mercredi 11 novembre 2020

Vie de notre association d’histoire locale. Réunion du 5 novembre 2020 en visioconférence.

 

Test du 31 octobre 2020 pour la visioconférence.
capture d'écran : Jean-Pierre COMPERE.

 

Suite aux interdictions de se réunir à cause des consignes sanitaires suite à la pandémie, nous organisons dorénavant une visioconférence pour les membres actifs de notre association, le jeudi.

Un compte-rendu de cette réunion est créé et partagé avec toutes les personnes intéressées par notre histoire locale.

C’est aussi le moyen de vous faire découvrir nos actions mais aussi des documents que nous recevons ou que nous recherchons dans les archives.

Merci à Jean-Pierre COMPERE et à ses fils pour l’aide technique apportée pour la concrétisation de ces réunions et pour la diffusion sur notre Blog.

Nous espérons que vous prendrez plaisir à nous lire et à vous plonger dans le passé de Pérenchies, cette petite ville des Hauts de France que nous aimons tant.

N’hésitez pas non plus à nous transmettre vos réflexions, vos critiques et vos encouragements.

 

Vous pouvez aussi nous soutenir, financièrement et moralement, en adhérant à notre association. Une fiche d’adhésion existe sur ce blog.

 

N’hésitez pas non plus à nous transmettre vos témoignages, vos objets, vos photographies et, ainsi, à développer notre patrimoine local qui héritera, très prochainement, d’un nouvel et bel écrin.

SPMC

 

Philippe JOURDAN

Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… »

8 novembre 2020.

 

LA PAROLE AUX MEMBRES

 

Message d’Eliane HAUSPIE.

Partie du message envoyé le 22 octobre 2020 par Eliane HAUSPIE, membre de notre association, suite à l’hommage national rendu à la Sorbonne en souvenir de Samuel PATY, professeur assassiné par un terroriste islamiste.

 

 


Samuel PATY, professeur d’histoire, de géographie et d’EMC.
Source : INTERNET


« Hier j’ai suivi avec attention la cérémonie en hommage à  cet enseignant. Le matin,  Jean-Pierre a mis à la fenêtre le drapeau français

J’ai eu d’excellents professeurs et je pense souvent à eux, surtout à mes profs d’histoire. L’un d’eux était le fils de ma merveilleuse institutrice de CP (elle fut également celle de ma mère). Il était très sévère, mais il voulait faire de nous des citoyens honnêtes et nous donner une chance dans la vie. Lui  aussi avait abordé les caricatures, bien sûr pas celles de Mahomet, mais de Daumier et son histoire

Je crois que j’étais en 6ième (1962-63), il nous a emmenés en bus à Pecquencourt voir l’exposition sur ce caricaturiste. Le sujet n’est pas d’aujourd’hui. J’appréciais énormément ce prof qui a été aussi mon prof de français en 3ème. Il était élu dans la commune et il a fondé le club des jeunes dont je faisais partie.

Lors de mon mariage, j’ai demandé à mon cousin, maire de la commune, de l’autoriser à présider la cérémonie.

IL s’appelait Max IMBERT et nous l’avions surnommé « nounours ». Il n’était pas très grand mais un peu fort. Il est hélas décédé de parkinson et d’Alzheimer.

Je pense à ces profs de philo qui doivent aborder le sujet  sur les religions, tout au moins c’était au programme des scientifiques.

Un de mes camarades était prêtre Mormon. Notre prof lui a permis d’exposer sa religion. C’est ça la liberté la laïcité.

La connaissance est une richesse et c’est souvent les enseignants, surtout lorsque l’on a eu des parents qui n’ont pas eu la chance d’aller beaucoup à l’école, qui nous l’ont donnée, qui ont aiguisé notre curiosité… »

 

Message de Frédéric FAUCON, président de Weppes-en-Flandre.

 

Philippe JOURDAN, Chantal DHENNIN et Frédéric FAUCON.
Document WEF


« Chères amies, chers amis,

A la mi-septembre, il m'avait fallu prendre la douloureuse décision d'annuler l'édition 2020 du forum des Weppes. La situation sanitaire de cette fin de mois d'octobre a montré que c'était malheureusement la décision la plus sage à prendre. Tout comme Weppes en Flandre, vous aviez préparé des manifestations que vous espériez mener à bien en cette fin d'année.

Tel n'en sera pas le cas, puisque nous sommes reconfinés. 

