mercredi 2 juin 2021

La vie de notre association. Réunions des 1er et 22 avril 2021 de SPMC en visioconférence. 2ème partie/3.

Malgré la pandémie, notre association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée … » continue ses activités de recherches sur le passé de notre ville.

Les réunions se font chaque semaine, en alternance, l’une dénommée « Convivialité » gérée par Jean-Pierre COMPERE, qui permet d’échanger entre les membres et de parler de notre vie de tous les jours, et l’autre, gérée par moi-même, dénommée « Histoire locale » où je présente les fruits des recherches et les nouveaux documents découverts sur le passé de Pérenchies.

Certaines suivent le calendrier des fêtes « confinées ».

Réunion en visioconférence du 22 avril 2021. Photo 1.
Capture d’écran de Jean-Pierre COMPERE


Nous remercions Jean-Pierre COMPERE et ses deux fils pour l’aide technique apportée.

 

Voici donc la seconde partie du compte-rendu de nos activités d’avril 2021.

Philippe JOURDAN, Président de SPMC, le 8 mai 2021 

 

QUELQUES INFORMATIONS TRANSMISES A SPMC

 

DECES DU SECRETAIRE DE LA FEDERATION DES GEANTS

Monsieur André DEVINCK, président des amis du Reuze du Patrimoine Folklorique Dunkerquois, secrétaire de la Fédération des géants est décédé,  à Lille, le 14 avril 2021 dans sa 65ième année.


FETE DE LA PIERRE A LEZENNES LE 4 JUILLET 2021 SELON LES CONDITIONS SANITAIRES

Notre association ne participera pas à ce rassemblement de géants car, après un an de non-fonctionnement, nous devons réfléchir à cette activité de portage des géants locaux.  

 

VIE DE L’ASSOCIATION

 

POUR NOS ARCHIVES

Suite à notre demande auprès des trois listes qui ont participé à la campagne électorale de 2020, Philippe VANBENEDEN nous a remis trois affiches de son groupe.

 

LES FORUMS DES WEPPES. SOUVENIR, SOUVENIR…

Frédéric FAUCON, président de WEF, a publié des documents sur le 1er forum des Weppes à Hallennes-Lez-Haubourdin en novembre 1993.

Sur ceux-ci, on voit notre stand ainsi que l’ensemble des participants avec le président de l’époque Michel VERCAEMST qui fut à l’origine de ce forum..


Article de la Voix du Nord de novembre 1993 sur le 1er Forum des Weppes.
A gauche, le stand de Pérenchies.
 Document Weppes-en-Flandre.


Article de la Voix du Nord de novembre 1993 sur le 1er Forum des Weppes.
Les participants.
Document Weppes-en-Flandre.

 

RECHERCHE AUX ARCHIVES PAR MARIE-CLAUDE VERVISCH

Le moulin de Pérenchies


Photo du moulin à Pérenchies en 1912.Documentation Archives Du Nord. Cote : S 5968.
Photo prise par Marie-Claude VERVISCH.


Un document a été trouvé sur le moulin de Pérenchies par Marie-Claude. Dans celui-ci, « le maire de Pérenchies répond au préfet. Le moulin n’est pas à distance déterminée par l’article 43 de l’arrêté du 22 juin. Il est situé au sud du chemin de la croix de pierre et appartient à monsieur François Lienard, fabricant d’huiles. La distance du chemin calculée exactement est de 20m. Il a en conséquence été enjoint au propriétaire de le ceinturer sans délai  conformément à l’article 44 de l’arrêté précité. Signé : Hovelacque, maire ».

 

L’église de Pérenchies

En recherchant la photo du moulin, Marie-Claude a également trouvé une autre photographie que nous connaissions déjà. Il s’agit de l’ancienne église de Pérenchies qui se trouvait autrefois là où se situe actuellement un petit square au début de la rue du Général Leclerc.

On y voit l’église, la ligne du chemin de fer et des chaumières.

Elle a été démolie car trop petite, il fallait soit l’agrandir, soit la construire ailleurs. De plus, la proximité du passage du chemin de fer avait fragilisé les murs.

Elle était entourée du cimetière qui sera déplacé entre les deux guerres.

 


Photo de l’ancienne église de Pérenchies peut-être vers 1912.
Documentation Archives Du Nord. Cote : S 5968.
 Photo prise par Marie-Claude VERVISCH.

  

SUR FACEBOOK, ON RELATE L’ATTENTAT CONTRE NAPOLEON III

RAPPEL :

En septembre 1854, Napoléon III était sur la ligne Lille Calais afin de se rendre aux fêtes de Tournai. Un engin explosif avait été posé sur la voie ferrée entre la gare de Pérenchies et le passage à niveau de Lompret mais l'attentat fut déjoué. 5 hommes ont été arrêtés. L'un fut condamné aux travaux forcés à perpétuité et un autre à 5 ans de prison. 3 personnes furent acquittées. On appela cette affaire "la machine infernale de Pérenchies". Des mécaniciens accusés d'avoir fabriqué l'engin se sont enfuis en Belgique. Ils furent condamnés à mort par la justice mais je ne sais pas les suites ni s'ils ont été retrouvés....

