre enfants âgés de 1 à 8 ans.

Je sais que M. FOUCART et son fils aîné souhaitaient partir défendre notre pays. Ils se sont présentés au centre de recrutement mais ont été refusés car l’un était trop âgé et l’autre trop jeune. Selon ma mère, ils se seraient tournés vers la résistance et, un jour, ils ont été arrêtés et torturés afin qu’ils dénoncent le réseau. Comme ils n’ont pas voulu parler, ils ont été déportés vers un camp et ne sont jamais revenus. Par contre, sa femme et ses autres enfants n’ont jamais été inquiétés.

Une fois, ma famille a connu un moment dramatique. Une voiture venant de Prémesques est arrivée rapidement et a tourné au carrefour puis est passée devant le château en direction d’Houplines. Des « petits cons » comme disait ma mère ont alors mitraillé le château sans faire aucune victime. Malheureusement, une voisine était à l’étage de sa maison pour regarder cachée derrière un rideau. Voyant bouger ce rideau, les Allemands ont donc cru que les tirs venaient de là et ils ont investi les maisons et réclamé les hommes. Tous étaient là sauf mon père qui était à l’usine Agache non pas pour travailler mais pour entretenir les machines et pouvoir les remettre en route dès que la guerre serait terminée. Les Allemands ont donc cru que mon père se cachait et était l’un des tireurs. Ma mère a été mise contre un mur avec ses enfants. Elle avait le plus jeune dans les bras et les autres, âgés de 2 à 8 ans, pleuraient et hurlaient de peur. Allaient-ils tirer ? Un officier est alors arrivé et a donné l’ordre aux soldats de retourner au château. Ma mère était sur le point de défaillir et de s’évanouir de peur. L’officier lui a alors fait des confidences en expliquant qu’il ne voulait pas faire la guerre mais qu’il avait été obligé de s’enrôler de force. Il lui a raconté que lui aussi avait une femme et trois enfants. Il était sans nouvelle d’eux depuis 5 ans et ignorait s’ils étaient encore en vie. Puis il est parti. »



Philippe JOURDAN

Président de SPMC

26 mai 2025.

 

 Edition et mise en page : Jean-Pierre COMPERE

lundi 2 juin 2025

Que sont devenus les cafés et les estaminets d’hier ?

Lors de notre dernière réunion du jeudi 22 mai 2025, des photographies de ces établissements ont été projetées. Nous sommes heureux de vous les présenter.



Philippe JOURDAN

Président de SPMC. 24 mai 2025.



Avant 1914, la population était de 4 207 habitants, la moitié du nombre actuel. Pérenchies comptait alors 50 cafés ou estaminets, c’est-à-dire 1 établissement pour 84 habitants. Souvent, ils étaient tenus par des femmes ; le mari travaillant à la filature ou au tissage des Ets AGACHE. C’était ainsi une source de revenu supplémentaire.

LES ENSEIGNES DES CAFES ET ESTAMINETS DE PERENCHIES ENTRE 1900 ET 2004.

ANIMAUX

Au Pélican. Au Faisan Gris. Au Lion des Flandres. Au Lion d' Or. Au Coq Chantant.

Au Cheval Blanc, Au Coq Hardi. Au Coq Flamand.

EXPRESSIONS

Au rendez-vous des Bons Vivants.Où allons-nous ? Au Tout va bien. Au CœurJoyeux.

A La Bonne Volonté. Au Bon Accueil. Au Bienvenu. A la Paix.

SPORTS

Au Sporting. Au Retour de la Chasse. Au Pénalty. Au Retour du Stade. Au bar des Sports.

Au retour de Sportsmen.

RELIGION

Saint YVES. Sainte BARBE. Saint ANTOINE. Saint MAURICE. Saint HONORE.

Saint MATHIAS. Saint ELOI. Saint LOUIS.

MUSIQUE

L'Harmonie. L'Orphéon. A la Clé de Fa. Aux Mélodies. Le Triolet.

INDUSTRIE ET ACTIVITES

A l’Ouvrage. Au Progrès. A I' Industrie. Le Café du Textile. Le Café de l' Horloge. A la Cloche. La Cantine Ouvrière. Au Commerce. Le Cercle des Cadres. Au Repos des Ouvriers.

LIEUX

Au Moulin Rouge. A La Clef des Champs. Aux Trois Lunettes. A Ma Campagne. La Belle Vue. A La Prévôté. Le Café de la Place. Le Café du Centre. Au Nouveau Pont.

Le Café de l' Hôtel de Ville. A la Nouvelle Citadelle. Au Bon Coin. Le Café de le mairie. L’Estaminet de la Mairie. A la Ville de Schlestadt. Le Café de la Gare. A la Buvette de la Gare. A la Nouvelle Aventure. Le Cinéma des Famille. Aux Quatre Chemins. Au Petit Belgique.

A la Belle Promenade.

A La Brasserie. Le  Café de la Poste. L’Estaminet de la Gare. L’Estaminet de la Poste.

La Tuilerie. Au Tourne Bride. Au Nouveau Tourne Bride. Au Bellevue. Le Miami.

PERSONNAGES

A Cambrinus. A Faidherbe. Aux Sapeurs Pompiers. Aux Routiers. Au Charron.

Au Repos des Voyageurs. A Carnot. Au Repos des Jardiniers. Aux Pieds Nickelés.

DIVERS

Au Globe. Au Rosier d'Or. A l'Aurore. Au Soleil Levant. A la Fleur des Champs. Au Beau Jardin. La Madrague. El Patio. Au Printemps. A la Presse. A la Terrasse. A la Botte de Paille.

Le Zanzi Bar. Au Rallye. A l'Etoile d'Or.

 

LE NOMBRE DE DEBITS DE BOISSONS

En 1855 : 8 établissements (un estaminet pour 117 habitants).

En 1881 : 15 établissements (1pour 167 habitants).

En 1890 : 24 établissements (1 pour 116 habitants).

En 1901 : 37 établissements (1 pour 94 habitants).

En 1914 : 50 établissements (1pour 84 habitants).

En 1922 : 54 établissements (1 pour 45 habitants).

(Après la guerre, toute la population n’était pas encore revenue).

En 1939 : 43 établissements (1pour 103 habitants).

En 1958 : 38 établissements (1pour 103 habitants).

En 1968 : 29 établissements (1pour 192 habitants).

En 1997 : 15 établissements ( 1pour 466 habitants).

En 2024 : 4 établissements (1pour 2 138 habitants).

En 2024 :

Le spot. Le rallye. Le café du centre. Ô rendez-vous.

QUELQUES ETABLISSEMENTS










































 



Philippe JOURDAN

Président de SPMC

24 mai 2025.

 

 Edition et mise en page : Jean-Pierre COMPERE