Mais ce soir, c'est un message de confiance en l'avenir que je veux vous adresser. Nous finirons bien par voir luire la lumière à la fin du tunnel et alors il sera possible de revenir à nos pratiques favorites de partage de nos découvertes avec nos concitoyens.

Quelques perspectives pour les mois qui vont suivre.

Tout d'abord, Weppes en Flandre, avec la municipalité et la société historique de Gondecourt, va maintenant travailler à la préparation de l'édition 2021 qui sera un forum de la châtellenie de Lille programmé le dimanche 3 octobre 2021 à Gondecourt. Vous pouvez donc déjà noter ce rendez-vous sur vos tablettes. Quant à nous, avec les restrictions de circulation actuelles, il va nous falloir faire preuve de plus d'imagination encore dans la préparation pour que l'événement puisse se dérouler dans d'aussi bonnes conditions qu'en 2016 à Quesnoy-sur-Deûle. Je rappelle que celles et ceux d'entre vous qui ont acquitté leur cotisation en 2020 sont à jour pour l'année 2021.

Le thème retenu est celui de la châtellenie de Lille au Moyen Âge. Vous pouvez d'ores et déjà, pour celles et ceux qui le peuvent, commencer à travailler sur le sujet. Compte tenu du nombre d'articles attendu et du travail à fournir ensuite par notre secrétaire Dominique Facon, la date du 30 juin pour la remise de vos textes sera véritablement une date butoir.

Autre nouvelle. Avant le confinement, j'ai pu récupérer la bibliothèque de notre chère amie Chantal Dhennin. Elle ira dès que possible enrichir la bibliothèque de Weppes en Flandre déposée à la médiathèque d'Escobecques et gérée par Véronique Crinquette et son équipe. Vous y trouverez des ouvrages d'histoire générale (Nouvelle histoire de la Révolution française de Jean-Clément Martin, histoire de la France sous l'Occupation de Julian Jackson et beaucoup d'autres), les livres des colloques auxquels elle a participé avec ses articles à l'intérieur, certaines de nos revues comme celle de Comines-Warneton, de nombreux ouvrages d'histoire locale... Je vous tiendrai au courant de son dépôt et de sa mise à disposition.

Enfin le blog de Weppes en Flandre continue à fonctionner. Faute d'informations fraîches, de reportages ou d'annonces, il me faut parfois déployer des trésors d'imagination pour l'alimenter mais j'y arrive encore. Si certains veulent alimenter la réserve d'articles, ils sont bien évidemment les bienvenus. Par ailleurs, la fonction d'entraide est toujours active et régulièrement féconde.

Mes chers amis, avant de vous souhaiter un bon week-end malgré tout, je voudrais vous demander de bien faire attention à vous.

En effet, je voudrais vous garder parmi nous le plus longtemps possible. Et je voudrais aussi vous dire en conclusion à quel point je suis fier et heureux d'être le président de notre communauté de Weppes en Flandre.

A bientôt. Amitiés. Frédéric »

 

Intervention des membres actifs :

Bernadette.

Elle va apporter plusieurs documents sur les communions et les anciennes voitures.

Serge.

Il évoque la page Facebook créée en mars ou avril qui se nomme « Pérenchies-Pietralunga ». Il donne quelques nouvelles de Piétralunga touchée par plusieurs cas de Covid.

Plusieurs mesures ont été mises en place (couvre-feu, limitation dans les commerces,…). Les écoles restent ouvertes.

Pierre.

Pierre signale que le voyage à Paris organisé par l’OMCL est annulé suite au confinement de novembre 2020.

Daniel.

Suppression des cérémonies du 11 novembre. Seule une délégation municipale et deux membres de l’UNC dont le porte-drapeau et le président iront sur les monuments commémoratifs.

Jean-Pierre et Thérèse-Marie.

Annonce de la reprise sur le Blog d’un document par jour durant le second confinement.

Début de rédaction de l’histoire de la famille VANHEE.

Une amie de la famille a travaillé sur un autre texte sur l’histoire de la rue du Général Leclerc.

Marie-Claude

Elle recherche des informations pour des anciennes photographies qu’elle possède afin de verser des copies sur le compte de SPMC.

Elle a trouvé aussi des informations sur une sorte de rallye organisé en 1929.

Philippe D

Il présentera prochainement un texte sur sa communion accompagné de photographies.

Martine et Michel.

Une connaissance a remis plusieurs documents et offert un livre « les années Yéyé ». Celui-ci pourra servir pour l’expo sur les années 60 à 90.