 Il y a quelques décennies, je me suis rendu aux archives nationales à Paris mais je n'ai pas pu consulter les documents qui étaient classés dans un fonds "secrets d'état". A l'époque, pour les consulter, il fallait faire une demande aux autorités et je n'avais pas le temps d'attendre le retour. Aujourd'hui, la consultation est sans doute plus simple. Il existe des comptes-rendus dans les journaux de l'époque que vous pouvez consulter sur Gallica (site de lecture des archives) et sur internet.

Il existe une médaille évoquant cet attentat mais nous n'avons jamais su qui l'avait fabriquée et si elle datait vraiment de cette époque.

On peut la voir sur internet. Sur certains articles, des noms sont cités mais il ne s'agit pas de personnes de notre ville.

 


Médaille sur la machine infernale de Pérenchies.
Document INTERNET.


RECHERCHES DE MARIE-CLAUDE VERVISCH

« Attentat de Pérenchies.

Dans le mois d'août de la même année, la Cour d'assises de Douai jugea l'affaire de la machine infernale placée sur le chemin de fer du Nord dans le but de faire sauter le convoi qui devait conduire l'Empereur aux fêtes de Tournai, le 12 septembre précédent.

La veille du jour indiqué pour le voyage impérial, deux cantonniers avaient découvert sur la voie de fer de Lille à Calais, à proximité de Pérenchies, sous la traverse reliant les deux lignes de rails, une boîte en forte tôle de fer dont le disque supérieur présentait deux petites ouvertures. L'une donnait passage à deux fils métalliques recouverts de coton, qui, de ce point de départ, suivaient la voie le long du rail pour aboutir dans un champ voisin, après un parcours d'environ 35 mètres. Ces fils communiquaient avec une pile de Bunzen.

Les experts chargés par la justice d'examiner la boîte fournirent les conclusions suivantes :

1° Le cylindre contient 2 kg407g de fulminate de mercure, poudre essentiellement fulminante; 2° la pile de Bunzen est assez forte pour déterminer l'explosion au moyen de l'incandescence du fil de platine;

3° l'explosion eût entraîné la démolition de la voie de fer avec projection des rails; et, en admettant le passage simultané d'un train, un déraillement eût infailliblement lieu dans les conditions les plus désastreuses.

La justice avait en main les preuves d'un complot.

Les coupables furent activement recherchés et plusieurs d'entre eux arrêtés. Ils avouèrent que le crime était dirigé contre la vie de l'Empereur.

Les deux frères Jacquin, mécaniciens, accusés d'avoir fabriqué la machine et organisé le complot, se réfugièrent en Belgique.

Dussart, Cordelier, Desrummez, d'Hennin et Desquiens comparurent devant le jury, le 11 août 1855. D'Hennin et Desquiens furent condamnés, l'un aux travaux forcés à perpétuité, l'autre à 5 ans de prison ; les trois premiers furent acquittés.

Le 22, la Cour procéda au jugement des contumaces et condamna les frères Jacquin et Constant Vandomme à la peine des parricides.

 

Attentats et complots contre Napoléon III, histoire complète des attentats et des complots jusqu'à ce jour, accompagnée de portraits et de gravures.Éditeur : (Paris) ; Date d'édition : 1870 ; Sujet : France (1852-1870, Second Empire »

 

CONNAISSEZ-VOUS LES SAINTS DE GLACE ?

Les saints de glace forment une période climatologique située, selon les observations populaires européennes du Haut Moyen Âge, autour des dates des fêtes de Saint-Mamert, Saint-Pancrace et Saint-Servais, traditionnellement célébrées les 11, 12 et 13 mai de chaque année.

Ces saints étaient invoqués par les agriculteurs et jardiniers pour anticiper l'effet d'une baisse de la température sur les cultures, qui pouvait être observée en cette période et qui provoquait le gel (phénomène de la lune rousse).

Une fois cette période passée, le gel ne devait plus être craint.

Statistiquement, le gel survient très rarement lors des saints de glace, les températures minimales lors de cette période sont contrastées d'une année sur l'autre. Par ailleurs, des gelées en plaine ne sont pas impossibles après les saints de glace. Bien que pas toujours vérifiée, la tradition millénaire a pris le pas et certains jardiniers actuels attendent généralement la mi-mai pour planter en extérieur les plantes gélives (tomates, courgettes, etc.).

Cependant, ces dernières remarques doivent être nuancées, car il faut tenir compte de l'évolution du climat en Europe qui a, peut-être, influencé les observations et coutumes populaires.

Les trois principaux saints de glace sont :

          Saint Mamert dont la fête dans l’Église catholique est célébrée le 11 mai. Archevêque de Vienne en Gaule, il est mort en 474. Il est évoqué contre les calamités.

