En février 2021, une de nos adhérentes, Mme MOSCA-SOHIER, qui vit à Marseille, nous contacte et nous annonce qu’elle va sans doute revenir dans le Nord.
Elle
propose de donner à notre association « Si Pérenchies m’était
contée… » des objets anciens qui proviennent de sa famille qui a vécu à
Pérenchies et à Lomme. Quand elle déménagera, vers juillet 2021, elle les fera
venir, à ses frais.
Elle
nous prêtera aussi son vieil album de famille afin qu’on récupère les photos
intéressantes.
En
1997, Marguerite-Marie DELOBEL, membre active de notre association, avait
rencontré César SOHIER, le père de Mme MOSCA. Il nous avait transmis des
documents et raconté souvenirs.
C’est
ce texte qui vous est, aujourd’hui, proposé, accompagné de documents
d’illustration.
Philippe
JOURDAN
Le
1er avril 2021
En 1910, j’avais 4 ans et j’habitais rue Pasteur à
Pérenchies…
Témoignage de Monsieur César SOHIER
recueilli, en 1997, par Mme Marguerite-Marie DELOBEL.
Je
suis né en 1910. J’avais 4 ans et demi à la déclaration de la guerre. On
habitait rue Pasteur, vers la place ronde, la deuxième maison. A l’angle de
cette rue il y avait un terrain vague et de l’autre côté, un bois appartenant à
Monsieur Jeanson. Le café de la Place ronde était tenu par César Berthe. Il n’y
avait presque pas d’autres maisons aux environs jusqu’à Wez-Macquart.
Le rue Pasteur à la fin de la guerre 1914/1918. Document SPMC numéro 1 356. |
A
la déclaration de la guerre, mon père était parti avec mon frère de 14 ans et
quelques voisins, ils ont été pris du côté de Fleurbaix par les Uhlans
(NDLR : un uhlan est un cavalier armé d’une lance dans l’armée allemande).
|
A
la suite de cet incident, mon frère est tombé malade et ce sont les médecins
allemands qui l’ont soigné. Malheureusement, il est décédé en 1915.
Dès
la déclaration de la guerre, les élèves de l’école maternelle, tenue par les
religieuses, rue de la Fabrique, ont été appelés à l’école pour faire de la
charpie. Les religieuses coupaient de petits carrés de toile que nous
effilochions pour fabriquer des pansements.
Carte postale avant 1914. L'école privée rue de la Fabrique. Carte SPMC numéro 1 043. |
Dessin d'architecte montrant l'usine Agache et, à gauche, l'école privée dénommée orphelinat. L'original du dessin est en mairie de Pérenchies. Document SPMC numéro 639. |
Avant
la guerre, il y avait un homme qui passait dans les rues avec une petite
voiture à trois roues. Il allait de maison en maison pour présenter des
bouillons cubes et des bonbons américains et il sillonnait tous les environs de
Pérenchies.
Quand
l’armée allemande s’est avancée vers Lille, on a vu cet homme qui avait
installé sa voiture près de la voie de chemin de fer ; il avait mis des
chaussures avec des crampons et il grimpait au poteau téléphonique pour couper
les fils. C’était un espion à la solde des Allemands.
Quand
les Allemands sont entrés à Pérenchies, tous les habitants ont dû les héberger
pour une nuit. Dans la rue Pasteur, il y en avait toute une compagnie. Ils
avançaient vers Armentières et n’étaient que de passage.
Soldats allemands à Pérenchies en février 1917. Document SPMC numéro 1 093. |
La
kommandantur s’est installée à la mairie et les premiers ordres sont arrivés.