Une autre personne aurait aussi des documents à remettre sur l’Alliance pérenchinoise.

Marguerite-Marie.

Après avoir rédigé un texte sur sa communion privée, elle va préparer celui sur sa communion solennelle.

 

Messages reçus

Roseline DELANNOY.

Message par Facebook envoyé le 31 octobre 2020.

« Bonjour, je suis née à Pérenchies en 1946 où j'ai vécu 30 ans. Expatriée en Savoie depuis 40 ans, c'est avec grand plaisir que je vois vos articles. Un grand merci à vous. 

 

Contact avec Pierre BONTE.

On l’a informé de l’avancée des travaux du Complexe de l’Horloge et du futur espace d’histoire locale « Pierre BONTE ».

Il a des documents à nous remettre.

Un texte de soutien à ses amis Pérenchinois a été transmis. Il fera l’objet d’un futur dossier sur le Blog ? 

Quelques photos ou documents :

 

Carton de naissance de Pierre BONTE en 1932.
Document personnel de Pierre BONTE

 

Le Petit rapporteur. 1975/1976.
Document personnel de Pierre BONTE.

 

Dénomination de la salle Pierre Bonte. 2020.
Photographie : Didier DELIGNE

 

Lors de la Toussaint, Madame la Maire rencontrée au cimetière propose de publier le message de Pierre BONTE dans une prochaine édition du bulletin municipal.

 

Réception du bulletin du Cercle historique d’Aubers-en-Weppes.

 

Bulletin du cercle historique d’Aubers.
Exemplaire SPMC.


On y apprend, grâce à Dominique FACON, président du Patrimoine Santois,  que la mère du général de GAULLE, Jeanne de GAULLE-MAILLOT, possédait 11 hectares de terre à Santes. Suite à son décès, celles-ci reviennent en juillet 1940 au général qui les laissera exploitées par la famille COUSTENOBLE dont il touchera des fermages. Entre 1947 et 1958, le général viendra dans la ferme sans attirer l’attention.

2020 est une année particulière concernant Charles de GAULLE :

130ème anniversaire de sa naissance. Il est né le 22 novembre 1890 à Lille.

80ème anniversaire de l’appel du 18 juin 1940.

50ème anniversaire de sa disparition. Il est décédé le 9 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Eglises.

 

ACTIVITES DE L’ASSOCIATION

 

Information municipale

La maire nous informe que la cérémonie du 11 novembre se déroulera avec un nombre restreint de participants à cause des consignes sanitaires. Elle nous remercie d’avoir répondu présent pour y participer avec des textes. L’organisation envisagée ne nous permettra pas d’y être. On sera donc recontacté pour le 11 novembre 2021. 

 

Rangement de notre matériel dans le complexe de l’Horloge.

 

Rangement local SPMC le vendredi 23 octobre 2020.
Photo Patricia LESSART


Mise en place des réunions en visioconférence.

Avec l’aide technique de Jean-Pierre COMPERE et de ses fils, le système « Teams » permettra que notre association se réunisse en visioconférence avec la possibilité d’un nombre important d’intervenants et de passer des documents et des photographies en illustration.

Réunions prévues :

Jeudi 5 novembre 2020 à 18H30.

Jeudi 19 novembre 2020.

Jeudi 3 décembre 2020.

Jeudi 17 décembre 2020.

 Si la crise sanitaire dure, il est possible que notre Chapitre de la Confrérie et l’A.G. soient diffusés par ce moyen. Concernant l’A. G., elle serait reconnue par l’administration et donc légale.

 

Le Blog

Nous avons publié 4 dossiers :

Réunions d’octobre 2020. 1ère partie.

Réunions d’octobre 2020. Seconde partie.

De semaines en semaines « octobre 2020 ». 1ère partie.

De semaines en semaines « octobre 2020 ». Seconde partie.

 

Sont prévus :

Le dossier sur Pierre BONTE.

La réunion de l’association du 5 novembre 2020.

De semaines en semaines « novembre 2020 ».

 

Relance de la série « un document chaque jour » sur le thème des cartes postales.

Le lundi, avant 14. Le mardi, la guerre 14/18. Le mercredi, la reconstruction. Le jeudi, les années 30 à 50. Le vendredi, les années 60 à 70. Le samedi, les cartes plus récentes. Le dimanche, les cartes fantaisies.

 

La page Facebook

Notre page a touché 2 447 personnes.

Le dossier « COMMUNION »

On a lancé la série des communions solennelles. Cela marche très bien puisque la photo numéro 2 a eu 1 218 personnes touchées. D’autres photographies que l’on n’avait pas nous ont été envoyées.