          Saint Pancrace dont la fête dans l’Église catholique est célébrée le 12 mai. Neveu de saint Denis martyr, il fut décapité en 304, à l'âge de 14 ans. C’est le patron des enfants.

          Saint Servais, dont la fête dans l’Église catholique est célébrée le 13 mai. Il fut Évêque de Tongres en Belgique et est mort en 384. Saint Gervais est parfois par erreur cité en lieu et place de saint Servais mais sa fête est célébrée le 19 juin dans l’église catholique.

 

Les trois saints de glace.
Document INTERNET.

 

Majuscule ou pas ? Tiret ou pas ?

Quand on parle du personnage lui-même, l’adjectif « saint » s’écrit avec une minuscule et n’est pas suivi d’un trait d’union : « L’un des apôtres devint saint Jean. »

 

Si le nom du saint contribue à la dénomination d’une rue, d’un édifice, d’un ordre religieux, d’une fête, etc., majuscule et trait d’union s’imposent : « rue Saint-Jean ».

 

La même règle s’applique avec l’adjectif « sainte ».

 

Seule exception à cette règle : Louis IX, alias « Saint Louis » ! Si l’absence de trait d’union est en tout point conforme à ce qui est expliqué plus haut.

Son statut de roi impose une majuscule au mot « Saint ».

 

LE MOIS D’AVRIL 2021 POUR SPMC

 

1er avril

Nous avons eu une réunion conviviale en visioconférence, l’occasion de respecter la tradition des blagues du 1er avril.

 

Carte de 1906, envoyée à Solange CARETTE pour le 1er avril.
Document SPMC prêté pour reproduction par Brigitte TILLE-CARETTE


HISTORIQUE DU 1ER AVRIL.

L'origine la plus connue du premier avril remonterait à l'époque du roi de France Charles IX. Ce dernier décida, en 1564, une réforme du calendrier : alors que l’année commençait en France à Noël, à Pâques ou encore, dans certaines régions, le 25 mars avec une prolongation des fêtes jusqu'au 1er avril, l’édit de Roussillon fit commencer la nouvelle année le 1er janvier.

La date fut étendue à tous les pays chrétiens par le pape Grégoire XIII.

Mais beaucoup de personnes eurent du mal à s'habituer à ce nouveau calendrier et certains n'étaient même pas au courant que la date de la nouvelle année avait changé ! Ils continuèrent donc à s'offrir des cadeaux et des étrennes le 1er Avril.

Aussi, pour se moquer d'eux, quelques petits farceurs ont eu l'idée de leur offrir des cadeaux un peu spéciaux, des faux cadeaux, des cadeaux pour rire...

Et c'est à partir de ce jour-là, raconte-t-on, que chaque année au 1er avril, petits et grands prirent l'habitude de se faire des blagues et des farces.

 

Mais pourquoi un poisson d'avril ?

 


Carte brodée du 1er avril. Début du siècle.
 
Cartes postales anciennes. INTERNET.

 

Il y a plusieurs hypothèses :

La première raconte qu'au début du mois d'avril, alors que la pêche était interdite en France pendant la période de reproduction des poissons, les pêcheurs se voyaient "offrir" un hareng. Le poisson mort accroché dans le dos fut remplacé, au fil du temps, par un poisson en papier.

 

Une seconde histoire, plus récente, veut que le poisson était le symbole du Carême, période chrétienne où il n'est permis de manger que du poisson et aucune autre viande.


Carte du 1er avril. Début du siècle. Le petit pâtissier.
Cartes postales anciennes. INTERNET.


Enfin, une dernière histoire assure que le poisson vient du signe du zodiaque qui se trouve être le dernier signe de l'hiver.

 

Au début du XXème siècle, on s'envoyait des cartes de 1er Avril illustrées par des petits poissons, pour se souhaiter amour, amitié et bonheur !

 

Informations trouvées sur le site INTERNET : « Mômes par parents ».

 

Carte du 1er avril. Début du siècle. L’homme au poisson.
Cartes postales anciennes. INTERNET.


Carte du 1er avril. Début du siècle.  La femme au poisson.
Cartes postales anciennes. INTERNET.


2 avril 2021

Suite à une fermeture de classe prévue en septembre 2021 à l’école maternelle publique Pasteur, les représentants des parents de l’association marquent leur opposition à la décision.

 


Banderole placée sur les grilles de l’école Pasteur.
Document FACEBOOK.


2 avril 2021

Martine PICHON, membre de notre association, a trouvé des photos sur « Métropole de Lille » que nous connaissons déjà. On peut comparer la vue des années 20 à la vue actuelle grâce à MAPS. 

 


Carte postale de la rue Carnot, second tronçon, dans les années 20, après la guerre.
Document SPMC numéro 1 174.



Vue de la rue Carnot, second tronçon, en 2018.
Document MAPS. Capture INTERNET.