Il fallait amener à la kommandantur toutes les armes que possédaient les
habitants. Quand le front a été stable, les Allemands ont commencé à faire des
perquisitions dans les maisons, ils fouillaient tout. Il y avait un commandant qu’on appelait
Casserole parce qu’il réquisitionnait tout. Après la réquisition des armes, il
y eut celle des vélos, puis vers 1915, celle des brouettes, pour les travaux de
tranchées. A cette époque-là, nous avions dû quitter la maison de la rue
Pasteur à cause des carreaux cassés et des balles perdues. Mes parents
s’étaient installés, rue de la Fabrique, au café Lehaire, les cafetiers étant
partis. Après, il y eut la réquisition des machines à coudre. Dans le café, il
y avait des tables et des chaises et mon père les avait empilées devant la
machine à coudre pour la dissimuler. La
brouette était cachée dans un tonneau à eau de pluie dans la cour.
Rue de la Fabrique avant 1914. Carte SPMC numéro 1 036. |
Vers
1916, il a fallu porter des bottes d’orties à la kommandantur, un nombre imposé
de bottes par habitant, toutes ces bottes devaient mesurer entre 15 et 20 centimètres
de diamètre.
En
1918, les Allemands sont entrés dans les maisons pour s’intéresser au nombre
d’habitants et de matelas. Ils prenaient les matelas considérés comme en
surplus.
Les
cultivateurs devaient déclarer tous leurs animaux et ils devaient en livrer une
quantité proportionnelle à leur récolte. Un beau jour, les Allemands ont
demandé combien les habitants avaient de poules et de lapins. Ensuite, il
fallait chaque semaine fournir un certain nombre d’œufs. Quand une réquisition
commençait, le bruit s’en répandait à toute vitesse ; mon père a tué ses neuf
lapins et ma mère a fait du pâté.
En
14-18, il n’y avait pas de marché noir, les gens s’entraidaient.
La
première victime des bombardements sur Pérenchies fut le baudet du café Vanhée.
Avec ce baudet, Désiré Vanhée sillonnait les environs jusqu’à Armentières pour vendre
la moutarde qu’il fabriquait lui-même. Le premier bâtiment qui a brûlé était le
château Agache. Il était occupé par des Allemands. Etait-ce un accident ? On
appelait cet endroit « le bord de l’eau ». Cette eau était utilisée pour
l’alimentation des chaudières de l’usine.
Le café VANHÉE avant 1914 "Au repos des ouvriers ", rue de la Fabrique. Document SPMC numéro 204. |
A
mesure de l’occupation, l’usine servait de casernement pour les troupes qui
partaient et qui revenaient du front. Mon père qui était chauffeur de chaudière
avait été réquisitionné pour faire du feu avec un autre homme dont je ne me
souviens pas du nom. A la suite d’un bombardement sur l’usine et la chaufferie,
le compagnon de mon père a été amené chez mes parents, au café, le ventre
ouvert. Il est mort et a été enterré au cimetière de Pérenchies.
Une
fois, les Allemands installaient une ligne de téléphone sous terre, ils
creusaient un sillon de trente centimètres de profondeur dans la longueur de la
rue Carnot, ils ont été aperçus et les Anglais ont commencé à bombarder.
L’occupant de la deuxième maison de la rue Carnot était sur le trottoir et le
garde champêtre Lesage également.
«
Rentre chez moi, on descend à la cave ! » dit le premier.
–
« Non, je vais rester dans le couloir. » a répondu Lesage.
Un
obus est alors tombé devant la porte et Lesage est mort dans cette maison. Sa
femme restait veuve avec un garçon : Marius Lesage. Après la guerre, elle est
venue habiter dans les petites maisons presque en face.
Soldats allemands à Pérenchies. Document SPMC numéro 5 617. |
Je
me souviens de la mort d’une jeune fille dont j’ai oublié le nom : c’était au
café Vanhée. Les Vanhée étaient partis. Il y avait une très grande cave dans
laquelle on pouvait se réfugier pendant les bombardements. Les habitants
avaient renforcé le dessus de la cave avec tout ce qu’ils avaient pu trouver :
briques et divers matériaux provenant de maisons démolies. J’avais aidé à
porter des briques. Lors d’un bombardement, j’avais dit à mes parents : « Je
vais au café Vanhée » mais ils n’ont pas voulu. Un obus est tombé sur les
décombres au-dessus de la cave et les gens qui se trouvaient dedans se sont
affolés et sont sortis tous en même temps et la jeune fille a été piétinée. Elle
est restée toute seule évanouie puis il est tombé d’autres obus sur la maison.