Plusieurs personnes ont envoyé de nouvelles photographies que nous ne connaissions point. Merci à elles.

 

Communion privée en 1954 ou 1955.
Photographie d'Annie PELISSIER

 

Des problèmes se posent :

Les gens disent : « il y a mon frère », « il y a ma mère » sans plus de précisions ! .

On n’a pas l’année.

La position est compliquée. On ne comprend pas toujours si on est en haut ou en bas et si on compte de droite ou de gauche !

Il peut y avoir aussi des erreurs.

Il faut donc être vigilant mais on reconnait que l’outil est un plus pour notre association.

 

Témoignage de Marguerite-Marie DELOBEL

Le texte sera publié dans le dossier sur les communions.

 


Marguerite-Marie LESCHAEVE le 26 avril 1953.
Photo familiale

 

Les voitures anciennes.

Nous avons eu quelques retour mais pas assez.

 

 

Jeannine et Henri CASSAN. Rue du Général Leclerc. 1963.  La caravelle.
Document famille CASSAN

 

Pointe d’humour. Les enfants ont aussi leurs véhicules.

 

                                Ginette CAPPELLI-DI GIUSTO et sa fille Florence dans sa voiture.

          

 

L’objet mystérieux.

Une connaissance de Daniel BROHY a trouvés des morceaux de bois chez une vieille dame de Pérenchies. Elle dit qu’ils proviendraient de chez Agache. Une photo qui ressemble à ces éléments a été trouvée sur internet mais sans explications.

 

Eléments d’une machine industrielle.
INTERNET

 

Après plusieurs contacts et retour de courrier, nous connaissons l’objet.

Fabienne BONDUE et olivier CLYNCKEMAILLIE du musée de la rubanerie de Comines Belgique ont trouvé la solution :

«  Il s’agirait d’un cantre, ou râtelier, statif supportant les bobines de fil entrant en ligne de compte pour le tissage. Les pièces en porcelaine et disques de bakélite sont appelés "freins de fils" et servaient à maintenir la tension requise pour chaque fil. Avant d'être en métal, ce meuble était en bois ».

 

Une photographie d’une procession. 

  

Procession dans le quartier du Grand But vers 1955 ou 1956.
Photographie de Myriam LEBRUN-LEPRETRE

Un appel a été lancé sur cette photographie d’une procession dans le quartier du Grand But.

 

Un autre sujet pourrait être lancé comme « les entrées ou les sorties d’usine » ou « les groupes d’ouvriers » ?

 

Trois ouvrières inconnues. Agache Provenance : Famille DEBRUYNE



 

Sortie d'usine Agache. Vers 1933/1934 ?




Selon Myriam LEBRUN-LEPRETRE : 

La 3ème ouvrière à droite est Yvonne VANMEENEN, née à Prémesques en 1915.

Elle fut mariée en octobre 1935 avec M. LEBRUN.

 

Message de Jonathan MINNE sur les réseaux.

Jonathan MINNE, gérant de la page Facebbok « Familles et Généalogie de Pérenchies » a envoyé ce message :

« Bonjour il serait intéressant de prendre en photo le cimetière de Pérenchies où beaucoup de tombes ont déjà disparu. Les morts pour la France ont déjà été pris.

Il suffit de prendre chaque tombe entière puis une photo de la photographie de la personne s’il  y en a une sur la tombe

Moi, je vais faire un cimetière près de chez moi. Je prends toute les tombes dont le décès est avant 1990 ».

Cette quête est importante mais il faudrait du temps…

 

DECOUVERTES D’HISTOIRE LOCALE

Photos d’un mariage en 1960.

On a offert à l’association une couronne de mariage datant du 4 juin 1960. On nous a fait parvenir des photographies qui vont compléter cette donation.

 

Couronne portée par Monique DEVISSCHER lors de son mariage.
Capture d'écran réalisée par Marie-Christine BOCQUET.


Mariage de Roger et Monique DEVISSCHER le 4 juin 1960. Mairie.
Photo : Monique DEVISSCHER

 

Roger et Monique DEVISSCHER le 4 juin 1960. La sortie de l’église.
Photo : Monique DEVISSCHER.

 

Lettre et documents envoyés par René DERVAUX.

Courrier de M. DERVAUX du 27 10 2020.