 


Carte postale de la rue Carnot, dans les années 20 après la guerre, 1er tronçon.
Document SPMC numéro 1 126

 


Vue de la rue Carnot, premier tronçon, en 2018.
Document MAPS. Capture INTERNET.


Carte postale de la rue Carnot, dans les années 20 après la guerre. La mairie provisoire.
Document SPMC numéro 1 141.

 


Vue de la rue Carnot, la pharmacie, en 2018.
Document MAPS. Capture INTERNET.


L’agrandissement de certaines cartes montre les activités des Pérenchinois d’alors.

 


Extrait de la carte postale de la rue Carnot, dans les années 20 après la guerre, 1er tronçon.
Document SPMC

 

3 avril 2021

Le printemps est arrivé. Roselyne BROHY, membre de notre association,  a publié sur Facebook une photo d’un de ses arbres en fleurs devant chez elle.

 


Un bel arbre devant chez Roselyne, quartier Victor HUGO.
Photographie Roselyne BROHY.

  

Christiane LEGRAND, membre de notre association, quant à elle, nous fait découvrir un petit chemin près de la ruelle des Cousins où le printemps se réveille.

 

Un petit chemin près de la ruelle des cousins. Vive le printemps. Avril 2021.
Photographie Christiane LEGRAND.

  

Malheureusement, les pollueurs sont là !

 


Un petit chemin près de la ruelle des cousins. Manque de civisme. Avril 2021. Vue 1.
Photographie Christiane LEGRAND.


Un petit chemin près de la ruelle des cousins. Manque de civisme. Avril 2021. Vue 2.
Photographie Christiane LEGRAND.


4 avril 2021

Lors d’une ballade printanière, on aperçoit des restes de notre histoire locale : un blockhaus. 


Un blockhaus, témoin de la guerre d’antan à Pérenchies.
Photographie Marie-Christine BOCQUET.


5 avril 2021

-        Mme DELOISON, adjointe aux associations et à la culture, a reçu de la part d’une personne quelques clichés. Elle nous les a donnés. Il s’agit de prises de vues faites lors de la Braderie de juillet. Durant celle-ci, un photographe prenait des photos que les gens pouvaient acheter.

 


Braderie de juillet. Photo sur le pont. Non daté. Vers 60/70 ?
Betty, Jocelyne et Serge VINCK
Document SPMC.


Braderie de juillet. Photo à l’entrée de la rue Edouard Agache. Non daté. Vers 60/70 ?Cliché 1.
Sylvie GHESQUIERE, épouse d'Eugène, et sa fille Martine. 
 Document SPMC.



Braderie de juillet. Photo à l’entrée de la rue Edouard Agache. Non daté. Vers 60/70 ?Cliché 2. Document SPMC.
M. et Mme André Sarassyn-Coisne et leur fille actuellement Mireille BOURGEOIS

 

-        Roselyne et Daniel BROHY, membres de notre association, ont apporté des photos transmises par une proche dont cette photo qui rejoindra le dossier des communions. .

 


Communion de Sylvianne et de Serge WELLEMAN en 1956.
Photographie Transmise par la famille WELLEMAN

 

-        Des textes écrits sur quelques pages, relatant des faits de résistance, nous ont été transmis par la famille CAYZEELE afin de les recopier pour notre mémoire locale.

 


Une des feuilles relatant les faits de résistance de la famille CAYZEELE durant la guerre 1939/1945.

 

-      Michel et Martine OSTENDE, membres de notre association  ont reçu des documents sur des faits de résistance racontés par la famille DEPOORTER.

 

6 avril 2021

Une carte mortuaire a été mise en vente sur le site DELCAMPE. On y évoque le décès de Charles LEMAHIEU, né à Pérenchies le 17 septembre 1924.



Carte mortuaire de Charles LEMAHIEU. 1945.
Projet d’achat sur le site DELCAMPE.

 

Charles LEMAHIEU, fils de Georges LEMAHIEU et d’Antoinette DECLERCQ, né à Pérenchies le 17 septembre 1924.

Arrêté par la SS allemande le 20 juin 1943, exilé en Allemagne le 20 janvier 1944, il est mort pour la patrie le 17 mars 1945 dans le camp de Siegburg.

 

Nous décidons de l’acquérir pour notre fonds documentaire.

 

Philippe JOURDAN

Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… ».

Publié le 2 juin 2021.

 

« Vous aimez notre travail et prenez plaisir à suivre nos publications sur le passé de Pérenchies.

N’hésitez pas à nous soutenir en adhérant à notre association. Le bulletin d’adhésion se trouve sur notre Blog. »

 

Réunion en visioconférence du 22 avril 2021. Photo 3.
Capture d’écran de Jean-Pierre COMPERE

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

mercredi 26 mai 2021

La vie de notre association. Réunions des 1er et 22 avril 2021 de SPMC en visioconférence. 1ère partie/3.

Malgré la pandémie, notre association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée … » continue ses activités de recherches sur le passé de notre ville.