Elle est morte en haut de l’escalier. Après, son père cherchait partout les
morceaux du corps de sa fille.
Un
premier avion allemand est tombé dans un terrain vague près du petit pont .On
est allé voir mais les Allemands nous ont fait partir. C’était un Taube, un avion qui avait comme une queue de poisson.
Pour
aller à Lille, il fallait un laisser passer.
Dans
le clocher de l’église, les Allemands avaient installé un observatoire et, depuis
Armentières, les Anglais tiraient en direction de Pérenchies pour le détruire.
Le coq fut exposé à la fenêtre de la brasserie Lambelin.
Dans
la journée, on ne pouvait pas traverser le pont de Pérenchies. Les Allemands
avaient mis un voile en travers, vers Armentières, et un autre le long de la
ligne de chemin de fer. Les troupes allemandes ne passaient que la nuit. Pour
descendre sur la voie, on a fait un escalier de chaque côté ? On
descendait près de la première maison avant le pont (actuelle librairie) et on
remontait de l’autre côté. C’était avant la construction du pont provisoire en
bois.
Photographie allemande durant la guerre 1914/1918. La rue de Lille, le pont, les bâches et l’église en ruines. février 1916. Document SPMC non numéroté |
Une
fois, étant derrière le petit chemin (ce petit chemin, parallèle à la rue
Agache, se trouvait à l’arrière des maisons entre le café Vanhée et le café
Conia), j’ai vu passer quatre Allemands
avec leur équipement sur le dos qui se dirigeaient vers le front. Soudain, ça
se met à bombarder. Comme toutes les maisons de la rue Carnot étaient
inoccupées, ils sont entrés dans l’une pour se mettre à l’abri. Le bombardement
terminé, j’ai dit à mon père et à Monsieur Conia que les Allemands n’étaient
pas ressortis. On a traversé les jardins pour aller voir. Ils étaient morts
tous les quatre. Un obus était tombé à la porte, entre les deux pièces.
Le bout de la rue de Lille et le pont. Document SPMC numéro 1 090. |
Pendant
la guerre, on n’a jamais manqué de nourriture car mon père cultivait son
jardin.
Le
Pont Ballot n’a pas sauté. Il y avait pourtant eu quatre trous creusés pour
mettre des charges explosives.
Sous
le pont, côté Armentières, il y avait une infirmerie. C’était en béton. Au
milieu du pont, il y avait une porte permettant d’entrer dans cette infirmerie.
Pendant des années, on a vu la trace de la porte et des quatre trous qui
avaient été rebouchés avec des briques neuves.
En
haut de la rue Kuhlmann, pour aller vers le pont Ballot, il y a trois maisons :
les maisons Janville. Presque en face, il y avait un passage en béton sous la
voie pour aller de l’autre côté.
Quand
la conciergerie a brûlé, il y avait sans doute des cartouches à l’intérieur car
cela claquait. Un obus est tombé au pied de la cheminée du tissage qui s’est
effondrée en rond.
Fin
1917, mes parents ont réussi à trouver un transporteur et on a déménagé. Nous
sommes allés habiter à Ascq et, un mois après notre départ, les habitants qui
étaient restés à Pérenchies ont dû partir en emportant chacun trente kilos de
bagages.
La
ville était complètement désertée par ses habitants.
Après
la guerre, il fallait reconstruire.
Dans
Pérenchies, les seules maisons qui étaient restées habitables, à condition
toutefois de changer les portes et les fenêtres, étaient celles de la rue
Gambetta et de la rue Gambetta prolongée.