« Cher Philippe Jourdan,

Je suis René Dervaux, un vieux (82 ans) Pérenchinois : j'ai vécu à Pérenchies de ma naissance en 1938 jusqu'au printemps 1954, (au 76, aujourd'hui 78, rue Henri Bouchery). Mes parents, Henri et Madeleine Dervaux, sont revenus "finir leurs jours" à Pérenchies dans les années 70 (dans la cité St Léger). Je conserve de la famille bien établie à Pérenchies, des cousins germains.

Ils m'ont fait découvrir votre site "Si Pérenchies m'était contée" que je visite régulièrement avec beaucoup de plaisir et d'émotion. C'est pourquoi, venant de retrouver un vieil album de photographies familiales, je vous envoie quelques clichés qui peuvent vous intéresser :

Une photo de communion solennelle de 1949.

 

Communion 1949. René Dervaux, Monique Creus et Jacques Dewulf.
Photo de René Dervaux.


Une photo de classe de l'école de Pérenchies.

La 2ème classe 1947-1948. A l'époque, on ne parlait pas de CP ni de CM, la 1ère était la classe du certif, et la 2ème normalement celle des 12-13 ans. Mon instituteur, Monsieur HERRENG incarnait pour moi le "Hussard de la République".  Je suis assis au 1er rang à gauche. Je crois reconnaitre : Roland Desquirez, Jean Casier, Paul Desquirez, Jean-Claude Cazier, Jean-Pierre Dumont, Lebrun, Monsieur Herreng et Serge Vanderstraeten

 

Ecole publique des garçons. La 2ème classe avec M. Herreng. 1947/1948.
Photo de René Dervaux.


Une photo du « Clair Orchestre ».

Ce Big band a sévi dans toutes les kermesses paroissiales du coin de 1950 à 1955 ou plus.

Il était patronné par le Cercle des jeunes "Général Leclerc" que dirigeait Roger Dutriez, assisté de Serge Vanderstraeten. Le nom de l'orchestre venait du nom du cercle. Sur la photo, prise à la salle des fêtes, où je ne figure pas, c'était peut-être juste après mon départ.

On peut reconnaitre : Pierre Wilmez, Pierre Dutoit, Roland Cayselle, Roland Dewulf, Bernard Desbonnets, Claude Dumont, Jacques Dewulf, Jean Casier, Guy Lebrun, Paul Desquirez, Delannoy et Jean-Pierre Dumont.

Peut-être existe-t-il des enregistrements de l'époque. Un bon sujet d'article et de recherches : l'histoire du Clair Orchestre

 

Le Clair Orchestre. Entre 1950 et 1955.
Photo de René Dervaux.

 

Une photo de la Libération de Pérenchies, le 13? septembre 1944.

Cela reste un souvenir très fort de mon enfance. Une colonne anglaise est passée devant chez nous, rue Henri Bouchery, direction Lompret et ça a duré plusieurs heures, avec récolte de chocolats au passage! Je ne sais pas qui est la charmante petite fille au drapeau.

 

Libération de Pérenchies en septembre 1944. Rue de Lille (actuelle rue du Général Leclerc).
Les trois frères Dervaux, François, Bertrand et René. Photographie de René Dervaux.


Voilà, la vie m'a éloigné définitivement de Pérenchies. J'habite au pied des Pyrénées mais j'y retourne souvent en pensée. J'ai converti mon épouse bordelaise aux vertus de l’tart' aux prônes et, aujourd'hui, grâce à votre site, j'espère que ma modeste contribution vous aura intéressé.

PS

Pourquoi pas une rubrique patoisante sur votre site, avant que les locuteurs disparaissent ?

Ch'est enne séquo qui pourrot faire plaiji à cheux quil'parlottent incor... »

 

Autres envois ou contacts :

Photos Chantal RUHANT-TONNEAU

 

Défilé des majorettes, rue de la Prévôté. Années 70/80
Photo Chantal RUHANT-TONNEAU


 

 

La rue de la Prévôté dans les Bas près de la chapelle. Vers 1958/61.
Photo Chantal RUHANT-TONNEAU


Contact avec une lectrice Facebook. Maurice SCHUMANN.

La Palmyre Essonne.

« Bonjour M. Jourdan, avez-vous connaissance des visites répétées de Maurice Schumann, journaliste, homme politique, à Pérenchies ? »

Réponse de SPMC :  

« Monsieur Schumann était un grand ami d'un des maires de Pérenchies. Il venait effectivement souvent à Pérenchies. Il habitait Tourcoing. On a pu le croiser sur notre commune comme à l’inauguration du futur centre social Docteur Nuyts.