Les réunions se font chaque semaine, en alternance, l’une dénommée « Convivialité » gérée par Jean-Pierre COMPERE, qui permet d’échanger entre les membres et de parler de notre vie de tous les jours, et l’autre, gérée par moi-même, dénommée « Histoire locale » où je présente le  fruit des recherches et les nouveaux documents découverts sur le passé de Pérenchies.

 

Nous remercions Jean-Pierre COMPERE et ses deux fils pour l’aide technique apportée.


Réunion en visioconférence du 1er avril 2021.
Capture d’écran faite par Jean-Pierre COMPERE.

 

Voici donc la 1ère partie du compte-rendu de nos activités d’avril 2021.

Philippe JOURDAN, Président de SPMC, le 8 mai 2021 

 

ACTIVITES DE SPMC AU FIL DU MOIS DE MARS

 

16 mars 2021

SOUVENIR DES DEPORTES

La ville a demandé un texte à lire pour la cérémonie de la Déportation. Nous avons fait le choix du texte d’Alphonse LEVEQUE écrit en mai 1994. (NDLR : Malheureusement, la cérémonie s’est déroulée en comité restreint à cause de la pandémie et des consignes sanitaires.)


Alphonse LEVEQUE, prisonnier de guerre en Prusse orientale.
Document SPMC numéro 3 795


L’association des anciens prisonniers de guerre au cimetière. Dernier quart du 20ème siècle.
Document SPMC numéro 4 666

 

Prisonnier durant 5 ans !

Alphonse LEVEQUE

 

Texte écrit en mai 1994, à l’occasion du cinquantième anniversaire de la Libération de Pérenchies.Documentation : « Si Pérenchies m’était contée… ».

« J’ai été mobilisé en 1938 à l’âge de 37 ans.

En août 1939, j’ai été affecté au 166ème régiment d’infanterie. On a construit des blockhaus qui sont restés inachevés.

En juin 1940, je me suis retrouvé dans les Vosges. Prisonnier, j’ai été emmené près de Strasbourg puis en Allemagne.

On était parfois accueilli à coups de pierres par certains habitants.  Les prisonniers étaient emmenés pour travailler dans des fermes ou des entreprises.

Je suis resté prisonnier plus de 5 ans. On recevait peu de courrier et parfois un colis nous arrivait. On ne pouvait pas s’échapper. Certains ont essayé mais se sont retrouvés dans des camps disciplinaires.

Des prisonniers russes ont été abattus froidement car ils avaient ramassé des pommes de terre dans les champs pour se nourrir.

 

J’ai été libéré en janvier 1945 mais je ne suis rentré à Pérenchies que le 12 septembre 1945. On devait attendre dans des casernes. Ma femme me croyait mort.

Un jour, nous avons embarqué sur un navire norvégien pour Dieppe. Le port était saccagé et ce ne fut pas facile pour y entrer. Quelle émotion en y entendant la Marseillaise !

J’ai rejoint Paris et enfin Pérenchies où j’ai repris mon travail à la fabrique chez Agache.

Puis, je me suis fait inscrire à la section des prisonniers de guerre et, par la suite, j’en suis devenu le Président ».

Le texte sera publié dans notre Blog pour la commémoration de la journée d’hommage à la Déportation dans la semaine du 25 avril 2021.

 

UN NOUVEAU DOCUMENT TROUVE

Christiane LEGRAND est allée photographier une photo encadrée qui provient de l’ancienne fondation Agache, les actuels Sapins Bleus.

Celle-ci appartient à Gérard LHUILLIER, membre de notre association, et provient de ses parents qui y étaient concierges. Elle doit dater des environs de 1926. 


Cadre de la fondation Edouard AGACHE vers 1926. Recto.
Document Gérard LHUILLIER prêté à SPMC.

 

17 mars 2021

UNE PAGE SUR LES WEPPES

Joseph WATRELOS d’Haubourdin nous a contactés. Il participe aux activités de Santes.

« J'ai créé, il y a quelques mois, une page d'abord destinée à Santes. Puis, j'ai agrandi mes recherches sur les WEPPES dont une grande partie de ma famille est originaire. Votre commune en fait partie, j'ai trouvé vos articles forts intéressants et d'une documentation parfaite. M'autorisez-vous à les publier sur notre page ?

https://www.facebook.com/59211santesrecherchesgenealogiques

Je vous remercie par avance. Cordialement. »

 

20 et 21 mars 2021

PERENCHIES, VILLE PROPRE

Des bénévoles ont participé à l’opération de propreté. Voici quelques photographies de cette activité citoyenne.


Des bénévoles pérenchinois lors de la campagne. Vue 1.
Photographie Facebook ville de Pérenchies.


Des bénévoles pérenchinois lors de la campagne. Vue 2.
Photographie Delphine LOBBRECHT.


Des bénévoles pérenchinois lors de la campagne. Vue 3.
Photographie Facebook ville de Pérenchies.