La rue Gambetta après la guerre 1914/1918. Carte SPMC numéro 1 111. |
Il
n’y avait pas de logements suffisants pour accueillir les familles des ouvriers
occupés à la reconstruction et la salle des fêtes avait donc été transformée en
dortoirs. Les ouvriers y logeaient.
Un dortoir après la guerre. Peut-être la salle des fêtes. Document SPMC numéro 3 120. |
Jusqu’à la salle des fêtes, il y avait un terrain vague. On y a mis des baraquements dont un était l’église provisoire. Le presbytère se trouvait également rue Gambetta, à ce moment-là. Plus tard, on a construit une deuxième église provisoire, rue de la Prévôté.
Eglise provisoire, rue Gambetta prolongée. Carte SPMC numéro 1 165. |
Eglise provisoire, rue de la Prévôté. Carte SPMC numéro 1 130. |
Nous
sommes revenus à Pérenchies en février 1919 et nous avons habité au 49, rue
Gambetta. On ne payait pas de loyer.
Derrière
les maisons, parallèle à la rue, il y avait un petit chemin avec, tous les
cinquante mètres, un puits. Les pompes avaient été enlevées. On descendait les
seaux avec une corde. Il n’était pas question d’analyser l’eau. Parfois, la
corde cassait et le seau restait au fond du puits.
La
famille Welleman était installée dans un grand bâtiment rue Gambetta prolongée.
La reconstruction de Pérenchies. Document SPMC numéro 571. |
Il
y avait des équipes qui déblayaient et d’autres qui construisaient. Deux jeunes
femmes, Hélène et Raymonde Welleman, nettoyaient les briques.
Nettoyage des briques chez Agache en 1919. Document SPMC numéro 1 476. |
Il
y avait aussi des équipes dans les champs qui rebouchaient les tranchées et les
trous d’obus. Il y avait beaucoup de monde occupé à ces travaux.
L’usine
était à reconstruire entièrement.
L'usine est rapidement reconstruite après la guerre. Document SPMC numéro 922. |
C’est
l’entreprise Picot qui a procédé à cette reconstruction ainsi qu’à la
construction des maisons provisoires du Petit Maroc et du Tonkin. Ces maisons
ont été construites à sable plutôt qu’à ciment. Celles du Tonkin étaient plus
solides que celles du Maroc. Elles se situaient vers Prémesques, après le
réduit.
Il
y avait de nombreux vols de matériaux sur le chantier et mon père est devenu garde
de nuit.
La cité du Petit Maroc après la guerre 1914/1918. Document SPMC numéro 1 204. |
En
direction du Maroc, à droite, il y avait des baraquements. C’était un camp de
prisonniers allemands occupés toute la journée à récupérer la ferraille et les
fils barbelés des tranchées. Dans le sol, on voyait des pointes de métal qui
dépassaient de 7 à 8 cm !
Pendant
les premiers mois de 1919, quand on descendait les Bas de Pérenchies, en
direction d’Houplines, à 50 mètres après les maisons, la route n’existait plus.
On devait escalader entre les trous.
Partout,
il y avait des rails de Decauville : petits wagons qui traversaient Pérenchies
et ramenaient la ferraille des tranchées. J’accompagnais le chauffeur qui était
un Australien et j’actionnais les aiguillages.
Nettoyage des terrains rue Ampère vers 1919. Document SPMC numéro 3 733. |
Frontière Pérenchies/Prémesques. Des rails sont posés un peu partout. Document SPMC numéro 3 734. |
Peu
à peu la vie a repris.
Rue
de la mairie, au café Botterman, des bals étaient organisés dans un
baraquement.
Mon
père m’avait appris les rudiments de la lecture car je ne suis retourné à
l’école qu’à neuf ans et demi. Le premier jour où l’école a repris, chacun
devait apporter sa bouteille d’encre et son porte-plume ou son crayon. Les
tables étaient des planches posées sur des tréteaux. A la première récréation,
on entendait des balles claquer dans la cour car nos poches en étaient bien
garnies.