On a baptisé la salle des fêtes de son nom après son décès. Sa femme était présente.


 

1972. Inauguration de la cantine scolaire, rue du Nord.
Document SPMC numéro 3 147


1986. Inauguration du Centre CAL Docteur Nuyts, futur centre social.
Document SPMC numéro 6 543


M. Schuman connaissait très bien les maires de l'époque : Julien NUYTS (1935 - 1940), Joseph POLET (1944 puis 1947 - 1963), Henri WAGNON (1963), Paul DESQUIREZ (1963 - 1971) et Roger DUTRIEZ (1971 - 1995).

Il fut présent pour les funérailles de M. POLET en janvier 1963 ».

Un témoignage de Thérèse Dumez :

« J'ai deux souvenirs avec Monsieur SCHUMAN.  Le premier souvenir date des années 1966-1967. Je participais au service du banquet du 1er mai pour la 1ère fois. Monsieur SCHUMAN m'a demandé de lui apporter de l'eau. Toute tremblante, il était quand même ministre et à l'époque on respectait l'homme et la fonction, je lui ai apporté une bouteille d'eau minérale. Et à ma grande surprise il m'a dit : non ma petite fille, un verre d'eau du robinet .....

Mon 2ème souvenir date de la remise de médaille à mon père pour je crois 25 années de conseil municipal. Cette remise de médaille avait lieu lors des vœux. Cela se passait dans le salon d'honneur de la mairie. Au cours du discours de R. Dutriez, soudain la porte s'est violemment ouverte et Monsieur SCHUMAN est entré en disant, j'ai vu dans le journal que mon ami Roger était médaillé ce soir. Je passais par Pérenchies, j'ai vu de la lumière, je suis entré … Quelle émotion pour mon père mais aussi pour maman et moi-même. Mais aussi quel honneur ! ».

Philippe JOURDAN

9 novembre 2020.

Correction et mise en page : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

 

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

Pérenchies et son passé numéro 99.

Carte postale du mercredi : Pérenchies et sa reconstruction.

 


L’usine DESPATURE-COUSIN dans les années 20.
Document SPMC numéro 1 191

  

Commentaire :

Au lendemain de la première guerre mondiale, fin 1920, la famille DESPATURE-COUSIN installe sa nouvelle tuilerie dans notre ville.

Elle appartient à l’industriel Albert DESPATURE marié à Victoire COUSIN.

Cette construction se compose de deux grands bâtiments qui accueillent aujourd’hui, transformés, la maison médicalisée d’accueil pour personnes âgées « le Domaine des Tuileries », des appartements de haut standing et, de l’autre côté de la place Paul DESQUIREZ, des appartements à loyer modéré.

Un puits d’extraction de l’argile se trouvait derrière, près du cimetière. Il est maintenant comblé. Après la guerre 1939/1945, il s’était rempli d’eau de pluie et deux jeunes garçons, voulant y nager, s’y noyèrent alors que la ville fêtait la Libération.

Dans les années 60, l’usine existait toujours. Les élèves des écoles la visitaient et découvraient les immenses fours qui contenaient des tuiles, des pots ; des briques de parement et des produits pour le bâtiment et l’horticulture.

Le chemin de terre que l’on voit au premier plan est, de nos jours, l’allée des Acacias.

  

Philippe JOURDAN

9 novembre 2020

 En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

mardi 10 novembre 2020

Commémoration 2020 de la fin de la première Guerre mondiale confinée.

 

Inauguration le 14 septembre 1924 du Monument aux Morts.
Document SPMC numéro 1 201

 Le 8 mai dernier, les commémorations de la fin de la seconde guerre mondiale n’ont pas pu se dérouler à cause de la crise sanitaire causée par le Coronavirus.

Il en sera de même en ce 11 novembre 2020 qui devait voir s’organiser les cérémonies de la fin de la guerre 1914/1918. Une délégation allemande de notre ville jumelle d’Overath était même annoncée.

C’est donc avec beaucoup de regret que nous prenons acte de cette décision tout à fait justifiée.

Seule une délégation de la municipalité, le président de l’UNC et un porte-drapeau iront donc déposer des fleurs sur les trois monuments commémoratifs, Place du Général de Gaulle, au cimetière et Place des Anciens Combattants.