 

21 mars 20

INCIDENT A LA FABRIQUE

Un article d’un journal d’avant 1914 a été trouvé par Eliane HAUSPIE, membre de notre association. On n’en connait ni le titre, ni la date.

« Pérenchies.

Après boire, deux Flamands vident une vieille rancune. L’un blesse l’autre à la tête d’un vigoureux coup de chope.

Deux Flamands, depuis un certain temps déjà fixés à Pérenchies, étaient depuis plusieurs mois en désaccord pour des raisons d’ordre intime insignifiantes.

L’un, Théophile CREUS, 21 ans, est un brave ouvrier, bien noté d’ailleurs à Pérenchies, et qui est employé à la Filature de M. Agache comme charretier.

L’autre, Hilaire SWINDOO, 21 ans également, est connu comme paresseux et ivrogne et n’a aucun métier fixe.

Tous deux sont sujets belges et ont tiré en Belgique l’an dernier pour être soldats cette année.

Dimanche dernier, ils avaient eu une violente discussion qui avait failli tourner au tragique. Ils ne se quittèrent qu’en jurant qu’ils se reverraient.

Ils se rencontrèrent, à nouveau, mardi, vers quatre heures de l’après-midi comme Creus entrait à la filature avec un tombereau de houille.  Résolument, SWINDOO l’aborda et lui rappela la querelle de dimanche. Puis, après maintes injures, il prit une chope qu’il tenait dans la poche de sa veste et en assena au malheureux charretier un coup vigoureux derrière la tête.

Perdant le sang en abondance, Creus alla se réfugier au café VANHÉE. Il réclamait un médecin disant qu’il sentait des éclats de verre dans sa plaie. Le docteur DUBLY vint peu après en effet et, le pansa. La blessure n’est d’ailleurs pas grave ». 

 

22 mars 2021

LA FAMILLE CAYZEELE ET LA RESISTANCE

a   Sur Facebook, Daniel Cayzeele, qui habite Mons en Baroeul, a publié des écrits de son père, Henri Cayzeele, et de son grand-père (1946), Arthur Cayzeele. Ceux-ci ont participé à la résistance durant la seconde guerre mondiale.

Le père habitait au 85, rue de la Prévôté.

Sur Maps, de nos jours, le 85 rue de la Prévôté, c’est au-dessus de chez Finot.

M.M Delobel dit qu’il a habité ensuite rue de la Poste. 

b)     Dans nos archives, nous avons trouvé des informations sur cette famille.

En 1933, la famille habite au 11, rue de la Pannerie. Le numéro changera ensuite.

La famille est arrivée à Pérenchies le 5 avril 1933 venant de Prémesques.

Arthur était né le 15 avril 1900 à Houplines. Il était ouvrier d'usine. Il avait épousé à Armentières Raymonde Comyn le 7 août 1920. Elle était née à Pérenchies le 30 novembre 1902. Elle était ménagère.                                                                                                     

Plusieurs autres personnes sont dans le foyer :

Rémy, né le 30 01 1923 à Houplines,

Agnès, née le 05 09 1924 à Armentières,

Henri, né le 29 06 1927 à Houplines, marié à Pérenchies le 30 11 1946,

Jean, né le 26 02 1929 à Prémesques,

Christiane, née le 10 01 1932 à Prémesques,

Renée, née le 24 08 1933 à Pérenchies,

Marceau, né le 19 09 1933 à Pérenchies,

Gilbert, né le 04 09 1938 à Pérenchies,

Georges, né le 12 02 1941 à Pérenchies,

Claude, né le 18 06 1942 à Pérenchies et DCD le 18 09 1942 et

Andrée, née le 11 05 1944 (? date un peu difficile à lire) à Pérenchies.

Certaines personnes partent le 22 août 1956 pour Saint-André, rue Vauban.  

c)     Suite à notre demande, la famille  CAYZEELE nous a envoyé des photos de l’album de famille.

 

Mariage d’Arthur et de Raymonde CAYZEELE en 1946.
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.



La femme d’Arthur CAYZEELE, Raymonde COMYN. Années 50/60 ?
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.

 


Arthur CAYZEELE. Années 50/60 ?
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.


Henri CAYZEELE lors de son service militaire en 1947.
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.



Henri CAYZEELE et son épouse. Non daté.
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.


Arthur CAYZEELE et 2 de ses fils, Henri et Jean vers les années 50/60.
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.

 

La famille d’Arthur CAYZEELE. Non daté.
Photo transmise pour copie par la famille CAYZEELE.

 

23 mars 2021

UN NOUVEAU PROGRAMME IMMOBILIER RUE EDOUARD AGACHE

Un nouveau programme immobilier rue Edouard Agache verra bientôt le jour près de l’étang Agache.

 

 

Dessin du nouveau lotissement, près de l’étang et de la rue Agache.
Document de vente proposé par « Avenue immobilier Métropole Pérenchies ».


Une des rues du nouveau lotissement, entre l’allée de l’étang et  la rue Edouard Agache.
Document de vente proposé par « Avenue immobilier Métropole Pérenchies ».