Cela
n’a pas duré car l’après-midi, à notre retour à l’école, on nous a fouillés. Le
lendemain, nous avions les poches vides !
L'école publique des garçons, rue de la mairie après la guerre. Document SPMC numéro 98. |
Après
la guerre, le garde champêtre s’appelait Marquilies. On récupérait les douilles
d’obus remplies de poudre, on les mettait dans l’essence, on faisait dépasser
un tube, on rebouchait le bidon, cela produisait alors une déflagration
formidable. Marquilies arrivait mais, entre-temps, un autre bidon explosait à
500 mètres et ainsi de suite. Nous jouions beaucoup avec de la poudre mais,
parfois, des enfants eurent des doigts arrachés.
Du
côté du Funquereau, il restait des dépôts d’obus. On prenait les obus par la
tête, on les claquait par terre pour séparer la tête et on prenait la poudre
qui se trouvait à l’intérieur !
Vers
avril-mai, l’église étant terminée, les instituteurs nous avaient fait sortir dans
la cour pour voir qu’on fixait le coq sur le clocher.
La gare de Pérenchies et , au loin, la reconstruction de l'église. Années 20. Carte SPMC numéro 1 172. |
Après
la reconstruction, mon père avait repris son travail à la chaufferie de l’usine
qui s’était rouverte en 1921. Il faisait également le jardin du directeur du
tissage qui habitait rue Philippe de Girard, en face du château d’eau.
En
1922, je suis également entré chez Agache, j’étais sous les ordres de Jules
Delobel qui était responsable de la bonne marche des métiers à tisser
automatiques « Northrop ».
Jules DELOBEL et le Ets Agache. Non daté. Peut-être avant 1914 ? Document SPMC numéro 579. |
(NDLR :
Nous
avons trouvé des informations dans le recensement de 1926.
Jules
DELOBEL est né en 1868 à Pérenchies.
Il
habitait 145 rue de la Prévôté (C’était l’ancienne numérotation. Selon
Marguerite-Marie DELOBEL, aux environs du 393 actuel).
Il
travaillait comme ouvrier d’usine chez Agache.
Sa
femme se nommait Léonie BARBEZ et elle était née en 1865 à Pérenchies.
Jules DELOBEL et son épouse Léonie BARBEZ en compagnie de leurs enfants. Abel DELOBEL (Né en 1900) et Marcel DELOBEL (Né en 1909) Avant 1914. Document SPMC numéro 3 176. |
Ils
ont eu plusieurs enfants dont Marina, décédée jeune, Marcel DELOBEL né en 1909
à Pérenchies, menuisier chez Pasbecq et Abel DELOBEL, né en 1900 à Pérenchies, menuisier chez Verlay.
Abel
se mariera en premières noces avec Blanche AHACHE, étaleuse chez Agache, née en
1898 à Lomme.
Ils
auront plusieurs enfants dont Christiane (née en 1924), Roger, Suzanne, …
En
1926, Abel habitait au 71 rue de Lille, ancienne numération.
Abel
se mariera en secondes noces avec Marie-Henriette AHACHE, une cousine de
Blanche. Ils auront d’autres enfants dont Françoise, Jean-Pierre, Bernard (Père
de Benoît DELOBEL), Michel, Marie-Thérèse et Danièle).
Suite du texte de César SOHIER :
Il
existait deux livrets de travail, le livret n°1 qui était celui des adultes et
le livret n°2 qui était celui des jeunes.
Plus
tard, je me suis marié. Ma femme était employée de maison à Armentières, rue
Nationale, chez des descendants de la famille Agache.
Puis,
nous avons quitté Pérenchies pour aller habiter à Lomme.
Choix des documents
d’illustration : Philippe JOURDAN
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JOURDAN Si Pérenchies
m’était contée… 67, rue Jean
MOULIN 59840
PERENCHIES |
Correction et
édition : Jean-Pierre COMPERE, Administrateur du Blog.
Avril 2021