jeudi 12 janvier 2023

Les activités de « Si Pérenchies m’était contée… » d’octobre à décembre 2022… Partie 5 sur 8.

Chaque semaine, les membres actifs de « Si Pérenchies m’était contée… » se réunissent le jeudi soir pour une réunion d’histoire locale et le lundi après-midi pour des activités de rangement et de classement.

Comme toujours, nous participons à la vie locale et présentons aussi nos activités.

En voici le compte-rendu d’octobre à décembre 2022.  


Logo 2. Frise Hiver.
 INTERNET.

 

QUELQUES DOCUMENTS

 

DOCUMENT TRANSMIS PAR Bernadette LEGRAND.

 

Signature de Guy DRUT.
 Dédicace appartenant à Bernadette LEGRAND.

 

Guy DRUT reçu en mairie de Pérenchies en juin 2003.
Photographie Bernadette LEGRAND.

 

LIVRE DE PASCAL SERGENT. LA SAGA DE L’EQUIPE CYCLISTE BIC 1967/1974

Nous avons acquis pour notre bibliothèque cet ouvrage qui évoque l’équipe BIC entre 1967 et 1974 et parmi d’autres coureurs cyclistes, les frères SANTY, Alain et Guy.

 


La saga BIC par Pascal SERGENT. Couverture.
Livre acheté par SPMC.


Alain et Guy SANTY de l’équipe BIC. Vers les années 70.
Document INTERNET.

 

AUTRE PROJET POUR NOTRE BLOG

Suite à la remise de la médaille de la ville à Luc RENOU, un futur dossier présentera la liste de tous les médaillés et des documents photographiques.

La médaille de la ville a été créée par Roger DUTRIEZ en septembre 1977. Elle est alors dénommée Médaille d’honneur de la ville de Pérenchies.

La première médaille est remise à Eugène GHESQUIERE, Secrétaire général honoraire. Une réception a eu lieu le 27 mai 1977 pour marquer son départ en retraite, après 46 ans passés au service de la commune dont 24 ans en tant que Secrétaire Général.

Le 18 septembre 1977, une nouvelle réception est organisée au cours de laquelle on lui remet la première médaille de la ville de Pérenchies.

 


M. Eugène GHESQUIERE. 1977.
Document SPMC.

 

Son poste sera pourvu à Guy GHESTEM qui arrive de la mairie de Dunkerque.

 

Guy GHESTEM. Secrétaire de la mairie de Pérenchies en 1977.
Bulletin municipal SERVIR 1978.
 Document SPMC.

 

Le 9 octobre 1983, la médaille est dénommée Médaille de la ville.

 

Le 9 juin 1985, elle est dénommée Médaille d’Or de la ville.

 

Le 14 novembre 1986, on la désigne comme Médaille d’or à l’effigie de la ville.

 

La médaille d’or à l’effigie de la ville de Pérenchies. 1986.


Le 14 novembre 1986, lors du vernissage du 1er forum des associations à caractère culturel, Gérard LENFANT, adjoint de la culture et des loisirs, présente la nouvelle médaille de la ville :

« Ce retour aux sources est la meilleure définition de ce que nous avons voulu faire graver dans le bronze de la médaille de notre ville. La composition est le fruit d’une longue réflexion qui s’est cristallisée sur un dessin réalisé par M. Francis FINOT, équilibré dans les formes, beau dans sa sobriété, noble dans sa simplicité. Cette médaille, collectivement nôtre, est à l’image du visage d’un vieillard buriné par le travail et marqué par le fardeau des ans, mais qui rayonne la joie calme et profonde de la tâche bien accomplie, respectueux de l’histoire que, dans l’ombre peut-être, il a martelé, jour après jour. Comme moi, vous avez la chance de rencontrer de tels hommes ou femmes, profondément fiers de leur Pérenchies, leur mairie, leur église, leur maison de retraite, fiers aussi de leur usine. C’est pourquoi, nous avons voulu associer et styliser dans la même empreinte ces quatre dimensions. Elles définissent notre commune qui, pendant plus de 150 ans, a vécu au rythme des navettes, au pied des trois cheminées qu’ainsi nous immortalisons ». 

La première médaille est remise à Roger DUTRIEZ, maire.

 

Remise de la nouvelle médaille à Roger DUTRIEZ par Gérard LENFANT en 1986.
Document SPMC.


Le forum regroupait les associations suivantes : l’association des familles, le groupe Tarentelle de la GV, les parents d‘élèves des écoles publiques, les parents d‘élèves de l’école Sainte-Marie, les Amis d’Overath, le centre CAL, la chorale Agache, Enfance et Loisirs, l’Alliance pérenchinoise, l’harmonie Agache, l’école de musique, l’amicale laïque Jules Quintrel, le Centre de Loisirs des Enfants de Pérenchies et le groupement des arts. 

 

Philippe JOURDAN, responsable d’ENFANCE ET LOISIRS en 1986, a retrouvé des photos du stand de son association.  


Le stand d’ENFANCE et LOISIRS en 1986.
Album personnel de Philippe JOURDAN.

 

Le stand d’ENFANCE et LOISIRS en 1986. Quelques animateurs du Club NCC.
Album personnel de Philippe JOURDAN.