Nous appelons tous ceux qui souhaitent marquer leur attachement à cet anniversaire à mettre le drapeau tricolore sur leur demeure et, pourquoi pas, à se recueillir devant le monument aux morts à l’occasion du déplacement bref, dans la limite d’une heure quotidienne et dans un espace maximal d’un kilomètre autour du domicile, lié à l’activité physique individuelle autorisée mais sans rassemblement.

Il est fort probable que la prochaine manifestation patriotique, le 5 décembre 2020, soit également touchée.

Espérons que les mois d’avril, de mai, de juin et de juillet, verront revenir ces moments de rassemblement et de commémorations.

Philippe JOURDAN

Président de l’association d’histoire locale « Si Pérenchies m’était contée… »

Le 8 novembre 2020. 

 

M. WEESTEL, ancien combattant de la guerre 1914/1918, reçoit la Légion d’Honneur.
On y voit le maire , Roger DUTRIEZ (1971-1995) et le Curé DOOGHE ( 1969-1992)
Document SPMC numéro 3 360

 

Cérémonie du 11 novembre 1983. Maire : Roger DUTRIEZ.
Article Voix du Nord du 15 novembre 1983. Edition Armentières.
Document SPMC numéro 2 890

 

Cérémonie au cimetière non datée. Les anciens prisonniers de guerre.
Document SPMC numéro 4 666.

 

Les anciens combattants de Pérenchies sous l’arc de triomphe à Paris. Vers 2014/2015.
Mme LEKIEN, Adjointe au Maire de Bernard PROVO les accompagne.
Document SPMC numéro 6 702.

 



 


CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 Pérenchies et son passé numéro 98.

Carte postale du mardi : Pérenchies durant la guerre 1914/1918.

 

La rue de la gare au lendemain de la guerre 1914/1918.
Document SPMC numéro 1 150.


Commentaire :

La guerre 1914/1918 va détruire une bonne partie de notre ville occupée par l’armée allemande et bombardée quotidiennement par l’artillerie anglaise. Il en est ainsi des maisons de cette rue. Au loin, on ne devine même plus la gare, entièrement détruite.

Le passage de la voie de chemin de fer qui coupera notre ville en deux pèsera beaucoup sur le choix de notre ville par l’entrepreneur textile Agache qui y développera une usine qui changera la destinée de notre cité.

A droite de cette rue de la gare, on voit les rails d’une ligne privée de chemin de fer qui emmenait les matières premières vers la fabrique et traversait la rue de Lille découverte hier.

 

Philippe JOURDAN

9 novembre 2020

 

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

lundi 9 novembre 2020

CONNAISSEZ-VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 Pérenchies et son passé numéro 97.

Carte postale du lundi : Pérenchies avant 1914.

 

La rue de Lille, actuelle rue du Général Leclerc.
Document SPMC numéro 1 037

 

Commentaire :

Nous sommes avant la première guerre mondiale dans l’actuelle rue du Général Leclerc dénommée alors rue de Lille. Les grandes artères d’une ville prenaient souvent le nom des villes où elles menaient. La carte a été colorisée pour lui donner un peu plus de réalisme. Peu de circulation. On se déplaçait à pied ou à vélo et, pour les chargements, des charrettes tirées par des chevaux assuraient les transports. Sur les façades des maisons, on trouvait souvent des anneaux en fer pour y attacher les chevaux. On remarque, à gauche, une sorte d’abreuvoir ou de mangeoire en bois. Une inscription nous indique que des chambres pour les voyageurs sont à la disposition des visiteurs. On n’est pas loin de la gare. L’éclairage est déjà au gaz. Il a été installé en 1905 et une grande fête aérostatique a célébré l’événement avec un envol de ballons. On devine, au loin, l’église Saint-Léger un peu différente de celle que nous connaissons de nos jours. Après sa destruction lors de la guerre 14/18, le clocher sera reconstruit différemment abandonnant ses quatre clochetons.  

 Philippe JOURDAN

9 novembre 2020

 En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés. Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté. Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

  

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog.

dimanche 8 novembre 2020

CONNAISSEZ - VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés.

Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté.

Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

Philippe JOURDAN

Président de « Si Pérenchies m’était contée … »

2 novembre 2020

 

Pérenchies et son passé numéro 96.

Carte postale du dimanche : les cartes fantaisies.

 

Document SPMC numéro 1 296.



Commentaire :

En cette seconde partie du 20ème siècle, on écrit beaucoup. La carte postale est source de contact entre les personnes, celles d’une même famille, celles des cercles d’amis mais aussi entre professionnels. Ainsi, l’usine Agache publiera une carte postale de l’entreprise pour avertir les clients du passage du représentant.