 


Panneau publicitaire annonçant la création d’un nouveau lotissement
entre l’allée de l’étang et la rue Edouard Agache. 
Photo Christiane LEGRAND. Avril 2021.


Les anciens garages, près de l’allée de l’étang, qui seront détruits.
Photo Christiane LEGRAND. Avril 2021.


Espace actuel à l’emplacement du futur lotissement.
Photo Christiane LEGRAND. Avril 2021.

 

POURSUITE DES VACCINATIONS

Des membres de notre association participent à la campagne de vaccinations afin d’arrêter la pandémie causée par la covid.

 


Deux Pérenchinoises prêtes à se faire vacciner. Mars 2021.
Photographie SPMC.

 

24 mars 2021

PERENCHIES SE TRANSFORME

De nouvelles salles pour un kiné à Pérenchies.

 


Une nouvelle décoration pour les salles.
Document FACEBOOK.


Un nouvel accueil.
Document FACEBOOK.

 

Un passage protégé rue des Gais Logis

 

Installation d’un nouveau passage protégé rue des Gais Logis.
Photographie Christiane LEGRAND

 

TRAVAUX AU MUSEE DES BEAUX ARTS DE LILLE

La section des œuvres du Moyen Age et de la Renaissance du musée des Beaux-Arts de Lille va être transformée et proposera une nouvelle présentation.

Il est à savoir qu’une des pièces maîtresses provient de l’église de Pérenchies où elle était accrochée.  

 

Monument funéraire de Pierre de Pérenchies et de sa femme Jeanne de la Becque.Vers 1492.
 Musée des Beaux-Arts de Lille.
Document SPMC non numéroté.

 

Il s’agit du monument funéraire de Pierre de Pérenchies et de Jeanne de la Becque, son épouse. Pierre est mort en 1412 et Jeanne de la Becque en 1393.

Au centre, la Vierge tient l’enfant Jésus posé sur ses genoux. Elle tourne un livre de la main gauche.

Le défunt est à la droite de la Vierge à gauche du panneau. Il est représenté avec ses deux fils et présenté par Saint Pierre.

La défunte est avec ses trois filles et est présentée par Saint-Jean.

Deux anges tiennent des écus avec des armoiries.

Le monument est en pierre de Tournai. Il serait daté de 1492. Les prières des défunts sont dans des phylactères, de longues bandes qui s’enroulent. Une longue épitaphe de 5 lignes occupe le bas du panneau.

A l’origine, ce monument était fermé par des volets comme le montrent des gonds encore visibles. Le monument mesure 1m90 sur 1m15. C’est le plus gros monument de ce genre.   

Il se trouvait autrefois dans l’ancienne église de Pérenchies. Il a été acheté à un dénommé M. Carlier par le musée entre 1865 et 1868.

 

Monument funéraire de Pierre de Pérenchies et de sa femme Jeanne de la Becque.Vers 1492.
Musée des Beaux-Arts de Lille. Il provient de l’église de Pérenchies.Le côté du défunt.
Document SPMC numéro 3  296


Monument funéraire de Pierre de Pérenchies et de sa femme Jeanne de la Becque.Vers 1492.
Musée des Beaux-Arts de Lille. Il provient de l’église de Pérenchies.Le côté de la défunte.
Document SPMC numéro 3  297

 

Courant mars 2021

DECES DE MICHEL SLEMBROUCK

Nous avons appris le décès de Michel SLEMBROUCK, époux de Marie-Jo DEVOS le 25 mars 2021, à l’âge de 72 ans. La célébration des funérailles aura lieu, dans le respect des restrictions actuelles, le mercredi 31 mars à 9h30 en l’église Saint Léger de Pérenchies, paroisse Notre Dame des Sources.

Il avait trois enfants, Marie, Igor et Zoé, et 6 petits-enfants.

Il naquit de la famille SLEMBROUCK connue pour les transports en autobus dont l'histoire commença dans notre ville.

Retraité de l'Education nationale, il fut instituteur et directeur de l'école Jean Macé à Pérenchies.

Il avait plusieurs passions dont le chant qu'il pratiquait au sein de la Chorale Agache dénommée désormais Chœur d'Hommes Agache ainsi que dans la Chorale Saint-Léger.

Il participa activement à la vie paroissiale de l'église Saint-Léger de Pérenchies de la paroisse Notre Dame des Sources.

 

CP de M. SLEMBROUCK de l’école Jean Macé en 1994.
Document SPMC. Copains  d’Avant.



L’école Jean Macé avant 1995.
Document SPMC.


UN NOUVEAU LOTISSEMENT, RUE DE LA POSTE EN 1958

Daniel CAYZEELE a retrouvé un article de presse de 1958, date à laquelle les propriétaires du nouveau lotissement, rue de la poste, reçoivent leurs clefs.  .