L’Association ENFANCE ET LOISIRS lors du forum des associations culturelles. 1986.
Gérard LENFANT, Xavier et Jean-François, animateurs NCC et Henri JOURDAN.
Album personnel de Philippe JOURDAN.

 

Le 8 mai 1996, la médaille reprend le nom de Médaille de la ville.

 

La médaille de la ville de Pérenchies. 2022.
Photographie : Patricia LESSART.

 

Il y a eu 67 remises de cette médaille, plaquettes comprises.

Plusieurs ont été remises à des couples comme M. et Mme DEVISSCHER, responsable de la chorale Saint-Léger.

 

La nouvelle médaille a été dessinée par Michel VASSEUR suite à un concours organisé par la municipalité.

 

Remise de la médaille de la ville en 1980 à Achille REANT par Roger DUTRIEZ.
Document Odile BAUET-REANT.

 

Remise de la médaille de la ville en 1987 à Michel DOOGHE,curé de Pérenchies
 par Roger DUTRIEZ.
Document SPMC.

 

Remise de la médaille de la ville en 2013 à Achille PEYRONNET par Bernard PROVO.
Document Communication municipale.

 

Remise de la médaille de la ville en 2019 à
 Pierre DUFOSSEZ, Régine BOSSAERT, Bernadette LEGRAND, Roger BEE, Roger et Monique DEVISSCHER, Patrick DUPIRE, Heike HOWE et Serge MOUTIEZ par Danièle LEKIEN.
Document Communication municipale scannée.


Remise de la médaille de la ville en 2022 à Luc RENOU par Carole GRUSON.
Photographie Patricia LESSART.

 

DOCUMENTS SUR LE MAGASIN TROUBAT

Il y a quelques années, la famille DE SOUSA-TROUBAT nous avait confié l’ancien comptoir du magasin familial qui se trouvait rue de la Prévôté. Par manque de place, SPMC ne peut plus le conserver et il a été décidé de le confier au musée de Steenwerck pour une future salle qui sera créée en janvier 2023.

Nous avons retrouvé quelques photographies de ce magasin et du comptoir.

  

M. et Mme TROUBAT dans leur nouveau magasin, une épicerie, en 1951.
Document SPMC numéro 3 645.

 

M. et Mme TROUBAT dans leur magasin. La vitrine. 1951.
Document SPMC.

 

Mme TROUBAT dans son magasin. Vers 1951.
Document SPMC.


JO DE PARIS EN 2024. LA MASCOTTE EST DEVOILEE

La mascotte olympique est un personnage imaginaire symbolisant l'esprit des Jeux olympiques modernes. Depuis les Jeux d'hiver de 1968, chaque édition des Jeux (été et hiver) possède une mascotte officielle. Les Jeux paralympiques disposent aussi de la leur.

Les mascottes sont souvent le reflet de la culture et de l'histoire de la région. Elles ont été également conçues pour incarner les idéaux de l'Olympisme et du Mouvement paralympique.

Origines :

La première apparition d'une mascotte aux Jeux olympiques remonte à 1932, à Los Angeles. Un jeune chien, nommé Smoky, né juste avant le début des Jeux, s'est vu attribuer le titre de mascotte du village olympique. Aux Jeux de Grenoble en 1968, une nouvelle mascotte est créée. Il s'agit d'un dauphin, Dof, mais elle est vite abandonnée au profit d'un autre personnage, Shuss, qui se rapprochait plus de l'environnement isérois. Ces mascottes sont non-officielles, mais Shuss est considérée par le CIO comme la première mascotte olympique.

 

SHUSS, la mascotte des J. O. de Grenoble en 1968.
Document INTERNET.


LES PHRYGES, les mascottes des J. O. de Paris de 2024.
Document INTERNET.


Les mascottes des J. O. de Paris 2024 représentent des bonnets phrygiens.

Le bonnet phrygien est un couvre-chef (ou coiffure), souvent de teinte rouge, pouvant porter ou non une cocarde bleu-blanc-rouge.

Il est l'un des symboles de la République française et l'un des attributs de Marianne, mais également de nombreux pays d'Amérique latine.

On le considère traditionnellement comme étant un bonnet d'origine antique, plus précisément de Phrygie, d'où son nom.

Il tire sa symbolique de liberté de sa ressemblance avec le pileus (chapeau en latin) qui coiffait les esclaves affranchis de l'Empire romain, représentant leur libération.

Ce bonnet est repris en France au début de l'été 1790 comme symbole de la liberté et du civisme, d'où son nom de « bonnet de la liberté ».

Depuis la Révolution, le bonnet phrygien coiffe Marianne, la figure allégorique de la République française.

 

Marianne par BUFFET.
 Document INTERNET.

 

Marianne offerte à SPMC par Pierre BONTE. Elle porte le bonnet phrygien.
Collection SPMC.

 

BRADERIE DE LA PETITE BELGIQUE 

Lors de la Braderie de la Petite Belgique, nous avons acquis cet objet que l’on trouvait dans toutes les maisons autrefois. Il s’agit d’un inhalateur.

 

Inhalateur ancien.
Fonds SPMC.


Logo 3 frise hiver.
 INTERNET.

 

Philippe JOURDAN,

Président et animateur de « Si Pérenchies m’était contée… »

Facebook Si Pérenchies m’était contée

Janvier 2023.

  

Correction et édition : Jean-Pierre COMPERE



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