Rue de la Prévôté, au débit de tabac, on vend donc des cartes de la ville comme rue Edouard Agache ou rue du Général Leclerc. On écrit à sa famille, à ses amis avec un petit mot humoristique « Pas le temps d’écrire – Trop de soleil. R. A. S. Amitiés. ».

Cette carte reprend plusieurs vues de notre ville : le Parc Donat Agache, les Etablissements Agache, l’église Saint-Léger et la maison commune : la mairie.   

 

Philippe JOURDAN (2 novembre 2020)

 

 

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

samedi 7 novembre 2020

CONNAISSEZ - VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés.

Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté.

Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

Philippe JOURDAN

Président de « Si Pérenchies m’était contée … »

2 novembre 2020

 

Pérenchies et son passé, numéro 95.

Carte postale du samedi : Pérenchies fin 20ème, début 21ème. 

 

L'église Saint-Léger de Pérenchies
Document SPMC numéro 1 317.



Commentaire :

L’église Saint-Léger se dresse fièrement dans le ciel pérenchinois. Le cliché a été pris du jardin public qui a été baptisé Parc Donat Agache.

Des bancs y sont installés et ses accès ont encore leurs portes.

Les parkings autour de l’édifice n’existent pas encore.

On y trouve, alors, un petit square derrière le monument aux morts, un local, sorte de garage qui servira de morgue et le jardin du curé qui se verra bientôt doté d’un préfabriqué où se donneront les réunions paroissiales et les séances de catéchisme.

La carte est colorisée.

 

 

Philippe JOURDAN (2 novembre 2020)

 

 

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

vendredi 6 novembre 2020

CONNAISSEZ - VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

 En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés.

Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté.

Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

Philippe JOURDAN

Président de « Si Pérenchies m’était contée … »

2 novembre 2020

 

Pérenchies et son passé, numéro 94.

Carte postale du vendredi : Pérenchies dans les années 1950 à 1980.

 

La rue du Général Leclerc
 Document SPMC numéro 1 288.

Commentaire :

La rue de Lille est devenue la rue du Général Leclerc mais certains de nos concitoyens utiliseront une autre dénomination : la rue du Maréchal Leclerc.

C’est une rue commerçante avec de nombreux commerces, boulangerie, boucherie, bureau de poste sans oublier les cafés, très nombreux.

La voiture est en pleine expansion. On voit qu’elle commence à encombrer les trottoirs mais, on n’oublie pas les vélos. La boulangerie a ainsi installé un portique pour les y placer, permettant aux clients de faire ses courses.

Une pompe à essence fonctionnera longtemps dans la rue.

Par contre, le trafic est encore au ralenti.  

La carte est colorisée.

 

Philippe JOURDAN (2 novembre 2020)

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog

jeudi 5 novembre 2020

CONNAISSEZ - VOUS PERENCHIES EN CARTES POSTALES ET SON PASSÉ ?

En cette seconde et nouvelle période de confinement, nous avons pensé que notre association pouvait vous présenter chaque jour un document extrait de notre fonds de cartes postales composé de 400 clichés.

Un petit commentaire suivra la photographie.

N’hésitez pas à nous transmettre vos propres commentaires ou informations sur le sujet présenté.

Cela permettra de compléter nos connaissances sur Pérenchies et son passé.

Philippe JOURDAN

Président de « Si Pérenchies m’était contée … »

2 novembre 2020

 

Pérenchies et son passé, numéro 93.

Carte postale du jeudi : Pérenchies entre 1930 et 1950.

 

la rue Edouard Agache et la sortie de la Fabrique. Entre les deux guerres.
Document SPMC numéro 1 220.



Commentaire :

Nous assistons à une sortie de l’usine Agache toujours aussi impressionnante. La société Anonyme de Pérenchies emploiera jusqu’à 2 000 ouvriers.

L’usine a été entièrement reconstruite après la guerre alors que ses bâtiments avaient été totalement détruits. Il était important que les Pérenchinois, de retour dans leur ville, puisse retrouver un emploi et, ainsi, faire vivre leurs familles.

On observe, au loin, les trois cheminées appelées les 3 ballots. On voit également une  horloge qui existe toujours dans nos réserves d’histoire locale.

L’usine avait deux entrées, l’une dans cette rue et l’autre, rue de Lille (actuelle rue du Général Leclerc).

 

Philippe JOURDAN

(2 novembre 2020)

 

 

Relecture et édition : Jean-Pierre COMPERE, administrateur du Blog