Les nouveaux locataires sont:

1 Slembrouck, 3 Fortrie, 5 Lecroix, 7 Pétillon, 9 Mme Starck, 11 Cayzeele, 13 Menu : 15 Delmotte, 17 De Ruyter, 19 Provost, 21 Houzet, 23 Dewulf.

 

Article de presse de 1958 sur l’installation d’un nouveau lotissement en 1958 rue de la gare.
Journal non connu.
Document Daniel CAYZEELE.

 

M. CESAR SOHIER EVOQUE JULES DELOBEL DANS SON TEXTE REDIGE EN 1997.

En 1922, je suis également entré chez Agache, j’étais sous les ordres de Jules Delobel qui était responsable de la bonne marche des métiers à tisser automatiques « Northrop ».

 

Jules DELOBEL et les Ets Agache. Non daté. Peut-être avant 1914 ?
Document SPMC numéro 579

 

LES ANCIENS RECENSEMENTS NOUS DONNENT DES PRECISIONS

SUR JULES DELOBEL.

Des informations nous sont données par le recensement de 1926.

« Jules DELOBEL est né en 1868 à Pérenchies. Il habitait 145 rue de la Prévôté (Ancienne numérotation. Selon Marguerite-Marie DELOBEL, aux environs du 393 actuel).

Il travaillait comme ouvrier d’usine chez Agache. Sa femme se nommait Léonie BARBEZ. Elle était née en 1865 à Pérenchies.

 

Jules DELOBEL et son épouse Léonie BARBEZ en compagnie de leurs enfants,
Abel DELOBEL (Né en 1900) et Marcel DELOBEL (Né en 1909).Avant 1914.
Document SPMC numéro 3 176.

 

Ils ont eu plusieurs enfants dont Marina décédée jeune, Marcel DELOBEL né en 1909 à Pérenchies, menuisier chez Pasbecq et Abel DELOBEL,  né en 1900 à Pérenchies, menuisier chez Verlay.

Abel se mariera en premières noces avec Blanche AHACHE, étaleuse chez Agache, née en 1898 à Lomme.

Ils auront plusieurs enfants dont Christiane (née en 1924), Roger, Suzanne, …

En 1926, Abel habitait au 71 rue de Lille, ancienne numération. 

Abel se mariera en secondes noces avec Marie-Henriette AHACHE et aura d’autres enfants dont Françoise, Jean-Pierre, Bernard (Père de Benoît DELOBEL), Michel, Marie-Thérèse et Danièle). »

 

SUR CESAR SOHIER

« Aloïs René SOHIER est né le 11 mai 1866 à Dranoutre. Il fut veilleur. Il est décédé à Pérenchies le 30 mai 1948.

Il fut marié à Eudoxie Pharaïlde BAILLEL à Westoutre le 18 mai 1899.

Celle-ci est née à Westoutre le 17 juin 1873. Elle fut ménagère. Elle est décédée en 1961.

Elle avait quitté Pérenchies pour l’Hospice d’Houplines le 29/01/1960.

Elle est enterrée dans le cimetière de Pérenchies.

César Lucien SOHIER, leur fils, est né à Armentières le 8/01/1910.

Il fut ouvrier d’usine. Il se maria à Prémesques en 1932.

Il quitta Pérenchies, le 15 juin 1933 pour La Madeleine.  

 

LE DECES DE RAFAEL RODRIGUEZ ;

Marie-Thérèse RODRIGUEZ-HAGHEDOOREN, membre de notre association d'histoire locale, vient de perdre son époux, Rafael RODRIGUEZ, décédé le 27 mars 2021, à l'âge de 78 ans.

Il était membre du Chœur d'Hommes Agache, lourdement affecté ces temps-ci.

Les funérailles ont eu lieu le jeudi 1er avril 2021, à 9H30, en l'église Saint-Léger de Pérenchies.

Il avait 2 filles Manuela et Sylvie, deux gendres Damien TURBELIN et Bertrand TILLE et 5 petits-enfants.

 

Rafael RODRIGUEZ.
Photographie trouvée sur le mortuaire.

 

29 mars 2021

Mme CROCETTA Evelyne, membre de notre association, a fait à nouveau un don d’objets pour notre association :

-        Un livre de cuisine avec le cachet de la ville, sans doute le livre qui était remis en cadeau lors des mariages.

-        Un ouvre bouteille avec une plaque : Limonades LUANA.

-        2 porte-clefs publicitaires.

-        1 paquet de feuilles de cigarette.

-        1  petite bobine de fil.

Merci à elle. Ces objets rejoindront notre fonds d’objets anciens sur Pérenchies.

 

Philippe JOURDAN

Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… »


Réunion en visioconférence du 15 avril 2021.
Capture d’écran de Jean-Pierre COMPERE

 

« Vous aimez notre travail et prenez plaisir à suivre nos publications sur le passé de Pérenchies.

N’hésitez pas à nous soutenir en adhérant à notre association.

Le bulletin d’adhésion se trouve sur notre Blog. »

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.